Sarkozy ce sont les militaires qui en parlent le mieux.
Ce faux pantin de droite...qui s'est toujours entendu en secret avec des voyous de Gauche !
Dire qu'il y en a qui chialent parce qu'enfin il est en prison.
BILAN DE SARKOZY
UN SAIN RAPPEL DES EXPLOITS DE LA PRESIDENCE DE SARKOZY
Le 25 sept. 2025 : l’Amiral Gaucherand dit :
<< Nicolas Sarkozy est un politicien corrompu qui a placé ses intérêts au-dessus des
intérêts français, portant gravement atteinte à la confiance des Français dans leur État.
Sarkozy n’est pas une victime, mais un des hommes politiques les plus nocifs de la vie
politique française de ces 50 dernières années. >>
Voici la liste de ses principaux méfaits.
POLITIQUE INTÉRIEURE
Le Traité de Lisbonne :
Refusé par référendum en 2005, le traité constitutionnel européen a été ressuscité
sous forme de traité de Lisbonne, ratifié par voie parlementaire en 2008 sans
consultation populaire.
Sarkozy, alors président, a justifié cette manœuvre comme une “simplification
institutionnelle”.
Ruine d’EDF avec la loi NOME :
Adoptée en 2010 sous l’impulsion de François Fillon et Nicolas Sarkozy, la loi sur la
Nouvelle Organisation du Marché de l’Électricité (NOME) a imposé à EDF de vendre
son électricité nucléaire à bas prix à ses concurrents via l’Arenh (Accès Régulé à
l’Électricité Nucléaire Historique).
Ce mécanisme, censé ouvrir le marché à la concurrence européenne, a été critiqué
comme une “vente à perte” qui a endetté EDF de milliards d’euros et fragilisé la filière
nucléaire française.
Des experts estiment que cette loi a coûté à l’État des dizaines de milliards en
subventions cachées.
Immigration choisie :
Sous Sarkozy, l’immigration légale a atteint un pic de 250 000 titres de séjour annuels,
malgré sa rhétorique de fermeté.
Sa loi de 2006 sur “l’immigration choisie” a été un échec, avec seulement 14 %
d’immigration professionnelle contre un objectif de 50 %
Discrimination positive :
Plus provocateur, son discours de 2008 sur le “défi du métissage” – “Ce n’est pas un
choix, c’est une obligation” – a annoncé la politique de quotas d’immigrés non-
européens dans toutes les sphères de l’État et de la société, expression du
multiculturalisme anglo-américain qu’il a voulu imposer en France.
Mayotte départementalisée :
En 2009, Sarkozy a impulsé la départementalisation de Mayotte, effective en 2011,
malgré les avertissements sur l’immigration clandestine massive.
Résultat : une explosion démographique et des tensions sociales, avec des critiques
qualifiant cela d’”erreur historique” qui a alourdi les finances publiques sans résoudre
les problèmes structurels.
Théorie du genre à l’Éducation Nationale :
En 2011, sous son mandat, des manuels scolaires de SVT ont intégré des chapitres sur
le genre, expliquant que l’identité sexuelle est socio-culturelle autant que biologique.
Fin de la double peine et politique du chiffre à la police :
La réforme de 2003, impulsée par Sarkozy comme ministre de l’Intérieur, a limité les
expulsions automatiques d’étrangers délinquants, vue comme un laxisme pénal.
Parallèlement, sa “politique du chiffre” a poussé les forces de l’ordre à privilégier les
statistiques (PV, interpellations) au détriment de la prévention, générant des
dysfonctionnements persistants.
Saccage de l’Hôpital public :
Les réformes hospitalières de 2009 (loi HPST) ont renforcé les pouvoirs des directeurs
et favorisé les partenariats public-privé, au détriment des soignants.
Budgets rognés et fermetures de lits ont été dénoncés comme un “démantèlement”
du service public, aggravé par la crise Covid.
Saisie individuelle du Conseil constitutionnel :
Membre de droit du Conseil depuis 2012, Sarkozy a été accusé d’instrumentaliser
l’institution pour ses recours personnels, comme en 2013 pour ses comptes de
campagne, soulevant des questions d’impartialité.
