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À partir de la publication des données VAERS du 26/05/2023 :
C'est VAERS ID 1166062
Avis de non-responsabilité du gouvernement sur l'utilisation de ces données "
Suite à la rétractation de la dernière étude sauvage de l’IHU-M, doit-on s’attendre à une cascade de rétractions des études sortie de L’IHU-Méditerannée, les experts parlent de plusieurs centaines d’études « préo ccupantes » ?
La question est posée !
Depuis que l’affaire a été dévoilée au grand jour auprès des téléspectateurs de France 2, dans le magazine « Complément d’enquête : Didier Raoult, le savant flou » diffusé le 17/11/22 », de l’aveu même de la fraude par le Vice Président de l’IHU, Louis Schweitzer.
Ce ne serait plus qu’une question de temps pour que cette étude, qui a fait couler beaucoup d’encre dans le milieu scientifique, pour qu’elle soit bientôt rétractée par l’éditeur.
D’autant qu’un article revu pas les pairs a été publié, mettant en lumière les anomalies de cette première étude sur l’HCQ à l’IHU et qui a provoqué autant de polémique.
« Complément d’enquête
Didier Raoult, le savant flou
» November 18, 2022
« Pour Louis Schweitzer, vice-président de l'IHU de Marseille, l’étude (Gautret et al.)
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0924857920300996 sur l’hydroxychrloroquine de Didier Raoult est une fraude :
« On a peine à croire que quatre erreurs dans un tout petit échantillon allant toutes dans le même sens, soient des accidents. » »
« Complément d'enquête
Didier Raoult, le savant flou » diffusé le 17/11/22 à 23h02 Disponible jusqu'au 18/11/23
• France 2
• Magazines
• 1 h 21 min
• Français
Présenté par : Tristan Waleckx
Maison de production : France 2 / France 2 (FR2)
« Le 20 avril 2022, Didier Raoult se prépare à affronter la presse. Deux rapports explosifs sont sur le point d'être rendus publics. Ils vont déboucher sur des plaintes, une enquête judiciaire et sur la suspension de tous les essais cliniques menés dans son institut hospitalo-universitaire. Le savant le plus célèbre de Marseille crie à l'injustice mais il est poussé vers la sortie. Une retraite au goût de défaite pour celui qui avait annoncé pouvoir guérir le monde du Covid avec l'hydroxychloroquine.
Qui connaît vraiment le professeur Raoult ?
Dans les laboratoires de son IHU de Marseille, des témoins ont accepté de se confier. » https://www.france.tv/france-2/complement-d-enquete/4278046-didier-raoult-le-savant-flou.html
Soc. Française de Pharmacologie et Thérapeutique @SFPT_fr
9:50 AM · Jun 6, 2023
« Pour comprendre la nécessité de rétracter la publication de Gautret et al. en juillet 2020, concernant l'#hydroxychloroquine et l'#azithromycine dans la #covid »
avec @MathieuMolimard @MicrobiomDigest @LacombeKarine1
sciencedirect.com
Why the article that led to the widespread use of hydroxychloroquine in COVID-19 should be retrac…
« Why the article that led to the widespread use of hydroxychloroquine in COVID-19 should be retracted? » Therapies
Available online 2 June 2023
Received 2 May 2023, Available online 2 June 2023.
