mr.robert

6 millions de chômeurs - (Chiffre officiel) -

il y a 9 ans
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mr.robert il y a 9 ans


Chers amis

Le ministre, dans les médias s'est exprimé avec fermeté !

Jamais, depuis 2007, le chômage n'a augmenté aussi "lentement" !

Nous sommes donc sur la "bonne voie".

On ne rit pas pas, là-bas, au fond, s'il vous plaît !

Cette nouvelle pourrait être scandaleuse si elle n'était pas tout simplement surréaliste.

Il vaut mieux entendre de telles saloperies, provenant de telles ordures, que d'être sourd...

Le mépris, le mensonge et le racket sont devenus des dogmes d'Etat. De gauche comme de droite...

Surtout le mépris !


Mr Robert

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sibelius il y a 9 ans

http://www.humanite.fr/le-gouvernement-fait-pression-pour-reporter-les-plans-sociaux-lapres-presidentielle

Le gouvernement fait pression pour reporter les plans sociaux à l'après-présidentielle
MERCREDI, 22 FÉVRIER, 2012

François Chérèque a confirmé sur Public Sénat, mardi soir, que le ministère du Travail faisait bien pression sur certaines directions d'entreprises pour qu'elles repoussent leurs annonces de plans de licenciements à l'après-élection. Cette manoeuvre met à mal la posture de défenseur de l'emploi en France que le candidat Nicolas Sarkozy a tenté de développer lors de son déplacement d'hier, sur le site d'Alstom en Charente-Maritime.

Dans l'émission La Preuve par trois, le leader de la CFDT explique: "Je rencontre régulièrement des chefs d’entreprises et des DRH: ils me disent certains que toutes les semaines, le ministère du travail leur téléphone pour leur demander leurs intentions vis-à-vis de l’emploi et leur dire que s’ils avaient des intentions de licencier, qu’ils les reportent à plus tard. Ca Il y en a plusieurs qui me l’ont dit, je le dis avec une grande franchise, c’est une réalité."

"Moi ce que me disent ces chefs d’entreprise c’est qu’ils reçoivent régulièrement des coups de téléphone du ministère sur ce sujet là et je trouve ça relativement déplacé", commente-t-il par la suite.

Areva et Peugeot visés

Questionné sur les noms des entreprises visées par le gouvernement, François Chérèque développe: "De toute façon, Areva, le patron d’Areva, et c’était public, […] a été convoqué chez le ministre en disant: vous ne faites pas de plan social. Le patron de chez Peugeot a été convoqué chez le président. "

Et de commenter: "La grande nouveauté en France, c’est qu’on fait des plans sociaux sans licenciements."

"Les entreprises en difficulté, des éléments de communication"

François Chérèque va plus loin dans les derniers épisodes d'instrumentalisation politique du président-candidat des drames que vivent des entreprises comme Lejaby, Photowatt ou Arcelor-Mittal: "Ce que je dis là, ça veut dire que tout ce qui est fait vis-à-vis des entreprises qui sont en difficulté, c’est quelque part aussi un élément de communication.

Je crois qu’il faut déconnecter le rythme de la vie politique de la vie sociale. Quand il y a un problème dans une entreprise il faut le traiter. Quand il se pose, pas plus tard parce-que c’est toujours pire."



( Et ne me dites pas que ça vous étonne ! )

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sibelius il y a 9 ans

http://www.lefigaro.fr/emploi/2012/02/16/09005-20120216ARTFIG00431-bertrand-ferait-pression-pour-decaler-les-licenciements.php

Bertrand ferait pression pour décaler les licenciements

Par lefigaro.fr le 16/02/2012 Publié

Selon le magazine Challenges, le ministre du Travail aurait donné des instructions à la FNAC ou encore à Areva pour qu'elles décalent de quelques mois leurs projets de licenciements.


Une poussée du chômage n'est pas de bon augure à quelques semaines des élections.

Afin d'éviter l'effet délétère qu'aurait l'annonce de nouveaux plans sociaux, le ministre du Travail, Xavier Bertrand, aurait donné des instructions à plusieurs grandes entreprises afin qu'elles décalent leurs projets de licenciements, fait savoir le magasine Challenges .

La Fnac, qui avait annoncé au mois de janvier un plan d'économies comprenant 500 suppressions de postes, aurait été contactée, de même que le groupe Areva.

