Reconnaissance faciale obligatoire pour les réseaux sociaux : vers la fin de l’anonymat en ligne ?

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Bienvenue dans la France 2030, version bêta. Où chaque clic devra être autorisé, chaque like validé par une IA gouvernementale, et chaque discussion surveillée par un logiciel qui enregistre ta gueule en 4K.
On exagère ? Pas tant que ça.

Car oui, Prisca Thévenot, secrétaire d’État à la Jeunesse et bras numérique du gouvernement sous amphétamines, vient de confirmer la volonté de restreindre l’accès aux réseaux sociaux via la carte d’identité ou la reconnaissance faciale.

Et devine quoi ? Ce qui commence avec TikTok finira avec tout Internet.


Le prétexte : protéger les moins de 15 ans

Le projet : ficher les 100 %

L’intention officielle est noble, comme toujours. Éviter que les enfants traînent sur les réseaux où circulent parfois plus de bêtise que d’algorithmes.
Mais tu sens le coup venir, non ?
Tu ouvres la porte pour « les petits », et dans six mois tu dois présenter ton permis de vivre pour te connecter à WhatsApp.

Un peu comme si, pour éviter que des mineurs achètent de l’alcool, on imposait un contrôle d’ADN à tous les clients du supermarché.
Absurde ? Sûrement.
Fait accompli ? Presque.

En tout état de cause, pour cibler les mineurs, il faut le demander à tout le monde. Oui, perspicace.


Ce que ça implique vraiment

  • Fin de l’anonymat sur les réseaux
  • Fichage généralisé de la population connectée
  • Contrôle renforcé des contenus, des interactions, des communautés
  • Et surtout, mise en place de l’identité numérique européenne, votée comme une lettre à la poste par 100 % des eurodéputés RN au Parlement européen (tu l’as senti passer, celle-là ?)

Et là, faut se poser une vraie question de fond :

Est-ce qu’on est en train de transformer Internet en espace surveillé, où la liberté d’expression devient une option soumise à validation biométrique ?


Et Smail dans tout ça ?

Tu veux discuter tranquillement avec quelqu’un ?
Tu veux juste te marrer, parler d’amour, de déprime, de pluie et de politique — sans avoir à montrer ton visage ni ton numéro de carte Vitale ?
C’est exactement ce que propose Smail.fr : un espace de discussion libre, anonyme, sans inscription ni identité numérique.

Mais si la loi passe, si le contrôle devient total, même des plateformes comme Smail pourraient être obligées d’exiger une identification.
On parle bien d’un monde où le tchat anonyme gratuit serait illégal.
Fini le pseudo rigolo, fini les discussions spontanées avec des inconnus, fini la magie du web à l’ancienne.


Tu t’en fous ? Tu ne devrais pas.

Parce que ce n’est pas qu’une affaire de réseaux sociaux.
Ce n’est pas un “truc pour les jeunes”.
C’est le début d’un système qui veut savoir qui tu es, où tu es, avec qui tu parles, et ce que tu dis, partout.

Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas ton compte Instagram.
C’est ton libre accès à la parole, à l’échange humain non filtré.
C’est ta capacité à être, sur le web, quelqu’un d’autre, ou juste une version de toi que tu choisis de montrer.

Et ça, c’est précieux.


Que faire maintenant ?

  • Regarde la vidéo qui circule à ce sujet.
  • Informe tes proches, partage les infos.
  • Rejoins des espaces encore libres comme Smail.fr, où la vraie parole existe encore, sans filtre, sans IA, sans validation de l’État.
  • Refuse la banalisation du fichage facial pour “ton bien”.

En conclusion : résistance numérique

On ne lâche pas prise. On ne lâche pas l’anonymat.
Parce que si demain il faut scanner sa face pour écrire un commentaire, alors on ne vit plus sur un réseau social.
On vit dans un open space géant où le DRH s’appelle Intelligence Artificielle d’État.

Et ça, franchement ?
On mérite mieux.


Smail.fr reste, pour l’instant, un des derniers lieux où tu peux encore parler librement. C’est notre ADN.
Un tchat gratuit, où ta parole est libre et ta tête ne sera jamais demandée à l’entrée.

Mais pour que ça dure ?
Faut rester éveillé.