Damien Barraud a, Lonni Besancon b, Elisabeth M Bik c, Eric Billy d, Franck Clarot e, Fabrice Frank d, Anthony Guihur f, David Hajage g, Karine Lacombe h, Hervé Maisonneuve i, Mathieu Molimard j, Matthieu Mulot k l, Alexander Samuel m
« Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19: results of an open-label non-randomized clinical trial
» International Journal of Antimicrobial Agents
Volume 56, Issue 1, July 2020, 105949
Philippe Gautret a b $, Jean-Christophe Lagier a c $, Philippe Parola a b, Van Thuan Hoang a b d, Line Meddeb a, Morgane Mailhe a, Barbara Doudier a, Johan Courjon e f g, Valérie Giordanengo h, Vera Esteves Vieira a, Hervé Tissot Dupont a c, Stéphane Honoré i j, Philippe Colson a c, Eric Chabrière a c, Bernard La Scola a c, Jean-Marc Rolain a c, Philippe Brouqui a c, Didier Raoult a c
" « Des études d'autopsie ont été réalisées pour des cas de mort subite après la vaccination contre le COVID […] ont identifié 8 cas de mort subite cardiaque attribuables à la myocardite liée à la vaccination »
Un fil twitter pour comprendre pourquoi cet essai (en preprint non relu par les pairs) de 30 423 patients a fait scandale à la fois par le non respect présumé des règles d’éthique sur la protection des personnes et des nombreux biais et pouyrquoi il a été rétracté notamment celui décrit par l’un des auteurs de cet essai, bref l’essai écarte les patients ayant des contre indications (cardiaques…) du bras HCQ, justement en partie ceux parmi les plus à risques en cas de contamination par le virus ! Tu saisis Foutaise ou veux-tu que je réexplique ? :
Steve Claude @ClaudeSteve6
9:31 PM · Jun 7, 2023
« 5/ Ils avouent ici avoir traité uniquement les personnes sans contre-indications ce qui déséquilibre leurs groupes de comparaison. »
" Hydroxychloroquine et mensonges
L' hydroxychloroquine dans le covid: cela tue (clamé par le Lancet dans un article frauduleux et rétracté mais entériné par Mr Veran et l' OMS en 24 H ).
L' hydroxychloroquine cela ne marche pas , nos chiffres sont truqués ( clamé par ''complément d' enquête''), un huissier confirme nos données .
Notre dernier travail, contrôlé par huissier, rapporte une diminution de 70% de morts chez les patients traités précocement et 40% sur 30 000 patients hospitalisés entre 2020 et 2021, soit 800 à 1000 morts évités à Marseille (étude en ligne).
Oui mais c'est illégal. Cela n'a pas été noté par la visite à charge de 8 inspecteurs pendant 7 mois (ANSM, IGAS, IGAESRI) ni par l'avis du directeur géneral de la santé (Pr Salomon) consulté en 2022.
Ces résultats sont comparables à ceux de la synthèse du site ''early C19'' (visible sur internet) basé sur 393 études incluant 500 000 personnes.
Est-ce illégal de sauver des gens? Il devient urgent qu'une commission indépendante examine ces résultats qui sont tous disponibles sur internet . "
Citation de fouthese
( lol - on s'amuse bien ici ! )
" Hydroxychloroquine et mensonges
L' hydroxychloroquine dans le covid: cela tue (clamé par le Lancet dans un article frauduleux et rétracté mais entériné par Mr Veran et l' OMS en 24 H ).
L' hydroxychloroquine cela ne marche pas , nos chiffres sont truqués ( clamé par ''complément d' enquête''), un huissier confirme nos données .
Notre dernier travail, contrôlé par huissier, rapporte une diminution de 70% de morts chez les patients traités précocement et 40% sur 30 000 patients hospitalisés entre 2020 et 2021, soit 800 à 1000 morts évités à Marseille (étude en ligne).
Oui mais c'est illégal. Cela n'a pas été noté par la visite à charge de 8 inspecteurs pendant 7 mois (ANSM, IGAS, IGAESRI) ni par l'avis du directeur géneral de la santé (Pr Salomon) consulté en 2022.
Ces résultats sont comparables à ceux de la synthèse du site ''early C19'' (visible sur internet) basé sur 393 études incluant 500 000 personnes.
Est-ce illégal de sauver des gens? Il devient urgent qu'une commission indépendante examine ces résultats qui sont tous disponibles sur internet . "
« Didier Raoult : études truquées, pressions, protections, les révélations de « Complément d’enquête » » Par Sudouest.fr
Publié le 18/11/2022 à 11h17
Mis à jour le 18/11/2022 à 15h00
« Un IHU qu’il a fondé où travaillent 700 personnes, désormais étroitement géré et surveillé par les services de l’état, et dans le collimateur de la justice.
Car les griefs contre le chercheur préféré des complotistes sont nombreux et remonteraient bien avant l’épidémie de coronavirus. Notamment concernant le fonctionnement de la structure. Un fonctionnement auquel s’est intéressé le magazine d’investigation de France 2 « Complément d’enquête », diffusé ce jeudi 17 novembre au soir sur France 2 et dont la dernière émission était intitulée « Didier Raoult. le savant flou ».