Selon les chiffres que s'est procuré le Figaro en octobre dernier, le groupe énergétique envisagerait la suppression de 3000 à 4000 postes dans le monde, «selon le scénario le plus dur évoqué au sein du management».

Le ministre de l'Economie, François Baroin, avait cependant déjà tapé du poing sur la table au mois de novembre et obtenu d'Areva qu'il ne procède à «aucune suppression de postes, aucun plan de départs volontaires et aucun impact sur les sites français».

La direction du groupe avait alors démenti le volet français du plan.

Selon Challenges, PSA Peugeot Citroën et Renault seraient également concernés par ces instructions émanant du ministre du Travail. PSA, qui envisagerait selon les syndicats de supprimer plus de 4000 postes en France, avait déjà précisé, sous la pression du gouvernement, que son plan d'économie ne se traduirait par aucun plan de départ volontaire ni licenciements, mais essentiellement par des départs en retraite non remplacés.

En 2011, plus de 150.000 demandeurs d'emploi supplémentaires se sont inscrits à Pôle emploi, portant à 2,88 millions le nombre de chômeurs en France.

La barre des 3 millions de chômeurs n'est pas encore franchie, mais au ryhtme actuel de la progression du chômage, elle pourrait l'être avant l'élection présidentielle. Un cap symbolique qui serait du plus mauvais effet.

LIRE AUSSI:
» L'inquiétant retour des plans sociaux

» Le nombre de chômeurs a augmenté de 5,6% en 2011

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sibelius il y a 9 ans

http://www.leparisien.fr/economie/video-fillon-sarkozy-a-demande-a-psa-de-repousser-son-plan-social-25-10-2012-2265381.php

VIDEO. Fillon: Sarkozy a demandé à PSA de «repousser son plan social»
Le Parisien | 25 Oct. 2012,

Lors du duel qui l'opposait sur France 2 à Jean-François Copé alors que tous deux sont en course pour la présidence de l'UMP, François Fillon a reconnu que Nicolas Sarkozy avait demandé au président de PSA, Philippe Varin, de «repousser son plan social» à l'après-présidentielle, alors que quelque 8 000 postes étaient en jeu.

Sur le même sujet
PSA : Varin ne céde pas de contreparties sur l'emploi


Selon l'ancien Premier ministre, Nicolas Sarkozy n'a pas «demandé qu'on repousse l'annonce, il (a) demandé qu'on repousse le plan social, ça ne revient pas du tout au même». L'actuelle majorité accuse la droite d'avoir tenté de différer des plans sociaux à l'après-présidentielle.

«C'est un choix politique qu'on peut discuter (...), qu'il avait d'ailleurs déjà fait au moment de la crise de 2008 en disant à l'industrie automobile :«Je n'accepte pas que vous licenciez et je vais vous aider», argumente François Fillon sur le plateau de l'émission «Des paroles et des actes».

François Hollande a «porté préjudice» à Peugeot

«Il aurait été un peu étrange que, juste à la veille de l'élection présidentielle, le président de la République française qui avait tout fait pour empêcher les licenciements dans l'industrie automobile dise à M. Varin : "Mais allez-y, je vous en prie, c'est vraiment le moment de le faire"», a ironisé le député de Paris.

«Par contre, il y a une grande différence entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. Le premier s'adresse au téléphone à M. Varin, sans porter préjudice à Peugeot de manière publique, comme l'a fait M. Hollande, avec M. Montebourg, en désignant l'entreprise Peugeot à la face du monde comme mal gérée», a relevé l'ancien ministre.


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sibelius il y a 9 ans

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/election-presidentielle-2012/20120509.OBS5188/les-4-bombes-a-retardement-du-futur-gouvernement.html

Les 4 bombes à retardement du futur gouvernement

L' ObsPar L' Obs
Publié le 09-05-2012 à 22h56

La première patate chaude de Hollande, l'aéroport Notre-Dame-des-Landes, a été désamorcée ce mardi. Pour les autres, cela risque d'être plus difficile.