Vente de 20 % des réserves d’or :
Une Perte de 40 Milliards : En 2004, comme ministre, Sarkozy a vendu 589 tonnes d’or
de la Banque de France pour 4,67 milliards d’euros
Avec la flambée du cours de l’or, cette opération a coûté à l’État environ 40 milliards
d’euros en valeur actuelle.
Ouverture à gauche :
Sitôt élu sur une ligne de droite dure, Sarkozy a ouvert son gouvernement à des figures
historique de gauche (le (..) néo-conservateur Bernard Kouchner aux Affaires
étrangères, le socialiste libanais Éric Besson à la Prospective) et à des personnalités non
blanches ou d’origine immigrée, comme Rachida Dati (Justice), Fadela Amara (politique
de subventions des quartiers ethnique), ou Ramatoulaye Wade.
Il s’agit d’accélérer le multiculturalisme et la discrimination positive.
Je rajoute une note concernant la nomination de Bernard Kouchner aux Affaires
étrangères.
C'est en remerciement de ses services rendus dans le financement de sa campagne
avec les valises de billets de Kadhafi.
Bernard Kouchner s'était porté caution de Sarkozy auprès de Kadhafi et avait demandé
en échange le portefeuille des Affaires étrangères si Sarkozy était élu.
Suppression du crime de haute trahison :
La révision constitutionnelle de 2007, sous son impulsion, a remplacé la “haute
trahison” par un vague “manquement aux devoirs”, supprimant une protection contre
les abus présidentiels et protégeant potentiellement Sarkozy lui-même.
Maintien des 35 heures et retraite à 60 Ans :
Malgré ses promesses de “rupture”, Sarkozy n’a pas abrogé les 35 heures (seulement
assouplies) ni repoussé immédiatement la retraite à 60 ans (reportée à 62 en 2010,
mais maintenue pour les carrières longues), décevant la droite libérale.
Maintien des Accords d’Évian :
Sarkozy a préservé les facilités d’immigration issues des accords de 1962, malgré les
appels à leur renégociation, favorisant selon les détracteurs un flux migratoire incontrôlé.
Enterrement du rapport sur le financement des syndicats de gauche :
En novembre 2011, sous son mandat, un rapport parlementaire explosif sur les
financements opaques des syndicats (plus de 5 milliards d’euros annuels, avec des abus
via les comités d’entreprise et des publicités suspectes) a été rejeté et “enterré” par
l’Assemblée, malgré six mois de travail et 45 auditions
Cette décision, prise à la veille des élections présidentielles de 2012, visait à se concilier
la gauche syndicale en vue de la réélection de Sarkozy.
Déclarations de Carla Bruni sur le “sang pourri” des Français :
En 2010, Carla Bruni, épouse de Sarkozy, évoque “le vieux sang pourri” qui coule dans
les veines des Français, en référence à leur supposée frilosité face à l’immigration et à
la diversité raciale.
Constructions de mosquées :
En 2006, le rapport Machelon, commandé par Sarkozy, ministre de l’intérieur, a
autorisé les subventions communales aux lieux de culte, contournant la loi de 1905.
Cela a accéléré la construction de mosquées (près de 2 500 en 2012), souvent financées
par des fonds qataris, via des baux emphytéotiques à 1 euro/an.
Débat truqué sur l’identité nationale :
Lancé en novembre 2009 par Éric Besson, ministre de l’Immigration, le “grand débat
sur l’identité nationale” visait à répondre aux pré
cupations des électeurs de droite
sur l’immigration.
Présenté comme une réflexion ouverte, il a rapidement été repris en mains par le
pouvoir.
Les 150 réunions publiques, souvent encadrées par des préfets, ont éludé les questions
sensibles comme l’immigration massive ou l’influence de l’islam, se concentrant sur
des thèmes abstraits comme la “République” ou la “laïcité”.
En février 2010, le débat s’est conclu par une célébration irénique des valeurs de la
gauche républicaine, avec des propositions vagues (hymne national à l’école, drapeau
tricolore).