Des études faussées En partant d’un fichier de patients ayant participé à l’étude de l’IHU de Marseille et en le recoupant avec celui de l’étude de Didier Raoult, le journaliste Tristan Waleckx et ses équipes ont pu constater que les données d’au moins quatre patients sur 16 avaient été mal reportées dans l’étude finale. »
Et puis pourquoi ne cites-tu pas la plus grande star mondiale de l'épidémiologie, le Pr. préféré de Papadoc John Ioannidis ? Une raison particulière ? Ou c'est parce que sa meta analyse conclue que le traitement HCQ +AZM a causé une augmentation de la surmortalité rien que pour la 1ère vague, d'une centaine de milliers de personnes avec ce traitement ?
Foutaise, il serait temps de revenir sur terre ! CQFD
" "Il y aura les vies perdues, morts en excès que seule la statistique révèlera plusieurs années après, car ces morts seront le plus souvent de causes non spécifiques"
Didier Fassin, chaire Santé Publique du Collège de France, juin 2021 "
" "La peur va enfin changer de camp" : accusé de harcèlement sur des internes, un PU-PH perd son statut de chef de service "
07-juin-2023
" Après un an à se battre pour faire condamner un chef de service du CHU de Brest suite à 40 témoignages pour des faits de harcèlement moral professionnel sur des étudiants en médecine, l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) se félicite que la direction de l’établissement ait pris la décision de le remplacer.
“Retrait définitif du mandat de chef de service : la peur va enfin changer de camp !”, salue l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) dans un communiqué publié ce mercredi 7 juin. Il y a un an, le syndicat, alerté par des internes en stage dans le service d’anesthésie-réanimation du CHU de Brest, s’est battu pour l’ouverture d’une enquête administrative pour des faits de harcèlement moral professionnel.
“Cette dernière a mis en lumière les faits reprochés à ce chef de service et conclut à un retrait définitif du mandat de chef de service du professeur” le 2 février dernier après une suspension, rappelle l’Isni. La direction aurait même décidé d’initier les démarches pour recruter un nouveau chef de service, salue encore la structure.
“Déterminée à faire cesser ces agissements où qu’ils se produisent, l’Isni poursuit son action par le dépôt d’une plainte au pénal pour harcèlement moral sur 16 victimes”, écrit sa présidente, Olivia Fraigneau. Une plainte qui sera complétée par une seconde, ordinale, et qui a entraîné l’ouverture d’une enquête de police.
“Rappelons que le premier facteur de risque d'événements indésirables sur les patients est le stress des professionnels de santé. Il est donc indispensable que ce service retrouve sa sérénité”, conclut la présidente de l’Isni, s’engageant à rester vigilante à ce que cet événement ne produise pas “d’impact négatif sur les carrières des victimes”.
Citation de fouthese
" "La peur va enfin changer de camp" : accusé de harcèlement sur des internes, un PU-PH perd son statut de chef de service "
07-juin-2023
" Après un an à se battre pour faire condamner un chef de service du CHU de Brest suite à 40 témoignages pour des faits de harcèlement moral professionnel sur des étudiants en médecine, l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) se félicite que la direction de l’établissement ait pris la décision de le remplacer.
“Retrait définitif du mandat de chef de service : la peur va enfin changer de camp !”, salue l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) dans un communiqué publié ce mercredi 7 juin. Il y a un an, le syndicat, alerté par des internes en stage dans le service d’anesthésie-réanimation du CHU de Brest, s’est battu pour l’ouverture d’une enquête administrative pour des faits de harcèlement moral professionnel.
“Cette dernière a mis en lumière les faits reprochés à ce chef de service et conclut à un retrait définitif du mandat de chef de service du professeur” le 2 février dernier après une suspension, rappelle l’Isni. La direction aurait même décidé d’initier les démarches pour recruter un nouveau chef de service, salue encore la structure.
“Déterminée à faire cesser ces agissements où qu’ils se produisent, l’Isni poursuit son action par le dépôt d’une plainte au pénal pour harcèlement moral sur 16 victimes”, écrit sa présidente, Olivia Fraigneau. Une plainte qui sera complétée par une seconde, ordinale, et qui a entraîné l’ouverture d’une enquête de police.