Les constructeurs automobile français se sont engagés à garder leurs mauvaises nouvelles pour l’après-6 mai 2012. (PRM/SIPA)Les constructeurs automobile français se sont engagés à garder leurs mauvaises nouvelles pour l’après-6 mai 2012. (PRM/SIPA)

"On peut empêcher les plans sociaux en s'y prenant plus tôt"
C’est un signe. Le projet très polémique de construction de l’aéroport à Notre-Dame-des-Landes, à 30 km de Nantes (Loire-Atlantique) semble s'être apaisé comme par miracle mardi 8 mai.

Après des négociations avec la fédération du Parti socialiste de Nantes et les représentants des collectivités locales, les paysans qui protestaient contre les expropriations ont décidé de mettre un terme à leur grève de la faim.

"Le combat continue mais l'essentiel, c'est que les exploitants concernés, soit une centaine de personnes, ne sont plus expulsables avant au moins deux ans", a déclaré Michel Tarin, propriétaire en cours d'expropriation.

Une épine de moins dans le pied de Jean-Marc Ayrault, favori pour devenir le Premier ministre de François Hollande et... maire de Nantes.

Mais les autres bombes à retardement devraient être autrement plus délicates à désamorcer.

1. Licenciements à tous les étages

Selon la DARES (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques), le nombre de Plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) a chuté de 18% en janvier et février 2012, par rapport à 2011.

A la même période, on apprenait que le cabinet du ministre du Travail, Xavier Bertrand, faisait le forcing auprès des patrons pour décaler les plans sociaux à l'après-6 mai pour limiter l’envolée des chiffres du chômage, déjà très élevés.


Les patrons de la Fnac, Alexandre Bompard, et d’Areva, Luc Oursel, auraient ainsi reçu des instructions pour ne pas durcir leurs projets de licenciements (respectivement 300 et 3.000 en France). Les constructeurs automobiles français se seraient pour leur part engagés à reporter à mai leurs mauvaises nouvelles.

Sauf que nous y sommes, en mai ! Et la conjoncture ne s’est guère améliorée.

Dans le rouge ? L’industrie d'abord. Le numéro un mondial de la sidérurgie ArcelorMittal a annoncé mardi 8 mai une décision pour cet été sur l'éventuel redémarrage du site de Florange (Moselle). En jeu : l'emploi de 550 des 2.750 salariés du site. Dans l'automobile, PSA à l’automne et Renault fin décembre ont tout deux annoncé une réduction de la voilure. Du côté de la grande distribution, le groupe Carrefour s’apprêterait à supprimer plusieurs milliers d'emplois en France selon les syndicats, qui doivent rencontrer le nouveau PDG Georges Plassat dès le 10 mai.

Dans la banque, les quatre principaux établissements français (BNP Paribas, Société générale, Crédit agricole et Natixis) ont prévu - et pour certains commencé - de diminuer leur effectif de 11% d’ici à 2013, avec la suppression de 2.400 postes via des départs volontaires et de la mobilité interne. Pour l'heure enfin, c'est dans le transport maritime que ça chauffe le plus : la crispation est à son comble entre la direction de la Société nationale Corse Méditerranée (SNCM) et la CGT des marins de Marseille, en grève depuis six jours pour exiger que les lois sociales s'appliquent aussi sur les navires battant pavillon italien de leur principal concurrent.

2. Tempête sur la zone euro

Fin de l'accalmie. Le soir de l'élection présidentielle, la France est sortie de l'oeil du cyclone européen. Car pendant que les Français se prononçaient en faveur de François Hollande, les Grecs disaient non à l'austérité. Sur la péninsule, les partis de gouvernement ont été largement désavoués, au profit des partis extrêmes, jetant un doute sur l'application du plan de sauvetage. A cela s'ajoutent de grosses incertitudes sur l'avenir de l'Espagne, poids lourd de la zone euro.

Conséquence directe : la défiance des investisseurs, se traduisant par une hausse des taux d'intérêts. Mardi 8 mai, ils ont atteint 5,79% en Espagne, 5,43% en Italie et 22,25% en Grèce. Pendant ce temps, les bourses européennes plongeaient, Francfort perdant 1,90%, Londres 1,78% et Milan 2,37%. La France n'est pas en reste : Paris a perdu 2,78% mardi. Et si les taux d'intérêts de ses emprunts à dix ans restent pour l'instant inférieurs à 3%, rien ne garantit qu'il en sera toujours ainsi. La solidarité financière et budgétaire ne suffit pas à rassurer.

