Ah, la France ! Ce pays merveilleux où le fromage coule à flots, où le mot “liberté” s’affiche jusque sur les frontons… mais où l’on a mis plus de deux siècles à se poser une question toute bête : “Le mariage, c’est un engagement… ou un contrat de disponibilité à vie ?”
On est (enfin) en train de trancher. Et la lame est affûtée par une proposition de loi explosive, déposée début décembre 2025. Elle vise à supprimer l’expression “devoir conjugal” du Code civil. Une expression héritée d’un temps où les sentiments étaient obligatoires et où la vie à deux ressemblait parfois à une punition avec bague.
Le “devoir conjugal”, c’est quoi ce concept d’un autre âge ?
Petite remontée dans le temps (promis, on ne ressort pas les corsets). Depuis des lustres, l’article 215 du Code civil mentionne l’“obligation de communauté de vie” entre époux, interprétée comme une obligation d’intimité. Une sorte de clause implicite dans le contrat de mariage, version “tu dis oui, donc tu dois”.
Sauf que voilà : on est en 2025. Les relations évoluent. Le consentement n’est plus un sujet secondaire, c’est la base. Et maintenir dans la loi une formulation qui sous-entend une forme de contrainte intime, même dans un cadre conjugal, ça commence à grincer sérieusement.
La proposition de loi : petit texte, gros impact
Déposée par des députés de la NUPES et soutenue par plusieurs collectifs féministes, la proposition vise à dépoussiérer les articles du Code civil qui portent encore des relents de patriarcat rassis.
Objectif ? Clarifier que le mariage n’implique aucun droit automatique sur le corps de l’autre. Une évidence pour beaucoup, une révolution juridique pour d’autres. Exit donc les vieilles formules floues, place à des termes clairs, modernes et surtout respectueux des libertés individuelles.
Mais pourquoi c’était encore là, en fait ?
Parce que la loi, c’est un peu comme une cave de grand-mère. On y trouve des trucs qu’on pensait disparus : un vieux moulin à café, des articles mal fichus, et parfois, des résidus de domination conjugale mal camouflée.
Pendant longtemps, ce fameux “devoir” a été utilisé comme justification morale, sociale, voire juridique, pour excuser des comportements aujourd’hui inacceptables. C’est en 1990 seulement que la justice française a reconnu l’existence de violences conjugales dans le mariage, y compris dans l’intimité. 1990. Oui. L’année où sortait le Minitel rose.
Ce que ça change, vraiment
Certains diront : “Mais c’est juste un mot, ça change rien.” Eh bien non. En droit, les mots pèsent, parfois autant qu’un jugement. Supprimer ce “devoir conjugal”, c’est faire passer un message fort : aucune relation, même sacrée par l’État, ne justifie l’effacement du consentement.
C’est dire que le corps de chacun reste inviolable. Même quand on partage une adresse, une couette et un compte Netflix.
Et Smail.fr dans tout ça ?
Toi, pendant ce temps-là, tu tapes des messages sur Smail.fr, tu dragues, tu tchattes, tu cliques. Et tu te demandes : “Mais moi, célibataire convaincu ou cœur brisé, qu’est-ce que j’ai à faire de cette histoire de Code civil ?”
Réponse simple : tout.
Parce que cette réforme, c’est la preuve qu’on avance. Qu’on sort enfin de ces schémas poussiéreux où aimer voulait dire céder. Qu’on commence à construire des relations basées sur l’échange, la complicité… et non le contrat implicite. C’est l’ADN même d’une vraie rencontre. Comme celles que tu peux faire sur Smail. Pas de pression. Pas d’obligation. Juste du lien, pur et choisi.
Une loi pour demain, pas pour hier
Le texte va encore devoir passer les étapes parlementaires. Rien n’est garanti. Mais le fait même qu’on ose mettre ce sujet sur la table est déjà une victoire. Une manière de dire que l’amour ne s’écrit plus avec des obligations mais avec du respect.
Et si vraiment tu veux faire évoluer la société à ton échelle, commence par écrire un message sincère sur Smail.fr. Qui sait ? C’est peut-être là que commence la prochaine révolution douce.
TL;DR (t’as la flemme, on te comprend)
- Le “devoir conjugal” est encore inscrit dans le Code civil français
- Une proposition de loi veut le supprimer, pour moderniser le droit et renforcer le respect du consentement dans le couple
- Ce changement vise à protéger la liberté individuelle, même dans le cadre du mariage
- C’est une avancée symbolique, mais capitale
- Et sur Smail.fr, le seul devoir que tu as, c’est de rester toi-même. Et de bien choisir ton pseudo, au passage.
Moralité ?
On ne fait plus l’amour par contrat, ni par défaut.
On le fait par choix. Par envie. Par envie de se connecter, peut-être d’abord sur Smail.fr… et plus si affinités. Mais toujours avec un “oui” clair.
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