Introduction : L’histoire commence comme une sciatique… elle finit en fiction érotico-thérapeutique
Témoignage d’un gars… qui a trop besoin de se confier.
J’ai mal au dos. Comme tous les quadras passés, ou presque, bloqués entre le stress du boulot, la chaise de bureau trop basse et cette foutue nostalgie d’avoir voulu soulever un canapé tout seul. Bref, une lombalgie classique, textbook, rien de sexy là-dedans. Et pourtant.
Aujourd’hui, je me surprends à espérer que la douleur persiste. Que ça tire encore un peu dans la hanche. Que le nerf reste coincé juste assez pour avoir une bonne excuse. Pourquoi ? Parce que je veux la revoir. Clara.
Partie 1 : Clara, ostéopathe ou mirage sensuel ?
Elle ne paie pas de mine, au début. Une blouse blanche, un sourire professionnel, une salle d’attente qui sent le patchouli bon marché et le silence. Mais dès qu’on entre dans son cabinet, quelque chose bascule. On quitte le réel. Plus de mails, plus de gamins, plus de Siri qui m’espionne. Juste elle et moi.
Ses mains sont précises, efficaces, formées à l’école de la biomécanique. Mais depuis deux séances, je vous jure, ce n’est plus de l’ostéopathie. C’est une autre discipline. Floue. Ambiguë. Un art parallèle, entre la tension musculaire et le désir mal dissimulé.
Partie 2 : Hier soir. Dernier rendez-vous. Dernière résistance.
Le créneau de 19h45, celui que tout le monde évite. Sauf les insomniaques et les hommes perdus. Elle m’a accueilli avec ce même calme, ce détachement qui donne envie de crier : « Mais toi aussi tu le sens, non ? »
Je me suis allongé, torse nu, vulnérable. Elle a versé de l’huile dans ses mains. Ce bruit, ce glouglou intime, m’a traversé. Elle a posé ses paumes sur mes lombaires. D’abord comme d’habitude. Et puis… plus rien n’a été comme d’habitude.
Des mouvements lents, presque langoureux. Sa main a glissé le long de ma colonne comme on effleure un dos endormi. Et soudain, elle s’est arrêtée. Pas là où elle devrait. Pas là où c’est médical. Juste au-dessus de ma ceinture.
Je n’osais plus respirer. Sa main chaude, posée, insistante. Pas une manipulation. Une promesse.
Partie 3 : Est-ce que je me fais des idées ?
Quand elle a murmuré, sa voix m’a caressé l’oreille plus fort que ses doigts. « Vous êtes très tendu à cet endroit, Julien. Il faudra qu’on y passe plus de temps la semaine prochaine. »
C’était peut-être rien. Une simple observation clinique. Mais dans ma tête, c’était du cinéma de minuit. Version interdite aux mineurs.
Je suis sorti en tremblant. En me détestant un peu. Mais avec un petit sourire coupable. Et un rendez-vous déjà calé pour mardi prochain.
Conclusion : Le dos n’est qu’un prétexte
Ce que je ressens n’est pas clair. Ce n’est ni purement physique ni totalement platonique. C’est un entre-deux, un flou délicieux. Et peut-être que tout se passe dans ma tête. Peut-être qu’elle ne fait que son travail. Mais… pourquoi garde-t-elle sa main là une seconde de trop ? Pourquoi ce regard à la fin ? Pourquoi moi, à la dernière heure du jour ?
Peu importe. Je retournerai la voir. Parce que mon dos me fait mal. Enfin, c’est ce que je dirai si on me demande.
Et si vous aussi vous avez des tensions à faire disparaître…
Peut-être que l’amour, ou l’attirance, ou ce truc bizarre qu’on n’arrive pas à nommer, commence par une douleur au dos et une main posée au mauvais endroit. Si vous avez envie d’en parler, de croiser quelqu’un qui comprend vos signaux faibles ou qui aime les rendez-vous ambigus… passez faire un tour sur Smail.
Un tchat gratuit, simple, humain. Parfois, ça commence par un message et ça finit… qui sait ? Allongé sur une table de massage, ou à deux sur un canapé qu’on n’aura pas soulevé tout seul.
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Parce qu’on en a ras-le-filtre. Marre des selfies mensongers. Assez des profils sponsorisés par l’algorithme. Bienvenue dans le monde des sites de rencontres sans photo, un monde un peu flipp...