Les investisseurs demandent avant tout de la croissance. Et tant que la France, l'Allemagne, et l'Italie ne se seront pas mis d'accord sur un plan cohérent, une ombre planera sur la zone euro.

3. Les nouveaux perdants de la réduction des dépenses publiques

François Hollande s'est engagé à ramener les comptes à l'équilibre en 2017, notamment en réduisant la part des dépenses publiques de 56,5% du PIB fin 2012, à 53,9% fin 2017. Mais il n'a pas encore précisé comment il comptait économiser ces 2,6 points, soit une cinquantaine de milliards d'euros.

Pour l'Etat, François Hollande s'est engagé à maintenir le nombre de fonctionnaires à son niveau actuel, tout en créant en cinq ans 60.000 postes dans l'Education nationale et 5.000 postes dans la police, la gendarmerie et la justice.

Pour compenser, 65.000 postes devront disparaître ailleurs.

Reste à savoir qui l'on veut léser, comme l'a rappelé Nicolas Sarkozy lors du face-à-face présidentiel.

Après l'enseignement (62 milliards d'euros), les plus gros postes sont la défense (40 milliards), l'enseignement supérieur (25,8 milliards) et la sécurité, tous concernés par les embauches.

Il reste donc : la solidarité, le travail, l'écologie et enfin, la ville et le logement. Ou les finances.

Une autre piste pourrait venir des collectivités locales : un nouvel acte de décentralisation permettant de supprimer les doublons administratifs.

Mais là encore, le choix est difficile.

Faudra-t-il remettre sur le tapis l'éventuelle suppression des départements? Regrouper les régions ? Limiter le budget des préfectures ? Le nombre d'élus ? Enfin, les grandes réformes sociales (retraites, santé), réalisées en concertation avec les partenaires sociaux, seront décisives.

Car les dépenses de santé augmentent naturellement de 2,5% chaque année. Chiffre que Nicolas Sarkozy est tout juste parvenu à stabiliser.


4. Coup de massue annoncé sur la facture d’énergie

Mauvais timing pour bloquer le prix de l'essence, a déclaré mercredi 9 mai sur LCI Michel Sapin, chargé du volet économique du projet présidentiel de François Hollande pendant la campagne.

Selon lui, le blocage temporaire promis par le candidat socialiste ne serait pas opportun en ce moment, les prix étant en train de baisser.

Premier rétropédalage ? Sur le volet énergétique - et son impact sur le pouvoir d'achat de Français - l'été s'annonce chaud.

En janvier dernier, la Commission de régulation de l'énergie prédisait une augmentation des tarifs de l’électricité de 30% d'ici 2016. Un an plus tôt, EDF avait déjà proposé au gouvernement, selon "Les Echos", une hausse de la facture de 5,1% à 6,5% par an, inflation comprise. Le ministre de l’Energie, Eric Besson, a eu beau contester systématiquement ces chiffres, la réalité est là : augmentation de la demande énergétique, vieillissement du parc de production français, retard pris dans le renforcement des réseaux...

Des investissements importants sont nécessaires, quel que soit le scénario d'évolution du mix énergétique. Pour un coût qui "se retrouvera immanquablement dans les factures", a indiqué le médiateur national de l’énergie en janvier dernier.

Même topo pour le gaz, dont le tarif ne cesse d’augmenter depuis 2004. Pour contenir la hausse en deçà des 5% au 1er janvier 2012 (4,4%), le gouvernement est allé jusqu’à modifier la règle officielle de calcul du tarif, qui imposait une augmentation de 10%, reflétant l'évolution des coûts d'approvisionnement de GDF Suez. Dans ces conditions, François Hollande sera-t-il tenté de rouvrir le dossier gaz de schistes ? Interrogé sur RTL pendant la campagne, il n’a pas fermé la porte : "Il ne faut jamais rien écarter, surtout si des recherches démontrent qu'on peut obtenir ce gaz sans nuire à la nature."

Morgane Bertrand, Donald Hebert et Louis Morice

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sibelius il y a 9 ans

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111128trib000667097/le-plan-d-action-d-air-france-devoile-apres-la-presidentielle.html

Le plan d'action d'Air France dévoilé... après la présidentielle

Fabrice Glyszczynski | 28/11/2011
Jeudi, la direction a indiqué qu'elle présentera un plan de redressement et de développement en mai-juin après des premières mesures d'économies conservatoires début 2012.

