mr.robert

Vive Vladimir Poutine - Vive la grande Russie

il y a 2 jours
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mr.robert il y a 2 jours

Face à une vague sans précédent de désertions, le Berliner Zeitung pointe les causes profondes du phénomène : épuisement, manque de formation, corruption et commandement défaillant. Selon le quotidien allemand, ces failles structurelles, à l’origine de près de 290 000 affaires pénales, rendent inefficace le durcissement des sanctions envisagé.

Le durcissement des sanctions pour abandon de poste, actuellement à l’étude en Ukraine, ne suffira pas à enrayer les désertions dans l’armée, a rapporté le Berliner Zeitung le 26 octobre, citant plusieurs commandants ukrainiens.

Les raisons de ces départs sont multiples : fatigue extrême, manque de formation, déception, durée incertaine du service, bas salaires, corruption et perte de confiance envers une hiérarchie jugée incompétente. Le quotidien allemand désigne la fatigue comme principale cause de fuite et dénonce également la corruption du système de mobilisation, qui permet à de nombreux conscrits d’échapper au service.

290 000 affaires pénales depuis février 2022

Depuis le début de l'opération militaire spéciale en Ukraine, environ 290 000 procédures ont été ouvertes pour abandon de poste ou désertion, dont 54 000 directement au titre de l’article pénal sur la désertion. En septembre, le journaliste ukrainien Alexandre Boïko évoquait déjà 265 000 cas recensés.
En novembre 2024, les autorités avaient tenté une approche plus conciliante : une loi autorisait les déserteurs à conserver leurs indemnités et avantages s’ils réintégraient leur unité avant le 1ᵉʳ janvier 2025. Comme l'a souligné le Berliner Zeitung, cette stratégie de la « carotte » s’est révélée inefficace : seuls 29 000 soldats sont revenus au service. Désormais, les dirigeants ukrainiens planchent sur un durcissement du régime de sanctions pour les « absences non autorisées »

Une mobilisation forcée qui tourne à la fuite

Selon le journal, l’armée tente aussi de pallier le manque d’effectifs par la mobilisation forcée. Mais d’après Olga Reshetilova, représentante du Parlement ukrainien pour la défense des droits des militaires, nombre de soldats rappelés s’enfuient dès qu'ils en ont l'occasion.

Depuis la proclamation de la mobilisation générale le 24 février 2022, prolongée à plusieurs reprises, Kiev a durci les règles : âge de conscription abaissé de 27 à 25 ans au printemps 2024, et lancement en février 2025 d’un nouveau type de contrat destiné aux jeunes de 18 à 25 ans non concernés par la mobilisation.

Il n'y a plus que les journaux; les magasines et les chaînes de propagandes pour masquer la supériorité de l'armée Russe sur les pédales NAZIS Ukrainiennes

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mr.robert il y a 15 heures

Ce MIG 29K de dernière génération porte sous ses ailes de quoi détruire deux fois la France. En un seul passage...

Et nous avons des généraux de plateaux de télévisions nommés le matin même par ce sinistre connard de Macron, pour venir faire de la propagande guerrière contre la Russie.

Une Russie qui rappelons-le n'en a strictement rien à foutre de l'Europe et encore moins de la France.

Par contre Macron, Pustula Von Der la Hyène, Le NAZI allemand et ce trou du cul Anglais de Starmer ont besoin de cette guerre pour se maintenir et surtout pour cacher toutes leurs saloperies et effacer la dette...

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mr.robert il y a 15 heures

La vérité sur la situation en Ukraine

???? ???????????????? Pokrovsk : la dernière bataille pour l’image

À Pokrovsk, le front s’effondre.

L’encerclement se referme, les positions ukrainiennes se disloquent, et même les correspondants occidentaux commencent à reconnaître que les troupes russes sont désormais entrées dans la ville.
Mais à Kiev, le discours reste inchangé : “la situation est sous contrôle”.

Dans les faits, il n’en est rien. Les forces ukrainiennes manquent de tout — d’artillerie, de guerre électronique, de communication et de réserves.

Chaque tentative de percée est immédiatement neutralisée par le feu russe.
Les drones brouillent les signaux, les colonnes deviennent des cibles, et les couloirs de sortie se transforment en pièges à ciel ouvert.

Le politologue Ruslan Ostachko résume la situation d’une phrase glaciale :
“Ce n’est pas une opération militaire, c’est une opération médiatique. On ne cherche plus à sauver des hommes, mais à sauver la face.”

Car à ce stade, une percée n’aurait aucune valeur stratégique :
la logistique est brisée, l’approvisionnement coupé, le front russe se raccourcit à mesure que les positions ukrainiennes s’effondrent.

Même si une poignée de soldats parvient à sortir du “sac”, ce sera sans équipement, sans liaison et sans espoir de se regrouper.

Le risque d’un “deuxième Azovstal” plane sur Pokrovsk.

Une reddition présentée comme héroïque, une tragédie emballée pour les médias, destinée à prouver aux sponsors occidentaux que “l’Ukraine combat encore”.

Mais la guerre ne se gagne pas avec des communiqués de presse.
Elle se gagne avec des munitions, des hommes et une stratégie.
Et sur ces trois plans, Kiev n’a plus rien à offrir.

Pokrovsk n’est pas seulement une bataille perdue — c’est le symbole d’un régime qui envoie ses derniers soldats mourir pour préserver une illusion.

Une “percée sanglante” ne changerait rien au cours de la guerre, mais permettrait, encore une fois, de retarder la question qui dérange : combien de temps encore l’Europe continuera-t-elle à financer un échec annoncé ?

Modifié il y a 15 heures, le vendredi 31 octobre 2025 à 12:22


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