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A propos de elanithil

Ambre , 34 ans , Femme
Etait en ligne il y a plusieurs jours

Pour en savoir plus

Relation Amicale
Signe astrologique Cancer

Description

Le rp n'est plus ce qu'il était, comme diraient tous les petits vieux de smail. Je suis pourtant toujours joueuse et partante pour de nouveaux écrits. N'hésitez pas à me proposer un jeu.



Quelques persos tout faits. Mais je peux en créer un facilement pour les besoins d'un jeu.
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1er perso
Elanithil Oni
ou Maureen Mormegil

La mort d'un homme est une tragédie. La mort d'un millier d'hommes est une statistique.

Statut : Ménestrel défunte
Type de rp : Médiéval/ fantasy principalement

Courte description :
Raconte-moi en doux murmures, ton rêve et ta vie. Raconte-moi entre deux pleurs, le plus beau de tes sourires. Raconte-moi dans ton sommeil, ce qu'est la peur des ténèbres. Raconte-moi avec bonheur, qu'elle est ta plus grande peur. Raconte-moi tout doucement... Raconte-moi tout doucement... N'ai pas peur de ma silhouette, je ne suis qu'une ombre. Je ne crains que le soleil. Souffle ma lanterne, ferme les yeux, et raconte-moi tout doucement... oh oui, tout doucement...

Je suis morte. J'ai un teint livide, un visage d'une pâleur mortelle encadré par des longs cheveux aussi blanc qu'un linceul. Morte depuis. Aussi, ne voit-on pas un centimètre de ma peau, cachée sous les plis de ma robe noire et de ma cape de même couleur. Depuis quand ? Le jour, un masque en métal gris sale me permet de me cacher des traîtres rayons, pourriture de soleil. Est-ce que tu. Je ne quitte jamais une vieille besace qui m'a suivit, je crois, jusque dans les limbes. Tu sais comment ? Mes yeux couleur de pluie sont bien trop souvent vague et sans vie. Je veux savoir. Je suis morte. Je suis... simplement... là.

Je signale au passage que ménestrel au féminin s'écrit M-E-N-E-S-T-R-E-L et pas avec L-L-E à la fin. Merci d'y faire attention si vous rp avec moi ;-)

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2ème perso
Fail

La dictature c'est ferme ta gueule, et la démocratie c'est cause toujours.

Statut : Ancienne révolutionnaire
Type de rp : Tous de préférence à caractère moderne

Courte description :
Les bras croisés derrière la nuque, elle était allongée de tout son long entre les rails d'une de ces machines de fer apparues il n'y a pas si longtemps. Vêtue d'un vieux pantalon et d'une chemise tâchée de terre, elle portait à la ceinture quelques moineaux qui ne voleraient plus. Autour d'elle, ce n'était qu'un vieux cimetière de bidons rouillés et de bout de fer abandonnés. Des carcasses de maison étaient couvertes de graffitis divers, alors qu'un vent sec mais violent s'engouffrait dans les rues désertes en soulevant la poussière et la terre. Pourtant les yeux bleus ne remarquaient pas cette désolation. Tournés vers le ciel orageux, ils ne voyaient qu'un grand champ de neige, aussi blanc que ses cheveux. Il y avait dans ce champ, quelques cavaliers dont l'un tenait un étendard au symbole d'une noble famille sûrement, une hermine plus blanche que la neige et dont les deux pattes reposaient sur le plat d'une lame. Le vent soufflait fort ici aussi, faisant claquer les capes et courber les épaules. Il arrivait presqu'à noyer les cris et le choc des armes que les cavaliers entendaient, là-bas un peu plus loin dans le champ. Le blanc n'était plus, remplacé par la terre et le sang, les corps transpercés s'écroulant un à un. Le soleil brillait sur les casques et les boucliers de métal, mais également sur ces longues choses grises qui crachaient des billes meurtrières. L'hermine blanche devant ce triste spectacle qu'elle savait avoir déclenché, se détourna. Elle voulait s'enfuir loin de sa dague qu'elle utilisait avec tant de violence contre ses ennemis. Les yeux de la clocharde ne voyaient que cette scène à l'odeur éc%u0153urante de mort et de sang. Elle se lève, s'éloigne des rails, car bientôt une machine de fer passera. Les mains à demi gantées fourrées dans les poches, elle s'engouffre dans les ruelles poussiéreuses et vides et part très loin d'un champ de neige et de la dague.