Une partie avant l'élection présidentielle, l'autre, la plus importante, après. Le plan de redressement d'Air France sera bel et bien annoncé en deux temps. C'est, selon plusieurs sources syndicales, ce qu'a indiqué jeudi en comité central d'entreprise (CCE) le nouveau PDG de la compagnie française Alexandre de Juniac.

Ce dernier présentera, en janvier ou février, des mesures conservatoires durcissant les mesures d'économies en vigueur afin de préserver le cash.

Puis, en mai-juin, il annoncera « un plan de redressement et de développement » pour transformer Air France.

Ce sera le véritable plan d'action d'Alexandre de Juniac, celui qui aura des conséquences sur l'emploi. « Nous sommes tranquilles jusqu'en juin. Il n'y aura pas de modification en profondeur des effectifs jusque-là », décrypte un syndicaliste. « C'est comme si on nous prévenait d'un avis de tempête six mois à l'avance », résume un autre. Si l'ampleur des mesures dépendra de l'évolution du contexte économique, la direction privilégie pour l'heure plutôt une hausse significative de la productivité du personnel que des coupes à la hache dans les effectifs (« La Tribune » du 20 novembre). Des efforts vont être demandés à toutes les catégories de personnel.


L'annonce d'un plan en deux temps risque de décevoir les investisseurs, impatients des mesures de restructuration promises par le conseil d'administration d'Air France-KLM au premier trimestre 2012. « Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation », a indiqué Alexandre de Juniac en CCE, en poste, depuis mi-novembre seulement. « La négociation concernant les mesures d'amélioration de la productivité va prendre du temps », explique une source interne.

En outre, avec ce plan en deux temps étudié avant la médiatisation des plans sociaux annoncés (PSA) ou évoqués (Areva), Air France se met de facto en conformité avec les injonctions de l'État (actionnaire d'Air France-KLM). Celui-ci « n'acceptera pas que les ajustements économiques, les plans stratégiques d'une entreprise où l'État se trouve en position d'actionnaire, se fassent au détriment de l'emploi », a en effet déclaré la semaine dernière le ministre de l'Économie, François Baroin.

Vers une montée en gamme

S'il juge la situation d'Air France inquiétante, Alexandre de Juniac estime néanmoins le coup jouable au regard des atouts de la compagnie : son réseau, son hub, sa flotte et son personnel. Outre le redressement de la situation économique de la compagnie, Alexandre de Juniac a un autre objectif : faire un saut qualitatif en termes de produits et de services à la fois au sol et à bord des avions.


Modifié il y a 9 ans, le samedi 2 mai 2015 à 22:05

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sibelius il y a 9 ans

Post-Criptum c'est trop long, je sais .. mais personne n'est obligé de me lire.

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jaune-d-oeuf il y a 9 ans

6 millions de chômeurs - (Chiffre officiel)



et c'est seulement officiel,attention

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tendre.velours (clôturé) il y a 9 ans

Parler du chômage c'est sur il y en a de plus en plus, mais ou sont la réalité des chiffres. si on appel chômeur un personne privé d emploi, alors la réalité du nombre elle est ou ???

un chiffre officiel oui pour ce qui reçoive une indemnité mais privé d emploi ils sont ou ?
trouver moi un chiffre qui correspond à la réalité incluant :
les indemnisés
les non indemnisés et radiés
ce qui sont en formation ou en stage
Je pense que si tout le monde était comptabilisé, on serai plus près d un quart de la population.
Et pour les travailleurs des futur demandeur d emploi pour certain ???
Des solutions il y en a pourtant mais quand on pense juste argent il y en a moins.
Et quand on ouvre un regard sur les improductifs du gouvernement qui ne devrait pas toucher plus que le SMIC aux vues des avantages qu'il ont, ce serai qu'une normalité mais bon ils sont plus près de 10 fois celui-ci.
Avec la société actuel et des gouvernements qui pensent plus à s'en mettre dans les poches qu'à faire preuve de bon sens ainsi que de donner de l'emploi, on verra que le chômage a encore de belle années de progression et je vois mal une inversion s'engager.

