" Pour Tribune Libre, le 5 février 2024, Stéphanie Reynaud s’entretient avec Macha Bouttier, jeune maman qui témoigne de ses nombreux et graves effets secondaires post-injections « anti-Covid », des pressions subies et de son parcours semé d’embûches pour faire reconnaître le lien entre injections et pathologies chroniques et dévastatrices (encéphalomyélite, etc.). "
" Bill Gates ou la domestication du monde - The Corbett Report "
VIDÉO ( version longue )
PARTIE 1 : Qui est Bill Gates ?
PARTIE 2 : Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde
PARTIE 3 : Bill Gates et la grille de contrôle de la population
PARTIE 4 : Rencontrez Bill Gates de 1:27:02 à la fin
" Les caillots sanguins sont désormais la première cause de mortalité évitable en Amérique "
7 février 2024
" De nouvelles données dévastatrices révèlent que les caillots sanguins mortels ont atteint un tel niveau qu’ils constituent la principale cause de décès évitables dans les hôpitaux américains.
Selon un nouveau rapport de la National Blood Clot Alliance (NBCA), le nombre de décès causés par des caillots sanguins est monté en flèche après le lancement des vaccins à ARNm contre le covid.
L’augmentation du nombre de décès signifie que les caillots sanguins sont désormais responsables de 300 000 décès par an aux États-Unis.
Selon la NBCA, les caillots sanguins tuent aujourd’hui plus d’Américains que les accidents de voiture, le cancer du sein et le sida réunis.
Malgré le nombre alarmant de décès, l’administration du président démocrate Joe Biden semble minimiser le problème.
Selon les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui ne révèlent publiquement les chiffres que jusqu’en 2021, seules 100 000 personnes meurent chaque année de caillots sanguins aux États-Unis.
Les données de la principale agence fédérale de santé sont bien inférieures aux derniers chiffres publiés par la NBCA.
Néanmoins, les CDC insistent sur le fait que près de la moitié des décès sont dus au fait que les patients ne reçoivent pas de traitement préventif adéquat, selon les CDC.
Malgré cela, les données des CDC montrent qu’un décès hospitalier sur dix est désormais attribué à un caillot de sang dans les poumons.
L’agence reconnaît qu’il s’agit désormais de la principale cause de décès hospitaliers évitables aux États-Unis.
Les données montrent que ce nombre a commencé à grimper en flèche pendant la pandémie de covid.
Certaines études ont montré que le fait de contracter le virus était lié à une plus grande probabilité de développer des caillots sanguins. "
" En raison d’une diminution des revenus attendus du Paxlovid et du vaccin Comirnaty, Pfizer a décidé de revoir ses prévisions . Malgré le déclin des ventes liées au COVID, Pfizer a enregistré un résultat positif pour le quatrième trimestre 2023 grâce à la hausse des revenus opérationnels. Le PDG Albert Bourla a révélé les priorités stratégies du géant pharmaceutique pour l’année à venir. Il a réaffirmé son engagement envers l’oncologie. Un engagement qui lui permettra surtout de doubler son portefeuille de médicaments oncologiques en développement, qui générera un chiffre d’affaires de 10 milliards de dollars d’ici à 2030. "
" Retour de l’Inquisition. Critiquer la connaissance médicale du moment, passible désormais de prison ! "
" « Et pourtant elle tourne » ! Dans ce monde d’incultes, il est plus facile de traiter ceux qui pensent de complotistes ou de fascistes que d’entamer le débat avec eux. Ne nous laissons pas intimider par ces fous mes amis. Résistons, à la pointe du stylo. Résistons avec les mots, les concepts et la pensée. Résistons en convoquant l’histoire à la barre.
Souvenez-vous de Galilée.
« Le procès de Galilée, ou l’affaire Galilée, est l’enquête et la condamnation du savant astronome Galilée par l’Inquisition pour avoir critiqué le géentrisme et soutenu l’héliocentrisme.
L’affaire commence vers 1610, quand Galilée publie Sidereus nuncius. Il y décrit ses observations astronomiques à l’aide d’une lunette astronomique. Ses observations l’amènent à réfuter le géentrisme et à confirmer la théorie héliocentrique exposée par le chanoine Nicolas Copernic dans son œuvre Des révolutions des sphères célestes (1543). L’Église catholique s&rsquopose à cette vision des choses. Elle déclare officiellement hérétique l’héliocentrisme en 1616, met à l’Index les œuvres qui abordent le sujet et interdit à Galilée d’enseigner cette théorie.
Galilée se conforme plus ou moins à l’interdiction de l’Église. L’affaire connaît plusieurs étapes car le pape Urbain VIII avait été le mécène de Galilée et lui avait permis de publier ses travaux sur le système copernicien tant qu’il le présentait comme une simple hypothèse : le véritable conflit date de 1632, lorsque Galilée publie son Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, ce qui entraîne son procès. Le savant est condamné en 1633 à l’incarcération, qui est en fait une résidence surveillée jusqu’à sa mort en 1642. »
Il n’appartient pas à l’Etat de déterminer la vérité scientifique, or c’est exactement ce qu’il veut faire et c’est d’une gravité absolue car c’est la négation de notre histoire et de la science.
Tout ce que nous pensons vrai aujourd’hui sera faux dans 2 siècles.
Si vous connaissez l’histoire et la science, vous savez que la science évolue.