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Variante de Fail

Statut : Capitaine du Zeppelin l'Hermine Blanche
Type de rp : Tous de préférence à caractère moderne

Courte description :
Le ciel se perd, se tourne sur lui-même, s'avale et se recrache. Il n'est ni bleu ni noir, simplement gris et tourmenté. Je ne pense pas décoller ce soir. Ca souffle là-haut. L'Hermine est assez robuste pour y naviguer mais l'équipage risque d'être vert et dégueulasser mon vaisseau. Autant rester là, un verre à la main à écouter les dernières rumeurs. Les Sourciers ont infiltré une base de l'armée Techno. Plusieurs morts des deux côtés, quelques prisonniers qui ont neutralisé leur coeur pour ne pas dévoiler l'emplacement de la ville des Sourciers. Cette guerre entre magie et technologie touche gentiment à sa fin, avec victoire écrasante pour le deuxième camp. Logique. Supériorité numérique, plus gros moyens, armement infaillible ou presque. Les magiciens sont idiots de continuer cette résistance. Il ferait mieux de se disperser et de se mêler à la foule, se perdre dans l'anonymat. Il y a longtemps que je l'ai compris. Se battre pour une cause perdue est inutile et dénué d'intérêt. Il vaut mieux rester en vie, oui.
Je relis pour la dixième fois cette convocation du Gouvernement. L'Hermine doit être inspectée de fond au comble ainsi que l'équipage pour débusquer d'éventuels Sourciers espions. Voilà ma nouvelle vie. Se plier aux lois et aux règles du plus fort... Je sais que mon zepp passera l'épreuve. Après tout, je n'ai jamais été arrêtée ni par les uns ni par les autres.

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3ème perso
Alone

Tant que sur terre il restera un homme pour chanter, il nous sera encore permis d'espérer.

Statut : Bricoleuse
Type de rp : Contemporain et futuriste

Courte description :
Des écouteurs vissés sur les oreilles, une clope éteinte entre ses lèvres, les cheveux bleus électriques qui virevoltent au rythme saccadé qui suit sa tête au son de la musique, un tournevis en main, un boîtier dans l'autre et un verre à moitié vide guère éloigné, voici l'image qui s'est imposée à mes yeux quand j'ai rencontré pour la première fois Alone. On m'a conseillé ses services dans un des bars de cette ville, quand j'ai demandé au patron qui pouvait réparer mon humanoïde sans réclamer la paperasse nécessaire. Je me suis donc retrouvé dans ce hangar dont la porte était entrouverte, à observer cette fille qui ne devait pas avoir 20 ans.

Trainant derrière moi un sac poubelle, je m'avançai donc, zigzaguant entre des morceaux de métal, des moteurs, des bouts d'humanoïdes, et autres pièces détachées. Je me plaçai un peu en retrait de la miss et attendit, attendit encore et encore, histoire qu'elle me remarque. Le regard scotché sur le boîtier qu'elle démontait, mâchouillant sa cigarette et avec en plus sa musique, elle n'avait pas du tout pris conscience de mon existence. Dans ces cas-là, on essaye généralement un s'cusez-moi ou un léger toussotement. Mais je n'avais pas le temps. Je l'attrapai par l'épaule, lançant un hey, peu courtois je l'admets, mais qui devait attirer son attention. D'un geste de la main, elle m'arrêta dans mon élan et marmonna
Suis pas aveugle. 'ttend deux sec'.
Les deux secondes demandées ne durèrent effectivement pas, juste le temps pour la fille de refermer le boîtier et de retirer son casque audio. Puis elle se tourna vers moi, ses longs cheveux bleus électrique tombant comme des ficelles sur la moitié de son visage.
Quoi ?
me demanda-t-elle d'un air renfrogné, comme si ma présence perturbait une importante réunion. Une réunion entre qui ? Entre elle et ses écouteurs d'où s'échappaient quelques notes tirées d'un violon ? Je passai dessus. Je soulevai mon sac poubelle.
J'ai un humanoïde là-dedans. Vous pouvez me le remettre sur pieds ?
Une simple demande, en fin de compte. J'espérai presqu'elle refuse, doutant soudain de ses compétences... Pourtant, elle fixait bizarrement de son oeil visible mon sac.
Il est bien petit ton humanoïde... qu'est-ce que t'as fait pour qu'il soit HS ?
J'eus à peine le temps de hausser les épaules, qu'elle chopa le sac et le vida sur sa table, après avoir pris soin d'éloigner son boîtier. Je n'eus pas le temps de protester pour le choc que reçut la machine au contact de la planche, qu'elle avait déjà saisi son tournevis et qu'elle ouvrait le boîtier de commande. Je ne dis donc rien et la laissai ausculter mon robot.

