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                                                Oubli
  
  Dans un dernier effort
  Faire brûler son décor
  Croire qu'on est le plus fort
  Affronter ses remords
  
  Dans un dernier soupir
  Faire brûler son sourire
  Croire qu'on pourrait s'enfuir
  Sans affronter les rires
  
  Dans un tout dernier cri
  Faire brûler toute sa vie
  Croire que tout est fini
  Affronter ses ennemis
  
  Dans une ultime étreinte
  Sur quelques braises éteintes
  Mutiler son passé
  En croyant oublier
  
  
  Dorian
                     
                                     
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                                                    poetic.warrior (clôturé)
                        
                        
                             il y a 20 ans
                        
                                             
                    
                                                Et si par hasard je découvrais la Lune,
  Que ce soit la tienne, me laisseras-tu faire ?
  Ecarter doucement tes deux douces dunes,
  Goûter le trésor au creux des hémisphères 
  
  Poétic Warrior
                     
                                     
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                                                Le juste nécessaire  
    
   
  
   
  
  De toi, j’inventerai le juste nécessaire 
  Tous les mots de l’absence 
  D'éphémères regrets 
  Des destins en retard une gorge qui tremble  
  Des paroles d’oiseaux que tu n'entendais pas
  
  J’inventerai le vent qu’un matin me fredonne 
  Si le temps le permet si le cœur est bien là.
  Comme un chat dans sa langue.
  Comme un loup me ronronne.
  Tous tes rêves d’enfant que tu ne me dis pas 
  
  Des matins de chasseur où le cœur est à prendre 
  Dans un piège à musique un geôlier dans ta voix.
  Tout le souffle de l’eau d’un cheval aquatique
  A ta lèvre où s’agrippe un murmure de toi.
  
  Je serai sous ton pas l’invisible d’un ange
  Des fanfares en treillis une armée sans combat
  Ma guitare à minuit un théâtre exotique.
  Tout de toi dans ma tête
  Comme moi, comme toi...
  
  Au matin ranimé où s’en va ta blessure 
  Un bateau sur le sable aux voilures d’un drap
  Un orage en hiver allumé à l’azur 
  Une source mouillée du brillant dans ta voix.
  
  Puis quand rien n’ira plus comme un rêve s’en va 
  Je serai un Jésus en baiser sur ta bouche 
  Un sourire à tes veilles.
  Au matin qui se couche.
  L’infini d’un sommeil en prières de toi
  En prières de toi...
  
   
   
  
                     
                                     
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