Tout ce que nous pensions juste hier, tout ce qui était des certitudes, de la terre qui était au centre de l’Univers, aux saignées des médecins de Molière, est désormais faux.
Tout ce qui est vrai aujourd’hui sera pour l’essentiel réfuté.
Notre physique sera radicalement différente dans 2 siècles et nos connaissances médicales d’aujourd’hui sembleront à nos descendants de dans 500 ans aussi barbares et ignares que les saignées d’autrefois le sont pour nous aujourd’hui.
Ainsi vont l’histoire et la science.
Mais nos abrutis de dirigeants, pensent qu’ils peuvent s’arroger le droit de savoir ce qui est vrai et ce qui faux et c’est exactement le sens de cette législation sur les dérives sectaires, qui part d’un bon sentiment comme à chaque fois, mais l’enfer est toujours pavé de bonnes intentions ! "
" Louis Fouché et Jérémie Mercier : La fabrique des monstres
Jérémie Mercier reçoit Louis Fouché autour de la question de la peur comme outil de manipulation. La peur gouverne notre époque. Partout s’imposent des images et des messages anxiogènes. Alors que tout est progressivement perçu comme dangereux, les peurs enflent démesurément et notre société s’enferme dans l’impasse de l’hypercontrôle. Comment faire face individuellement ? Comment proposer une voie collective autre que la crispation totalitaire ? "
" Incroyable !
La députée macroniste rhumatologue Rist qui a déposé l'amendement pour rétablir l'article 4, a non seulement eu des liens d'intérêts avec l'industrie pharmaceutique dont pfizer, mais, ???? sur le ????, son mari a créé en 2020 une société de formation sur la vaccination: "
" Bill Gates préconise des vaccins sans injection pour la « 2ème pandémie » "
12 février 2024
" Le cofondateur de Microsoft, Bill Gates, préconise une nouvelle forme de vaccin qui ne nécessite pas d’injection, alors qu’il avertit le public qu’il doit commencer à se préparer à la « pandémie 2 » à venir.
Bill Gates a mis au point un nouveau concept de vaccin qui consiste à placer « un petit patch » sur la peau d’une personne.
Lors d’une récente apparition sur CNBC TV18 en Inde, Gates a été interrogé sur l’avenir de la fabrication des vaccins.
Il a révélé avec enthousiasme que de nouveaux vaccins sans aiguille étaient en cours de développement grâce aux progrès des technologies de la santé.
« Nous nous assurons, pour tous ces vaccins, que la capacité est suffisante, qu’il y a de la concurrence et que les prix continuent de baisser », a déclaré Gates.
« Et nous aurons de nouveaux vaccins. »
« Nous aurons un vaccin contre la tuberculose, un vaccin contre le paludisme, un vaccin contre le VIH. »
Gates a ensuite porté son attention sur les vaccins à ARNm contre le covid et sur la manière dont il pense qu’ils pourraient être administrés plus efficacement.
Il a expliqué que pour la « prochaine pandémie », nous « devons faire en sorte que les vaccins aient une durée de vie plus longue et une couverture plus large ».
« Au lieu d’utiliser une aiguille, nous allons utiliser un petit patch », a ajouté Gates à propos de la nouvelle technologie envisagée.
Toutefois, les nouveaux vaccins de Gates ne répondent guère aux risques sanitaires associés aux injections anti covid à ARNm.
Bien que la nouvelle méthode de Gates permette d’administrer les vaccins contre le Covid sans recourir à des aiguilles, elle fait toujours appel à la technologie de l’ARNm utilisée dans les vaccins actuels de Big Pharma.
À un moment donné, Gates a même utilisé le terme « Pandémie 2 » pour décrire un autre événement futur de type Covid. "
" Un mensonge de plus dans l’élaboration des essais cliniques "
" On convient régulièrement que le diable se reconnaitrait à deux particularités importantes. Qu’il s’habillerait en Prada, certes, mais surtout qu’il se cacherait formidablement bien dans les détails, et c’est exactement ce que Marceau vient de confirmer avec la découverte de cette directive innocente adoptée en catimini par la FDA deux jours avant Noël 2023 : la recherche clinique se réalisait déjà souvent de manière parfaitement écœurante [*] mais voilà qu’à présent elle mentira sciemment aux gogos et aux victimes de ses essais statistiques. À votre avis, quel enseignement en tirera l’Agence Européenne du Médicament, traditionnel caniche de la FDA ? Bonne lecture.
Ultime attaque du consentement éclairé émanant de la Food and Drug Administration (FDA-USA) elle-même ! Sans aucune discussion parlementaire aux États-Unis, l’agence de régulation publie cette dinguerie 4 jours avant Noël [1].
Le 21 décembre 2023, la FDA a publié une « règle finale » prévoyant une exception à l’obligation d’obtenir un consentement éclairé lorsqu’une investigation clinique ne présente qu’un risque minimal pour le sujet humain et comprend des garanties « appropriées » pour protéger les droits, la sécurité et le bien-être des personnes sujets [2].
Cette règle permet à un IRB (Institutional Review Board) d’approuver une procédure de consentement éclairé qui modifie certains éléments du consentement éclairé ou dispense de l’obligation d’obtenir un consentement éclairé, dans des conditions limitées, pour certaines investigations cliniques à risque minimal réglementées par la FDA, à condition que l’IRB ait trouvé et documenté 5 critères conformes à la politique fédérale révisée pour la protection des sujets humains. "