Ce sujet crucial a été transformé en un exercice de communication pro-
multiculturaliste et pro-immigrationniste.
Collusion pour un demi-milliard d’euros avec Bernard Tapie :
En 2007, alors président, Sarkozy a influencé la décision de recourir à un arbitrage privé
plutôt qu’à une procédure judiciaire classique pour régler le différend entre Tapie et le
Consortium de Réalisation (CDR), entité publique gérant les dettes du Crédit Lyonnais.
Cette décision a été prise par la ministre de l’Économie, la (..) Christine Lagarde, sous
son mandat.
En 2015, la cour d’appel de Paris a annulé l’arbitrage, jugeant qu’il était entaché de
fraude.
Tapie a été condamné à rembourser les 403 millions d’euros.
Sarkozy, bien que non directement condamné dans cette affaire, a été mis en cause
pour son influence.
Christine Lagarde, jugée pour “négligence”, a été reconnue coupable en 2016 mais
dispensée de peine.
POLITIQUE ÉTRANGÈRE
Néo conservatisme et Soumission à l’OTAN :
Sarkozy s’est distingué par un atlantisme fanatique, rompant avec la tradition
d’indépendance française.
Destruction de la Libye :
Après avoir permis à Mouammar Kadhafi de poser sa tente à l’Élysée, Sarkozy, en 2011,
a initié l’intervention de l’OTAN en Libye pour abattre un État jugé hostile à “Israël”.
Soutenu par BHL, il a contribué à la chute de Kadhafi grâce à des milices djihadistes,
laissant un chaos de grande ampleur s’installer, ouvrant un corridor migratoire béant
qui n’a toujours pas été refermé.
Cette guerre a entraîné la percée djihadiste dans le Sahel, notamment au Mali, qui a
culminé avec le retrait en catastrophe des troupes françaises de toute l’Afrique de
l’Ouest.
Revirements en Syrie :
Après avoir réhabilité Bachar al-Assad en 2008 (invité au 14 juillet), Sarkozy a pivoté en
2011, appelant à une intervention militaire en 2012, sans aval de l’ONU.
Alignement sur “Israël” :
Son discours à la Knesset en 2008 et ses condamnations de l’Iran ont marqué un
soutien inconditionnel à l’entité sioniste, rompant avec l’équilibre traditionnel français
au Proche-Orient.
Réintégration dans l’OTAN :
En 2009, Sarkozy a ramené la France dans le commandement intégré de l’OTAN,
abandonnant 43 ans d’exception gaulliste, le mouvement politique dont il provient.
Pro-guerre et pro-OTAN, il a aligné Paris sur Washington, au détriment d’une défense
française et européenne autonome.
Corruption qatarie :
Sarkozy a favorisé l’influence islamo-qatarie en France via des investissements (PSG,
Rafale) et une convention fiscale de 2008 exonérant les capitaux qataris.
En contrepartie, le Qatar a financé son divorce avec la (..) Cécilia Cziganer Albéniz, mère
de Louis Cziganer Albéniz Sarkozy (3 millions d’euros via une sur-rançon pour les
infirmières bulgares en 2007).
Les enquêtes sur le Mondial 2022, attribué au Qatar, pointent un “pacte de corruption”
lors d’un déjeuner élyséen en 2010, impliquant Sarkozy, Platini et l’émir du Qatar.
Cette collusion culmine avec la guerre en Syrie, le Qatar voulant renverser Bachar Al
Assad pour installer un pouvoir islamiste à Damas et faire transiter son gaz par le
territoire syrien conquis avec l’aide de l’OTAN et de la France.
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Ces éléments, d’une gravité rare, doivent être rappelés à tous ceux qui seraient
prompts à se laisser influencer par la propagande de CNews (Bolloré) ou de TF1
(Bouygues), outils de désinformation aux ordres de la bourgeoisie dont Sarkozy est
l’ignoble masque.
Dans un État normal, Sarkozy aurait été jugé par un tribunal populaire pour haute
trahison, condamné à mort et fusillé.
Pas à cinq ans de prison dont tout le monde sait qu’il ne purgera que le dixième.
Article de Bru Fer (Copié/collé)