“Rappelons que le premier facteur de risque d'événements indésirables sur les patients est le stress des professionnels de santé. Il est donc indispensable que ce service retrouve sa sérénité”, conclut la présidente de l’Isni, s’engageant à rester vigilante à ce que cet événement ne produise pas “d’impact négatif sur les carrières des victimes”.
" "Vous les externes, vous êtes des chiennes" : enquête sur la face cachée des études de médecine "
18-03-2021
" "L’omerta a assez duré, brisons-là, ensemble", appelle l’Association nationale des étudiants en médecine de France qui publie, ce jeudi 18 mars, une grande enquête sur les violences sexistes et sexuelles dans les études médicales. Loin d’être marginaux, cette enquête montre que ces délits sont aujourd’hui banalisés et trop peu dénoncés dans le milieu hospitalier comme au sein des facultés. Parfois assimilés à "l’esprit carabin", ils ont aussi des conséquences graves dans la vie d’un étudiant victime sur quatre. État des lieux.
Il y a des chiffres qui font froid dans le dos et qui, pourtant, ne surprennent plus. Afin de lever le voile sur l’étendue des violences sexistes et sexuelles dans les études médicales, l’Association nationale des étudiants en médecine de France (Anemf) publie, ce jeudi 18 mars, une grande enquête*, accompagnée de centaines de témoignages de carabins de tous âges. Cette dernière révèle un phénomène loin d’être à la marge puisque 40% des étudiantes et étudiants ont déjà reçu des remarques sexistes dans le cadre de leurs études, les femmes en étant quatre fois plus victimes que les hommes. Et 16% ont déjà subi des agressions sexuelles et sexistes dans leur vie universitaire. Pour aller plus loin dans son analyse, l’Anemf s’est aussi penchée sur le profil des auteurs de ces agressions. Dans près de 9 actes de harcèlement sur 10, des supérieurs hiérarchiques en étaient à l’origine : PU-PH, PH, chefs de clinique assistants, internes, ou encore, chefs de service.
"C'est notre société tout entière qui est malade du sexisme”, dénonçait Emmanuel Macron en novembre 2017, au lancement de diverses mesures pour lutter contre les violences et le harcèlement sexuel. Quatre ans plus tard, à un an de l'élection présidentielle, force est de constater qu’à l’hôpital et dans les études médicales, rien n’a changé. “Les chiffres sont très parlants mais malheureusement, on s’y attendait”, se désole Morgane Gode-Henric, présidente de l’Anemf. 19% des carabins ont par ailleurs dû faire face à des questions d’ordre sexuel ou intime pendant leur cursus, et plus d’une personne sur deux a subi cette situation plusieurs fois.
"Lors de mon stage de chirurgie de 2ème année, le médecin référent qui devait me noter m’a emmené dans son bureau pour remplir mon carnet de stage de validation (...) et m’a proposé +2 points si je me mettais nue. J’ai pensé que c'était une blague et j’ai refusé ... j’ai eu 18"
Il y a les remarques courantes, presque “habituelles” : les femmes ne peuvent pas devenir chirurgienne, devant gérer cuisine, loisirs et enfants, les femmes sont faites pour être infirmières, les femmes peuvent être surnommées “chérie”, “poupette”, “pupute”, “ma belle”, les femmes doivent porter la blouse près du corps, et puis, il y a les mains baladeuses. Mais dans les témoignages, reviennent aussi en nombre les propos relevant de chantage...Lire la suite "
" Formés au Covid et après? Témoignages de futurs médecins désemparés "
13-11-2020
" Conséquence de la crise du Covid, l’enseignement des futurs médecins a dû s’adapter. Entre réquisition d’internes loin de leurs spécialités, annulation des stages, report et suppression des travaux pratiques, manque de cours théoriques… Les carabins sont déroutés, stressés à l'idée de manquer des bases nécessaires à l'exercice de leur futur métier. Parfois contraints de pratiquer des tests PCR dans le cadre de leur cursus, en “main d'œuvre gratuite”, beaucoup s’inquiètent de leur apprentissage. Etudiants de deuxième, troisième années, externes et internes, ils confient leurs précupations concernant le dérèglement de leur apprentissage dans un contexte de pandémie, sans perspective de retour à la normale.