Au bout de dix minutes, elle annonça de cette même voix indifférente.
100 balles.
Ses doigts continuaient de s'activer à l'intérieur de la machine. C'était une sacrée somme pour un malheureux humanoïde.
Quoi ?! Autant ! Vous êtes une voleuse ! Personne ne me ferait payer un prix pareil !
Je pris un air courroucé, près même à récupérer la boîte de conserve si elle ne voulait pas baisser son prix. Ca ne semblait pas la toucher. Elle retourna l'humanoïde s'attaquant cette fois-ci à sa tête.
Je dois remplacer le cristal, il est trop encrassé. Ce n'est pas donné les cristaux. Et puis, je ne te demande aucune carte d'identité, ni de toi, ni de la machine. Je ne veux savoir ni comment ni où tu l'as trouvé pour avoir un cristal aussi crade. Je me contre fous si tu fais de la contrebande, si tu as l'intention d'assassiner le Gouverneur ou si tu vas l'utiliser pour planter tes tomates. C'est 100 balles, ou tu le fait visiter par un envoyé du gouvernement qui lui, dort avec sa paperasse.
Elle me laissa réfléchir en continuant son inspection, attrapant un bloc pour y noter quelque chose.

Après quelques instants, je fini par accepter d'un signe de tête. Elle tendit la main.
Tout de suite. Je ne bosse pas à crédit.
Un long soupir s'échappa de mes lèvres alors que les doigts de la miss se refermèrent sur les billets que je donnai.
Bien sûr, je peux compter sur votre discrétion pour cette affaire ?
Elle haussa les épaules.
Je demande un suppléant pour ça. Mais tu m'as amené une bonne machine, alors c'est bon. Je ne dirai rien. Maintenant casse-toi. Je n'ai pas besoin de tes commentaires pour réparer ton humanoïde.
A mon tour de hausser les épaules. Je l'observai encore une ou deux secondes, elle avait enfilé une paire de lunette opaque et attraper divers outils, avant de repartir vers la porte. Avant de la franchir je demandai quand je devais repasser, elle me répondit le lendemain matin.

Soit, je reviens au hangar avec le lever du soleil. La porte était fermée cette fois-ci, mais mon humanoïde était assis devant. Il se releva, son visage enfantin souriant et m'accueillit avec un bonjour maître. Je ne répondis rien, observant la porte. Dormait-elle après avoir dépensé l'argent que je lui avais donné en alcool ou autre ? Ou avait-elle bossé toute la nuit sur mon robot tant qu'elle en était épuisée ? Je l'ignorais et je m'en foutais. Je pris la main de la machine et l'entrainai avec moi dans les rues encore déserte. On m'avait prévenu qu'elle était borgne, mais je devais reconnaître qu'elle avait un sacré tour de tournevis...

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4ème pers
Alicia Tinuviel

Je suis une gauchère contrariante. C'est plus fort que moi. Il faut que j'emmerde les droitiers.

Statut : Voleuse
Type de rp : Tous ^^

Variante
Alice

Rien n'est vrai. Tout est permis.

Statut : Diable de majordome
Type de rp : Contemporain / victorien

Courte description :

Connaissez-vous le Croque-mitaine ?
Miton, miton, mitaine
Il a de grands yeux et un air malveillant
Miton, miton, mitaine
Un drôle de sourire et de grandes dents
Miton, miton, mitaine
Un étrange regard, quelque chose d'envoutant
Miton, miton, mitaine
C'est le grand Maître des démons malfaisants !
Miton, miton, mitaine
Connaissez-vous le Croque-mitaine ?
Miton, miton, mitaine...

Je l'ai vu l'autre soir,
Partir sur la Route des Ombres
Miton, miton, mitaine
Lui, grand maître des cauchemars,
Ne pensait pas craindre la pénombre !
Miton, miton, mitaine
Mais il est ressortit du noir,
Tremblant et le regard sombre.
Miton, miton, mitaine

Il me fit jurer de taire son désespoir
Cette peur impossible des ombres
Miton, miton, mitaine
Du long tunnel illusoire
Et des silhouettes perdues dans les décombres
Miton, miton, mitaine
Il me menaça de m'envoyer quelques vilains cauchemars
Je lui répondis : Je t'enverrai sur la Route des Ombres.
Miton, miton, mitaine.

Connaissez-vous le Croque-mitaine ?
Miton, miton, mitaine
Il se cache sous son lit, pauvre spécimen
Miton, miton, mitaine
Depuis que je l'ai mené sur une Route lointaine
Miton, miton, mitaine
Où se disputent des créatures en nombre
Miton, miton, mitaine
Juste quelques flaques sombres
Miton, miton, mitaine
Connaissez- vous la Route des Ombres ?

Miton, miton, mitaine...

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Et encore Camille Aybara, Elly, Raven et d'autres...

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