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" Lancement des réservations pour le 2e Congrès National Citoyen #CNC2023 "
" Je vous détaillerai le programme prévisionnel du congrès des CSP qui se déroulera les 17 et 18 juin 2023 sur le domaine de la Castille (La Farlède - proche Toulon). "
" Emploi des seniors dans la région : des chiffres inquiétants
Selon une étude régionale menée par l’Insee et Pôle emploi, un tiers des demandeurs d’emploi seniors sont « très éloignés du marché du travail » en Bourgogne Franche-Comté. Un phénomène en forte augmentation depuis dix ans qui interpelle, alors que l’âge de départ à la retraite vient d’être repoussé à 64 ans. "
" Sous Macron, 21 000 lits d’hôpitaux ont été supprimés en 5 ans "
" Une révélation à ne jamais oublier.
Plus de deux mois après la polémique sur la suppression de lits en France sous Macron, le média France Info a confirmé, en décembre dernier, qu’en effet 21.000 lits ont été supprimés entre 2016 et 2021.
Une autre mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron qui s’apprête à entamer une rentrée très compliquée marquée par une hausse des contaminations liées au Covid, une hausse de l’inflation, mais aussi une réforme des retraites qui tient en haleine toute la population française.
Et au-delà du Covid et de la cherté de la vie, il y a un autre sujet qui pourrait plonger le gouvernement dans l’embarras : la suppression des lits d’hôpitaux. Un sujet extrêmement sensible en pleine période de pandémie et qui a déjà déclenché de vives polémiques dans le passé. En effet, en septembre dernier, il a été révélé dans la presse qu’en 5 ans, entre 2016 et 2021, 21 000 lits d’hôpitaux avaient été supprimés en France. C’est du moins ce que nous avait appris le média Humanité.
« Deux ans et demi plus tard, la promesse du ‘quoi qu’il en coûte’ a vécu. Pas moins de 4 300 lits d’hospitalisation complète ont fermé en 2021, soit un rythme plus élevé qu’avant la crise sanitaire, révèle une étude de la Drees, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. Au total, entre fin 2016 et fin 2021, donc en grande partie sous le quinquennat Macron, plus de 21 000 lits ont été fermés », avait révélé le média Humanité.fr, citant une étude de la Drees, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
Parlant de la gravité de cette affaire, la même source ajoute : « c’est deux fois plus que sous François Hollande (10 000), mais presque deux fois moins que sous Nicolas Sarkozy (37 000). Cela ‘reflète la volonté de réorganiser l’offre dans un contexte de virage ambulatoire’, commente sobrement la Drees. Les soignants qui défileront ce jeudi auront sans doute en tête des commentaires moins sobres… »
La révélation de cette information avait suscité un vif tollé dans la classe politique. Et trois mois après, la situation risque d’être davantage embarrassante pour l’Etat français après la confirmation de ces chiffres, ce 28 décembre 2022, par le média France Info. « Si on vous affirme que sous le premier quinquennat Macron, le nombre de lits a fortement baissé, vous pouvez répondre que c’est vrai », explique la source.
Et France Info d’ajouter : « le service statistique du ministère de la Santé indiquait il y a quelques mois que plus de 21 000 lits avaient été supprimés entre fin 2016 et fin 2021, une période qui couvre pour l’essentiel le premier mandat d’Emmanuel Macron. A la fin de l’an-dernier, les établissements de santé français avaient une capacité de 382 600 lits environ ».
Cependant, le média tente de calmer le jeu en insistant sur le fait que cette baisse de lits d’hôpitaux n’est pas un fait nouveau. « Cela dit, cette tendance à la baisse n’est pas nouvelle : depuis 2003, la France a perdu 18 % de ses lits. Elle comptait en effet 468 000 lits d’hospitalisation complète en 2003, ainsi que l’indique ce rapport de la Drees », note France Info.
