L’infidélité masculine atteint son pic à 55 ans : crise existentielle ou syndrome du costume trop bien repassé ?

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Ce que la science nous murmure à l’oreille (et que certains préfèreraient ignorer)

Une étude publiée dans The Journal of Sex Research — très sérieuse, malgré son nom qui pourrait évoquer un roman de gare — affirme que les hommes seraient particulièrement enclins à l’infidélité autour de 55 ans.

Oui, cinquante-cinq ans. L’âge où certains deviennent accros aux puzzles de 1500 pièces, pendant que d’autres… cherchent à se reconnecter à eux-mêmes de façon plus audacieuse.

Loin des clichés, cette tendance n’est pas une simple lubie tardive. Non. Elle repose sur deux grandes hypothèses scientifiques, aussi froides qu’un café oublié dans un coin du bureau :


Hypothèse n°1 : L’homme, ses ressources et son besoin d’être vu

Selon la théorie évolutionniste, un homme de 55 ans a souvent atteint une certaine stabilité professionnelle, financière, sociale. Résultat ? Il devient, en quelque sorte, un « bon parti » — pas pour danser, mais pour attirer l’attention.

Ce regain d’attrait pourrait le pousser à explorer de nouvelles connexions. Pas nécessairement physiques, mais humaines. Affectives. Curieuses.


Hypothèse n°2 : L’éternelle crise de la mi-vie

C’est la fameuse phase introspective. Celle où l’on se demande : « Et si c’était tout ? »

Les cheveux grisonnent. Les années filent. Les responsabilités pèsent. L’homme se retourne et aperçoit sa jeunesse, loin derrière, qui lui fait un clin d’œil moqueur. Il ne cherche pas à tout détruire, non. Il cherche à ressentir. À vibrer. À exister autrement.

C’est souvent là que naît l’envie de nouveauté. De nouveauté, oui. Pas de duplicité.


Et pourtant, il y a une alternative. Moins risquée. Beaucoup plus saine.

Parce qu’au lieu de se perdre dans les recoins d’un mal-être mal exprimé, on peut choisir de parler, de se confier, de rencontrer sans tricher.

C’est exactement ce que propose Smail : un espace de discussion libre, gratuit, sans jugement, où l’on peut simplement retrouver ce plaisir d’échanger — sans déguisement, sans faux-semblant, sans double jeu.


Pourquoi à 55 ans, on cherche autre chose (et pas forcément quelqu’un d’autre)

Le besoin d’attention, de connexion, de nouveauté ne rime pas toujours avec trahison. Il traduit souvent un vide, une lassitude, un besoin de réinvention.

Et ce besoin, il est parfaitement légitime.

Ce qui compte, c’est la manière dont on y répond. L’infidélité n’est pas une fatalité. Ce n’est pas inscrit dans l’ADN. C’est une réponse, souvent maladroite, à un appel intérieur. Et il existe d’autres réponses. Plus justes. Plus équilibrées.


Témoignage d’un habitué du salon Smail

« À 56 ans, je ne cherchais pas à tromper. Je cherchais à parler. À rire. À retrouver une légèreté que j’avais perdue. Sur Smail, j’ai rencontré des vrais gens. Et, surtout, j’ai retrouvé un peu de moi-même. »


En résumé

  • Une étude indique que l’infidélité masculine atteint un pic à 55 ans
  • Les causes sont psychologiques, existentielles, sociales
  • Il ne s’agit pas d’une règle universelle, encore moins d’un destin inévitable
  • L’essentiel, c’est de trouver un espace d’échange sain, libre, respectueux
  • Et ça tombe bien, parce que Smail existe pour ça : rencontrer sans se trahir

Et si on osait la fidélité à soi-même ?

Plutôt que fuir, peut-être est-il temps de se recentrer. D’explorer différemment. De parler, tout simplement.

Sur Smail, on ne vend pas du rêve, on propose des rencontres humaines, dans toute leur simplicité. Et parfois, ça suffit à éviter une tempête.


Note de l’auteur

Cet article se base sur des données scientifiques publiées et a pour objectif de sensibiliser aux dynamiques relationnelles autour de la cinquantaine. Même si cela semble être le sport national, et particulièrement sur Smail, il n’encourage pas l’infidélité mais propose des pistes de réflexion autour du dialogue, de l’écoute et de la reconnexion à soi.