Les Français font-ils vraiment de moins en moins l’amour ? Une réalité qui donne à réfléchir

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C’est une tendance qui fait jaser les sociologues, grincer les dents des romantiques et hausser les sourcils des plus curieux : la fréquence des rapports sexuels chez les Français est en baisse. Moins d’intimité, moins de désir, et parfois même, moins de contacts physiques tout court. Mais que se passe-t-il dans le pays de la baguette, du vin rouge et des baisers volés sous les réverbères ?

Une chute progressive du désir ?

Depuis plusieurs années, les études s’accumulent. Le dernier rapport de l’Institut national d’études démographiques (INED) évoque une diminution significative du nombre de rapports sexuels chez les adultes. Si dans les années 1990, la moyenne tournait autour de 8 à 10 rapports par mois, elle serait aujourd’hui plus proche de 4 à 5. Un chiffre qui laisse songeur… ou songeuse.

Mais avant de tirer des conclusions hâtives, il convient de nuancer : il ne s’agit pas forcément d’un désintérêt pour la sexualité en soi. Il s’agirait plutôt d’un glissement des priorités, d’un bouleversement des rythmes de vie et d’un contexte social qui n’aide pas toujours à la détente.

Pourquoi cette baisse ? Quelques pistes…

1. Le stress chronique

Entre le télétravail, l’inflation, la pression professionnelle et la charge mentale, il reste souvent peu d’espace pour se reconnecter à soi-même ou à l’autre. Or, le désir ne naît pas dans l’urgence mais dans la disponibilité.

2. Les écrans et la distraction numérique

Vous pensiez passer un moment tendre et complice ? Et voilà que vous finissez à scroller Instagram en pyjama polaire. Les soirées en couple ont parfois été remplacées par des marathons de séries, repoussant les élans amoureux à demain… puis au week-end… puis au mois prochain.

3. L’isolement et la solitude

La pandémie est passée par là. Moins de sorties, moins de rencontres, plus de distance. Pour les célibataires, il est devenu plus difficile de créer du lien. Pour les couples, l’enfermement a parfois amplifié les tensions.

4. Une évolution des attentes

Les jeunes générations interrogent de plus en plus les normes autour de la sexualité. Le consentement, la charge émotionnelle, la fatigue mentale : tout cela entre désormais dans l’équation. Le rapport au corps change, et c’est une bonne chose, mais cela peut aussi rendre les relations plus complexes.

Est-ce grave docteur ?

Pas nécessairement. Il faut se garder des discours catastrophistes. Faire moins l’amour n’est pas forcément synonyme de crise. Pour beaucoup, l’intimité prend d’autres formes : la tendresse, les gestes, les confidences. Le tout est de trouver un équilibre satisfaisant, pour soi et pour l’autre.

Cependant, il serait faux de dire que cette tendance ne questionne pas le lien social. Moins de rapprochements, c’est aussi moins de moments de partage, moins de complicité spontanée et parfois, un certain repli sur soi.

Une envie de relancer la flamme ?

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En résumé :

✔️ Oui, on fait peut-être moins l’amour,
✔️ Mais on peut toujours retomber amoureux,
✔️ Surtout quand on se remet à parler.


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