28 octobre 2020, Emmanuel Macron annonce un nouveau confinement face à l’aggravation de la situation épidémique. Les universités ferment leurs portes et doivent à nouveau avoir recours au télé-enseignement. Après quatre mois d’expérimentation du “distanciel” lors de la première vague, c’est la douche froide pour les étudiants en santé. Au total, certains n’auront pas mis le moindre pied à la faculté ni à l’hôpital en neuf mois d’épidémie.
Parallèlement, la France s’enfonce dans la deuxième vague de Covid. Chaque jour, les chiffres de contamination et d’hospitalisation progressent. Les bras manquent. Le spectre de la réquisition plane sur les médecins libéraux et internes. C’est dans ce contexte, et pour gonfler les effectifs notamment, que certaines facultés parisiennes ont fait le choix de consacrer l’UE “Service civique” des troisièmes années pour faire des tests PCR. Problème : cela se fait sans contrat, ni rémunération. Cette unité d’enseignement a pour objectif de former les étudiants au “travail de prévention”. Mais, profitant de textes flous, les facultés ont pu contraindre les futurs carabins à tester massivement. Un élève parisien nous confie être inquiet de la mise en place de ce dispositif, qui sera effectif en même temps que ses partiels du semestre. Voici le message qu’il a reçu de la part de l’élue de sa promotion : "
" "On est des machines à cocher des cases de QCM, pas des machines à soigner" : confidences d'internes face au Covid "
7-11-2020
" C’est un livre qui parle d'internes et de vocations. De vocations médicales dans un contexte de pandémie mondiale. Alors qu’ils sont toujours en cours de formation et n’avaient pas toutes les armes pour lutter, ces carabins ont été projetés en première ligne face au virus. Dans “Paroles d’internes”, Stephen Carrière a recueilli 24 témoignages de jeunes femmes et hommes entre le 17 mars et le 25 avril 2020 partout en France, qu’ils aient été en stage en médecine générale, anesthésie-réanimation, infectiologie, gynécologie-obstétrique ou aux urgences. Les futurs praticiens lui ont confié colère, désarroi, inquiétude, sentiments ou convictions qu’ils ont pu ressentir à un moment fragile et crucial de leur parcours de soignant. Egora vous en dévoile les bonnes feuilles. "
La mauvaise façon de minimiser le partage de germes
Ce n'est plus courant, mais vous le voyez toujours; quelqu'un portant un masque. Est-il possible que tant de personnes aient ignoré ou n'aient pas été exposées à la vérité que le port chronique de masque est nocif ? Peut-être que certains ont un proche immunodéprimé à la maison ? Peut-être que d'autres se remettent d'un rhume et ne veulent pas le propager ? S'il y a une chose qui s'est ancrée chez les gens au cours des 3 dernières années, c'est que nous ne voulons pas faire de mal aux autres avec nos « germes ». Le port du masque s'est avéré NE PAS être efficace pour prévenir la propagation des maladies, en particulier les maladies virales.[ 1 ]
Comment réduire efficacement les infections virales
Si les masques ne fonctionnent pas pour vous empêcher de contracter ou de propager des maladies, qu'est-ce qui fonctionne ? La propagation des maladies virales (et d'autres agents pathogènes) peut être réduite par plusieurs approches différentes qui ont été presque complètement négligées (au profit de l'approche unique et inefficace du port du masque) :
Pour réduire le risque de propagation d'un virus lorsque vous êtes malade, vous voudrez réduire la charge virale (nombre total de virus) que vous portez dans votre nez et votre gorge et réduire le nombre de personnes que vous rencontrez. Cela peut être fait par
Rester à la maison quand c'est possible.
Renforcer votre système immunitaire inné (qui détruit les cellules infectées par le virus) en vous assurant d'avoir suffisamment d'antioxydants (vitamine C), de vitamine D et de zinc.
