mr.robert

Le "Glamour" de la soumission (Episode 3)

il y a 8 ans
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mr.robert il y a 8 ans



Chères amies lectrices

Toute cette semaine, elle m'a envoyé de doux messages, de gentils SMS et d'agréables petits mots. Elle était tant pressée de venir me retrouver samedi soir, pour notre nouvelle séance. Impatiente, elle est arrivée, hier soir, pour dix neuf heure trente. Son cocu ayant un match de foot-ball, elle disposait de quatre bonnes heures pour un "dressage" dont elle raffole.

Chères amies lectrices, vous connaissez à présent toutes le plaisir divin que me procure l'élaboration de délicieux petits plats. J'excelle dans le CUL-inaire et je me vante d'être un remarquable Maître-Queue. Aussi, ma "coquine", une fois encore, pue se régaler d'une de mes secrètes recettes.

Après le dessert, constitué d'une délicieuse coupe glacée, (quatre boules, vanille, pralin, pistache et nougat), nous sommes passés au salon. Ma "visiteuse" me supplia de l'attacher aux poutres apparentes de mon salon. Aussi, toujours soucieux de contenter la Dame, je l'attachais avec les menottes qu'elle me tendait, les yeux plein d'espoir.

Vêtue de sa jupe-kilt rouge, à carreaux, d'un fin pull mauve, chaussée de ses souliers noirs à talons hauts, elle se retrouva, bras en l'air, menottée à une des poutres du plafond. Pour écarter ses jambes, à ses chevilles, je fixais la barre qui l'empêchait de les rapprocher. Sur cette barre horizontale je fixais la barre verticale dont l'extrémité était un gode. Doucement, en l'embrassant, je lui enfonçais ce gode.

Puis, comme nous adorons le faire, j'allais m'asseoir dans le fauteuil. Là, en sirotant un jus de mangue, avec des glaçons, je l'observais. La boule en caoutchouc rouge, maintenue dans sa bouche par la sangle de cuir qui enserrait sa tête, luisait de salive dégoulinante. La belle bavait déjà sur le haut de son pull. Merveilleux spectacle...

Je restais ainsi plus d'une vingtaine de minutes à la scruter. Elle me fixait de ses yeux suppliants. Elle désirait à présent passer à des choses plus "humidifiantes". Que la lectrice me pardonne ce néologisme absurde et surréaliste, mais c'est le terme le plus approprié. Je me levais pour venir lui lécher le menton et me régaler de sa salive.

Je passais ma main sous sa jupe. Le gode était bien enfoncé. De la cyprine coulait le long de la barre et dégoulinait sur les planches de mon parquet de chêne. L'intérieur de ses cuisses était trempé tout comme son sexe suintant. Je m'accroupissais pour aller me régaler de tout ce jus. Qui ne connait la jute d'une "esclave" ne sait rien des plaisirs du cunnilingus.

La belle se tortillait de plaisir en gémissant de bonheur. Je retirais le gode. Je passais derrière elle. J'ouvrais ma braguette et je la pénétrais avec une infinie douceur. Mon sexe entrait tout seul, sans aucun effort. Je restais ainsi, sans bouger. C'est elle qui se tortillait doucement. Elle cherchait le meilleur angle afin de trouver la meilleure sensation. Je lui caressais ses tous petits seins. Je lui léchais les joues, le cou et la nuque.

Je restais ainsi, une vingtaine de minutes, à lui faire l'amour. Toujours avec cette infinie tendresse qui la ravissait. Le paradoxe entre la situation et ma douceur lui procurait les plus délicats plaisirs. Puis, je la délivrais enfin. Je lui fixais les mains derrière le dos. Menottée, maintenue par ses cheveux, je lui faisais faire le tour de la maison. Elle adore être "guidée"...

Je lui montrais la pendule. Il était déjà vingt et une heure trente, il fallait penser à la dernière phase de notre séance. Il restait une heure. Aussi, m'installant dans le fauteuil, mon pantalon aux genoux, je la fis mettre à genoux sur le coussin posé au sol. Là, entre mes cuisses, elle pouvait s'installer confortablement.

Me fixant dans les yeux, avec ce regard plein de reconnaissance, elle me suçait avec cette passion si admirable. Les gargouillis, mêlés à ses gémissements de plaisir, étaient la bande-son de ce film épatant. Parfois, en fonction de ce que je "lâchais", déglutissant avec peine, elle gloussait de bonheur. Je lui lâchais des petites "surprises"...

Au bout d'environ quarante cinq minutes, j'éjaculais. Trois saccades secouèrent mon corps de délicieux spasmes délicats. Avalant goulument, en gémissant, ma "coquine" me fixait avec ses yeux brillants de vice, de stupre et de luxure. Il fallait cesser. Aussi, à son plus grand regret, ainsi que du mien, je la relevais.

Son cocu rentrait pour vingt trois heure. Il fallait donc que ma complice soit de retour chez elle au plus tard pour vingt trois heure. La douche, reprendre visage "humain" et se mettre au lit afin de faire semblant de dormir. Pour éviter les assauts de son conjoint aviné.

Rendez-vous fut fixé pour samedi prochain...


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Maître Robert

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kouig (clôturé) il y a 8 ans

mouaih bon je te préfére dans le cucutilisme des trous du fion quand meme j'avoue que là....j'pfefére le gouffre du trou du cult quand mieme!!!!!!

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trickster (clôturé) il y a 8 ans



Cher " Maître "



Permettez-moi cet insignifiant témoignage de sympathie à l'égard de cet ouvrage , ce geste fraternel et courageux d'exposer ainsi par le collage de vos jeux " glamour " sur ce site qui ne le mérite pas. Courageux, car il faut de l'aplomb pour présenter avec autant de désinvolture , un style épuré et inimitable , votre courtoisie presque arrogante ainsi que la soumission volontaire de cette dame d'exception à votre autorité presque candide .



Votre dévoué

Trickster

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mr.robert il y a 8 ans


Cher "Trickster"


Loin de moi l'idée de faire du "flood", c'est à dire de faire remonter un de mes récits.
Mais je dois, ici, publiquement, vous remercier pour vos amabilités et vos gentillesses épistolières.

Je reste un inconditionnel de vos écrits.


Mr Robert


Participants

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