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Citation de carpe_diem_1973
je n'ai jamais avancé le contraire,
ce n'est pas une mince affaire,
que de convoiter une diablesse,
sans aller à confesse,
c'est joliment dit ceci...
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Avide et cupide désir toujours grandissant
Ne laisseras-tu mon corps sans le sang
Belles ses courbes et son sourire naissant
Beauté devant mes yeux inlassablement
Tantôt un rai sur la courbe des reins
Tantôt un souffle sur la rondeur de ses seins
Et son cou, diable, je damnerai les miens
Pour y poser mes lèvres et mes mains
Succube qui attise en mon corps
L'idée pugnace d'encore et encore
Abreuve mes rêves d'homme fort
Lors que la lune montre son aurore.
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Citation de morganna
c'est joliment dit ceci...
merci
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envie de femme,
désir fougueux,
je monte en gamme,
allèchement ambitieux,
je dévoile ma flamme ,
je la veux,
nue et subordonnée ,
attachée à mon pieux ,
conquise et apprivoisée,
échauffant mon coté vicieux,
trépignante et déterminée,
je l'envisage, un brin crapuleux.
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Belle et soumise à mon désir
M'incitant de ses yeux et son sourire,
De son corps je voudrais me repaître
Gobant son sein et l'eau de son être,
Avalant de ma langue échauffée
Sa peau et ses reins cambrés,
Bouge telle une vipère sensuelle
Sous l'annonce de mon désir mortel,
Plus proche du diable que de dieu
La luxure est credo de mon pieu,
Je la veux, peu importe le sens,
J'ai mis au feu mon reste de décence,
Mon envie ne fait que grandir
A l'idée que je puisse la faire jouir.
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ce moment se fait propice,
de se laisser aller à la dérive,
la posséder sans artifice,
est une idée jouissive,
à m'en faire oublier qui je suis,
n'en plus savoir ou je suis,
juste laisser la bête ,
sans retenue lui faire sa fête,
lui faire crier tout son bien être,
et lui écrire sa plus belle lettre.
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Est-ce moi qui ai son corps et son âme
Ou est-ce elle qui me damne ?
Ses ongles dans l'ombre de mon dos
Je les veux jusqu'au coeur de mes os
Les soupirs de son corps essoufflé
Je les veux son rauque des miens mêlés,
La prendre entre mes mains affamées
Tendre et appétissante douce désirée,
La déchirer comme si elle était mon dû
La satisfaire jusqu'à ce que sois repu,
Mais je l'entends résonner dans ma tête
L'esprit que je perds à l'idée de conquête.
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la femelle est là,
humide et bouillante,
sous mon emprise,ma furia,
une étreinte époustouflante,
je la malmène sans pitié,
elle me conjure de l'achever,
d'un mouvement accéléré ,
je vais la faire abdiquer.
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effréné le rythme de mes coups
je la sens, je le veux son courroux,
sa ire dans ce désir de jouissance ultime
que je me déverse dans son antre intime,
elle me mord de ses ongles, de ses cris
mon irrésistible appétissante furie,
je la déchire de mon insatiable envie
sous nous cèdera mon pauvre lit,
et la voici qui se cambre et s'offre davantage
je ne suis plus homme ni sauvage,
je suis à mon tour l'esclave que je voulus qu'elle soit
maintenant que son odeur demeure sur moi.
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elle désire d'avantage ,
que je me déchaîne ,
je pars à l'abordage,
c'est elle qui m’entraîne ,
me désinhibe , me libère,
me fais mugir à n'en plus finir,
ou comment s'envoyer en l'air,
je vais finir par défaillir.
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