poeme,lettre, noire mais poeme qd mm

red.dragonne il y a 18 ans

Cher vous tous,

Je sais que par tout cela je vous decevrais
D'avoir fait ce que j'avais promis d'eviter
Mais j'en pouvais plu, j'etouffais
Désolée de vous avoir quitté

Au fond ca me fait mal aussi de vous avoir laissé
Mais j'avais mal, mal au coeur, mal au corps
Pendant un an je me suis coupée
Pour alleger des souffrances encore et encore

Seulement ce genre de souffrance ne s'allège pas
J'ai respecter ma promesse, je l'ai tué
Mais survivre après, j'y arrive pas
Alors comme promis, je me suis suicidée.

Je m'en veux de l'avoir tué,
Mais il l'a bien mérité
Il m'a achevé detruite, ruinée à néant
Comment a-t-il pu violé une enfant ?!!

Tuer quelqu'un, c'est degueulasse,
Mais lui aussi c'est comme si il m'avait tué
Quand, tous les deux, assis dans ces places
Il en a profité pour me toucher.

Pourquoi il a fait ca?
Pourquoi a moi
Pourquoi n'a-t-il pas eu la patience d'attendre
Que je puisse enfin me defendre

S'attaquer a quelqu'un de faible
Sachant pertinemment qu'il se laissera faire
Par peur que l'homme se lève
Et finisse son affaire.

Il me degoute, il me degouttait
Maintenant il est mort, et j'en suis fiere
Mais je vais le rejoindre, je vais monter
Pour lui finir son affaire.

Marre de cette vie,
Ma mission est terminée
Je m'envole loin d'ici
Loin de cette haine qui m'habitais

powermanolo (clôturé) il y a 18 ans

dangereux mélange

efficient il y a 18 ans

Le son de mon cœur,



Ceci est le son de mon cœur,



Car je vis la rancœur,



La rancœur de mon désarroi,



Je vis un profond regret,



Celui d’avoir fait du mal,



Celui d’avoir d’humilier,



Sans se soucier du lendemain,



Je n’ai pas pris conscience,



Mais je vis la rancœur,



Et je demande pardon,



A toutes les filles,



A toutes celles-là que j’ai prétendues aimer.



Un mea culpa,



Pour toutes celles à qui j’ai parfumées,



Parfumées de mauvaises renommées,



Alors quelles dégageais un parfum,



Le doux parfum de la pudeur,



Aujourd’hui,



Je suis de mauvaise humeur,



Je suis aigri,



Tout consterné,



Par ce triste souvenir,



Chez qui irais-je donc crier malheur.



Il est vrai,



Le malheur existe chez celui qui le conçoit,



Mais on ne peut s’empêcher de le vivre,



Je l’avoue,



Je suis malheureux,



D’avoir utilisé, abusé, faire subir,



Tous mes états libidineux,



A la première fille que je rencontrais le matin,



A mon réveille.







Mais aujourd’hui,



Demander pardon ?



A toutes ces filles ?



A laquelle en premier ?



Comment m’y prendre ?



Help !!!

okarim il y a 15 ans

Il n'existe que trois êtres respectables: le prêtre, le guerrier, le poète. Savoir, tuer et créer.

okarim il y a 15 ans

Il n'existe que trois êtres respectables: le prêtre, le guerrier, le poète. Savoir, tuer et créer.