Fermeture des réseaux sociaux : Facebook, X, TikTok, Insta et Snap bannis en France ? Voici ce qui pourrait arriver…

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Attention : ceci est une fiction. Une projection dystopique. Tout est faux (pour l’instant). Mais si un jour ça devient vrai, ne dis pas qu’on ne t’avait pas prévenu…


INTRO : Quand les applis se taisent et que l’État parle à ta place

Imagine.
On est en avril 2026. Les oiseaux chantent encore mais plus personne ne les filme. Pourquoi ?
Parce que Facebook, Instagram, TikTok, Snapchat et X (ex-Twitter) viennent d’être fermés par décret gouvernemental, pour cause d’« abus de liberté d’expression » ou un truc dans le genre, on a pas vraiment bien compris pourquoi. Peut-être trop de memes, trop d’avis, trop de lives de mecs qui pensent tout haut.
L’État coupe le son.


CHAPITRE 1 : La République bannit le scroll

Le décret s’appelle “Loi de Régulation de la Parole Numérique Non Contrôlée”.
Mais les gens l’appellent juste “l’extinction”.
En une nuit, c’est terminé. TikTok affiche une erreur 404. X devient un X sans contenu. Les stories Insta ? Fantômes. Snap ? Évaporé comme un crush Tinder au bout de 3 messages et demi.

L’excuse officielle ? Préserver l’unité nationale. Traduction : faire taire les foules numériques trop bavardes.
L’algorithme est mort. Vive la censure.


CHAPITRE 2 : Influenceurs au RSA, ados en PLS

Les premiers à tomber ? Les influenceurs.
Un lundi, ils vendaient des tisanes detox à Dubaï. Le mardi, ils mendient du Wi-Fi chez Mamie.
Les jeunes ? En transe. Ils tapent “comment faire une story sans Instagram” sur Ecosia.
Certains redécouvrent les SMS. D’autres se mettent à lire. Personne ne like ça.

Le pire ? Personne ne sait si c’est temporaire.
Le message officiel parle de “rééducation numérique”.
Le peuple, lui, parle surtout de panique.


CHAPITRE 3 : Smail.fr, le bar numérique où on peut encore parler

Dans ce paysage post-apocalyptique version pixel, un nom revient comme un vieux pote oublié : Smail.

Site de tchat des années 2000 ? Oui.
Plateforme française qui refuse la censure, l’espionnage algorithmique et les danses chorégraphiées ? Aussi.
Smail, c’est le dernier bistrot numérique. Le PMU du web. Tu y rentres sans QR code, tu parles à qui tu veux, et tu n’as pas besoin d’un filtre pour exister.


CHAPITRE 4 : Pourquoi Smail tient encore debout ?

Parce que Smail ne dépend pas de la Silicon Valley, mais de l’envie humaine de tchater, draguer, gueuler, flirter.
Pas d’algorithmes, pas de contenus sponsorisés pour des crèmes blanchissantes ou des NFT de pieds.
Juste toi, ton pseudo, et la liberté d’écrire ce que tu penses.

Et surtout : c’est français. Cocorico du clavier. Pas d’ingérence étrangère.


CHAPITRE 5 : Fini les réseaux. Place au refuge social.

Quand tout le monde court vers l’innovation, Smail fait un pas en arrière. Et c’est peut-être ça, la vraie rébellion :
Un site sans chichi, sans abonnement VIP, sans promesse de trouver l’amour en 6 swipes ou quoi que ce soit d’autre.
Mais avec une vraie communauté, des discussions improbables, des clashs en MP, des coups de foudre au coin du salon.

Smail.fr devient le refuge social numérique.
Un endroit où l’expression n’est pas un danger public mais une respiration.
Tu sais, ce truc qu’on faisait avant d’avoir peur de tout dire.


CONCLUSION : Et si un jour tout ça arrivait ?

Ce texte est une fiction. Pour l’instant.
Mais si demain tu te réveilles et que ton appli préférée ne charge plus…
Si les réseaux sociaux ferment pour de bon sous prétexte de “protection collective”…
Si on t’enlève ton droit de t’exprimer en ligne…

Souviens-toi de Smail
Le seul endroit où le tchat reste libre
Où la parole s’écrit sans filtre
Où la rencontre se fait sans tracking

Mais qui ne résistera pas forcément très longtemps à la censure…