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jaune-d-oeuf il y a 9 ans

Citation de "tendre.velours"Parler du chômage c'est sur il y en a de plus en plus, mais ou sont la réalité des chiffres. si on appel chômeur un personne privé d emploi, alors la réalité du nombre elle est ou ???

un chiffre officiel oui pour ce qui reçoive une indemnité mais privé d emploi ils sont ou ?
trouver moi un chiffre qui correspond à la réalité incluant :
les indemnisés
les non indemnisés et radiés
ce qui sont en formation ou en stage
Je pense que si tout le monde était comptabilisé, on serai plus près d un quart de la population.
Et pour les travailleurs des futur demandeur d emploi pour certain ???
Des solutions il y en a pourtant mais quand on pense juste argent il y en a moins.
Et quand on ouvre un regard sur les improductifs du gouvernement qui ne devrait pas toucher plus que le SMIC aux vues des avantages qu'il ont, ce serai qu'une normalité mais bon ils sont plus près de 10 fois celui-ci.
Avec la société actuel et des gouvernements qui pensent plus à s'en mettre dans les poches qu'à faire preuve de bon sens ainsi que de donner de l'emploi, on verra que le chômage a encore de belle années de progression et je vois mal une inversion s'engager.


evidemment
comment inverser le bordel avec de tels infects trous du cul ?

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nanipremier il y a 9 ans

Citation de "mr.robert"
Chers amis

Le ministre, dans les médias s'est exprimé avec fermeté !

Jamais, depuis 2007, le chômage n'a augmenté aussi "lentement" !

Nous sommes donc sur la "bonne voie".

On ne rit pas pas, là-bas, au fond, s'il vous plaît !

Cette nouvelle pourrait être scandaleuse si elle n'était pas tout simplement surréaliste.

Il vaut mieux entendre de telles saloperies, provenant de telles ordures, que d'être sourd...

Le mépris, le mensonge et le racket sont devenus des dogmes d'Etat. De gauche comme de droite...

Surtout le mépris !


Mr Robert


Vas bosser fainéant, au lieu de passer tout ton temps à nous pomper l'air avec tes topics à la mords-moi le noeud... au frais du contribuable qui plus est.

Modifié il y a 9 ans, le samedi 2 mai 2015 à 20:34

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flo056 (clôturé) il y a 9 ans

Encore une fois vous mentez et c'est grave il n'y a aucun chiffre officiel qui donne six millions de chômeurs... Ce que vous faites est odieux

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paturon (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "flo056"Encore une fois vous mentez et c'est grave il n'y a aucun chiffre officiel qui donne six millions de chômeurs... Ce que vous faites est odieux

C'est surtout con !! en 1939 déjà les Allemands les numérotaient eux pour ne pas se tromper !!

Citation de "paturon"Citation de "flo056"Encore une fois vous mentez et c'est grave il n'y a aucun chiffre officiel qui donne six millions de chômeurs... Ce que vous faites est odieux

C'est surtout con !! en 1939 déjà les Allemands les numérotaient eux pour ne pas se tromper !!


normal, il est con lui même

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rominale (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "nanipremier"Citation de "mr.robert"
Chers amis

Le ministre, dans les médias s'est exprimé avec fermeté !

Jamais, depuis 2007, le chômage n'a augmenté aussi "lentement" !

Nous sommes donc sur la "bonne voie".

On ne rit pas pas, là-bas, au fond, s'il vous plaît !

Cette nouvelle pourrait être scandaleuse si elle n'était pas tout simplement surréaliste.

Il vaut mieux entendre de telles saloperies, provenant de telles ordures, que d'être sourd...

Le mépris, le mensonge et le racket sont devenus des dogmes d'Etat. De gauche comme de droite...

Surtout le mépris !


Mr Robert


Vas bosser fainéant, au lieu de passer tout ton temps à nous pomper l'air avec tes topics à la mords-moi le noeud... au frais du contribuable qui plus est.




que de dureté dans vos propos
a penser que vous vous sentez visé personnellement
si vous n'appréciez pas ce que nous offre monsieur robert
d'autres dont je reconnais je fais partie
aiment lire ses proses toujours rédigées avec esprit et humour que l'on soit d'accord ou non avec les propos tenus.
et ça ce n'est pas donné a grand monde a la lecture des forums smail.



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