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Au point d'un matin auroral d'un printemps juste né,
j'irai éteindre les lanternes en papier des lucioles fatiguées,
sous les charmilles qui offrent le repos au passant ,
laissant aux circonvolutions les nuées roses d'antan,
les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités,
je boirai au calice l'aiguail aux mille reflets argentés.
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Un matin de printemps juste né
A l'aurore du point du jour
J'irais éteindre les lanternes en papier,
Des lucioles fatiguées.
Du repos au passant qu'offrent les charmilles,
Les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités,
Je boirai au calice l'aiguail aux milles reflets argentés
Laissant aux circonvolutions, les nuées rose d'antan.
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Citation de "amorosa"Un matin de printemps juste né
A l'aurore du point du jour
J'irais éteindre les lanternes en papier,
Des lucioles fatiguées.
Du repos au passant qu'offrent les charmilles,
Les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités,
Je boirai au calice l'aiguail aux milles reflets argentés
Laissant aux circonvolutions, les nuées rose d'antan.
La transformation est chaotique si tu mets " Du repos au passant qu'offrent les charmilles"
Celui induit une suite.
Notons
Du repos au passant qu'offrent les charmilles
A l'enivrement de la roseraie impie
Non ?
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Non pas les roseraies impies cela ferait une redondance avec rose d'antan.
Je conseillerai la virgule ce qui donnerait
Du repos au passant , qu'offrent les charmilles,
Les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités
Je boirai au calice l'aiguail aux milles reflets argentés
Laissant aux circonvolutions, les nuées rose d'antan.
Il s'agirait de faire avec ces 4 vers, une phrase poétique se disant d'un seul souffle
Ou
Du repos, au passant, qu'offrent les charmilles,
Mais, il y a d'autres possibilités avec ton poème.
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Ou alors en rajoutant impie cela pourrait donner
Un matin de printemps juste né
A l'aurore du point du jour
J'irais éteindre les lanternes en papier,
Des lucioles fatiguées.
Du repos impie, qu'offrent au passant les charmilles,
Les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités
Je boirai au calice l'aiguail aux milles reflets argentés,
Laissant aux circonvolutions, les nuées rose d'antan.
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Citation de "amorosa"Non pas les roseraies impies cela ferait une redondance avec rose d'antan.
Je conseillerai la virgule ce qui donnerait
Du repos au passant , qu'offrent les charmilles,
Les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités
Je boirai au calice l'aiguail aux milles reflets argentés
Laissant aux circonvolutions, les nuées rose d'antan.
Il s'agirait de faire avec ces 4 vers, une phrase poétique se disant d'un seul souffle
Ou
Du repos, au passant, qu'offrent les charmilles,
Mais, il y a d'autres possibilités avec ton poème.
autrement dit revenir au rythme que je leur avait donné 
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Citation de "amorosa"Ou alors en rajoutant impie cela pourrait donner
Un matin de printemps juste né
A l'aurore du point du jour
J'irais éteindre les lanternes en papier,
Des lucioles fatiguées.
Du repos impie, qu'offrent au passant les charmilles,
Les pieds nus dans le sucre et le blé des immensités
Je boirai au calice l'aiguail aux milles reflets argentés,
Laissant aux circonvolutions, les nuées rose d'antan.
tu enlèverais la légereté du poème en donnant cette nuance au repos.
le repos n'est pas que l'endormissement mais plutôt le repos de l'âme, la légereté. en plaçant impie ici, le narrateur se détache de la quiétude des lieux.
Modifié il y a 8 ans, le mardi 3 mai 2016 à 22:51
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Et du voile lactescent volé à une nuit assoupie
je ferai ma robe miroitante sous le baiser de Séléné.
A mes cheveux j'accrocherai la lavande endormie
à mes poignets je glisserai le chevrefeuille parfumé.
Le parfum des framboises sur mes lèvres rougies
la rosée fraiche sur l'éclat de mon rire émerveillé,
Dans le val au fées, la valse du vent au pas imprécis
entre les arbres sybillins, les elfiques pensées.
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Sexy, comme poème à part la question du vent.
J'en propose un à mon tour intitulé
Lune bleue.
Lune après lune
Le cœur entreplein
La jolie libellule
Touche le rivage lointain
De ces nuits d'Eos phosphorescente
Laissant au ciel joyeux
Un air musical heureux
Un pieux repos
Dans le soleil de lin
Un baiser du vent
Dans l'elfique pensée des arbres de la Sybille
Qu'Hécate n’oublie en Pandia
Blanche fille d'un sommeil éternel
Du char argenté filant dans le ciel obscur
Qu'éclair l'étoile du soir et du matin
Jusqu'au jour de Séléné.
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Citation de "amorosa"Sexy, comme poème à part la question du vent.
J'en propose un à mon tour intitulé
Lune bleue.
Lune après lune
Le cœur entreplein
La jolie libellule
Touche le rivage lointain
De ces nuits d'Eos phosphorescente
Laissant au ciel joyeux
Un air musical heureux
Un pieux repos
Dans le soleil de lin
Un baiser du vent
Dans l'elfique pensée des arbres de la Sybille
Qu'Hécate n’oublie en Pandia
Blanche fille d'un sommeil éternel
Du char argenté filant dans le ciel obscur
Qu'éclair l'étoile du soir et du matin
Jusqu'au jour de Séléné.
Là de suite en abrupt, j'imagine que c'est
" qu'éclaire l'étoile du soir et matin"
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Qu'éclaire l'étoile du soir et du matin,
Jusqu'au temps de Séléné.
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Mais sans décortiquer le poème ou jusqu'au jour de la pleine lune. Mais, il est possible de mettre au temps.
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