Nébuliser, ou se gargariser et/ou se rincer le nez avec une solution saline contenant ¼ de cuillère à café par pinte d'iode de Lugol à 5 % ou de peroxyde d'hydrogène à 3 % de qualité alimentaire quelques fois par jour (et avant de sortir). [ 2 ]
Utilisation d'un spray nasal anti-viral. Ceui combinent généralement de l'iode avec du carraghénane pour réduire la charge virale dans la cavité nasale.
Prendre un médicament ou un supplément dans le cadre de votre protocole de traitement (pour les maladies respiratoires) qui réduit la réplication virale, comme l'hydroxychloroquine, l'ivermectine ou encore la quercétine et le zinc.
Utiliser un protocole, comme celui développé par le Dr Brownstein, qui réduit la charge virale. Son protocole pour traiter les maladies respiratoires virales se trouve dans A Holistic Approach to Viruses . [ 3 ]
Pour réduire le risque de contracter une maladie virale, il est important de détruire les virus (ou autres agents pathogènes) qui pénètrent dans l'organisme. Bon nombre des méthodes énumérées au point 1 augmenteront la probabilité que les agents pathogènes soient détruits avant qu'ils ne puissent déclencher une infection. Un système immunitaire fort est toujours une défense importante contre l'infection .
Pour réduire la transmission de virus/agents pathogènes dans les espaces publics, la société DOIT mettre en œuvre ce que l'on appelle des « contrôles techniques ». Cela signifie simplement un effort pour réduire le nombre d'agents pathogènes dans l'environnement. Cela peut être fait de différentes manières.
Augmentez le débit d'air pour diluer le nombre d'agents pathogènes dans l'air. Cela peut être aussi simple que d'ouvrir certaines fenêtres, d'allumer un ventilateur ou d'augmenter l'apport d'air extérieur ainsi que le débit d'air d'un système de ventilation commercial.
Les maisons, les écoles et les entreprises devraient avoir un système de filtration de l'air installé qui détruit les agents pathogènes. L'un des plus grands experts en hygiène industrielle du pays, Stephen E. Petty, PE CIH., CSP d'EES, recommande que la technologie d'ionisation à point d'aiguille soit ajoutée au ventilateur d'admission des systèmes CVC. [ 4 ] Ce type de système de filtration de l'air détruira les virus, les bactéries et les champignons, ce qui en fait un excellent investissement global même après la diminution de la propagation du COVID.
Utilisez la lumière UV / la lumière du soleil pour désinfecter les zones - Les laboratoires désinfectent à l'aide de lumière UV et il n'y a aucune raison pour laquelle les lampes UV ne pourraient pas être installées dans les salles de bains et au-dessus des claviers. Ces lampes UV peuvent être contrôlées par le mouvement de sorte qu'elles s'éteignent lorsque la salle de bain ou le clavier ne sont PAS utilisés. Il est étrange que même après 3 ans d'inquiétude au sujet de la transmission virale, ces types de produits n'aient pas été développés et mis en usage courant. Cependant, un aperçu de certains produits de désinfection UV disponibles peut être trouvé dans l'article Internet "Les 10 meilleurs désinfectants UV dans les dispositifs de désinfection UV 2021" (popularmechanics.com). [ 5 ]
Apprenez-en plus sur ce que les masques protègent et ne protègent PAS et comment vous protéger correctement contre une variété de dangers de l'hygiéniste industriel Stephen Petty en regardant sa chaîne Rumble, intitulée "Petty Podcasts".
Nous voulons tous être de bons intendants de notre propre santé et de la santé de ceux avec qui nous interagissons. Cependant, il est important de prendre des mesures qui réduisent la transmission des maladies et favorisent la santé et ne se contentent pas de succomber au récit médiatique. Nos actions doivent être gouvernées par la vérité et non par notre sensibilité à la façon dont les autres nous perçoivent. Tenez-vous sur la vérité, enlevez le masque et mettez en œuvre des stratégies qui ont fait leurs preuves. "
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) veut lancer un système de certification numérique mondial grâce à un partenariat « historique » signé ce lundi. Ce système reprendrait le fonctionnement du certificat Covid-19 numérique de l’Union européenne.
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cupations concernant le dérèglement de leur apprentissage dans un contexte de pandémie, sans perspective de retour à la normale.
i combinent généralement de l'iode avec du carraghénane pour réduire la charge virale dans la cavité nasale.