Et de poursuivre : « ce mouvement de baisse, à un rythme assez régulier, s’explique notamment par ce qu’on appelle le ‘virage ambulatoire’, la volonté de développer des alternatives à l’hospitalisation complète. On est par exemple soigné, opéré à l’hôpital mais on dort ensuite chez soi. Il s’explique aussi parfois par un manque de personnel, avec des situations très variables selon les départements ». "
" L’@ansm
a tort de saisir la justice. En effet, l’étude de @raoult_didier
ne peut pas être qualifiée de RIPH (recherche impliquant la personne humaine) pour la bonne et simple raison que la prise en charge des 30.000 patients de l’IHU N’AVAIT PAS POUR BUT le développement des connaissances biomédicales (CBM), mais le soin.
Fin de la blague ! TT https://twitter.com/GarciaVictor_/ "
" Covid: Une chroniqueuse sur CNews reconnaît une « obligation » des journalistes « à confesser des choses qui se sont révélées être fausses, voire des mensonges »
11 juin 2023
" MÉDIAS/COVID – Un premier aveu, en attendant d’autres ? Sur le plateau de CNews, Charlotte d’Ornellas, chroniqueuse de l’émission « L’heure des pros » chez Pascal Praud et journaliste de Valeurs Actuelles, a évoqué le traitement par les médias français de la pandémie du Covid. Mardi 30 mai 2023, elle a reconnu que les journalistes « ont été obligés de confesser des choses qui se sont révélées être fausses, voire même des mensonges ». Elle cite les questions liées à l’efficacité de la vaccination dans la baisse de la transmission du coronavirus ou les effets secondaires du vaccin. « Poser la question, c’était déjà attaquer la science, être dans le complotisme », a-t-elle regretté.
L’émission « L’heure des pros » a consacré une bonne partie de son épisode du mardi à son invité, le Pr Didier Raoult et la publication de son étude rétrospective sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si les journalistes présents sur ce plateau se sont bien attardés sur plusieurs aspects de cette étude et d’autres questions brûlantes concernant l’ancien président de l’IHU-Méditerranée, ils ont franchement exprimé leur désarroi face à ce débat.
« Nous sommes démunis. Nous avons d’un côté, vous (Pr. Raoult, ndlr), qui jouissez d’une réputation depuis des années et d’un autre côté, des gens qui disent exactement le contraire », fait remarquer l’animateur, Pascal Praud.
Poser des questions « interdites », c’est « être dans le complotisme »
Un sentiment partagé par la chroniqueuse Charlotte d’Ornellas, qui a regretté l’absence de débats qui auraient été utiles « puisque nous sommes, nous [journalistes], incapables de trancher » sur ces questions. « En plus, y a une telle assurance et de tels mots employés des deux côtés… Ils ont tellement l’air d’être sûrs d’eux sur une matière normalement scientifique que c’est déstabilisant », ajoute-t-elle. La journaliste chez Valeurs Actuelles « aimerait voir ce genre de débats » car, « depuis le début du Covid, des questions obligatoires sont interdites ».
« Nous avons vécu 2 années pendant lesquelles on nous disait qu’on n’a pas toutes les réponses sur un traitement mais qu’il faut aller vite, et, en même temps, sur d’autres traitements, c’est absolument interdit », fait-elle remarquer. Elle évoque des interrogations sur le vaccin qui “était obligatoire pour les enfants et les adolescents” ou encore ses effets secondaires constatés. « Je ne dis pas que c’était le cas de tout le monde, ni que c’était tout le temps. Mais y a la question des myocardites pour les enfants, les jeunes sportifs qui font des arrêts cardiaques (…) Poser ces questions, c’était déjà être contre la science », déplore-t-elle.
L’animateur Pascal Praud cite notamment la question de la prétendue efficacité du vaccin dans la réduction transmission du coronavirus. Charlotte d’Ornellas souligne que « personne, à ce moment-là, ne disait ‘je ne sais pas’. Poser la question, c’était être dans le complotisme. Et quand on a une réponse contraire, on nous dit qu’on ne pouvait pas tout savoir’. Vous aviez quand même l’air de très bien savoir », fustige-t-elle.
Une attitude que Pascal Praud attribue « aux prêtes de l’espace médiatique, qui expliquent ce qu’il faut penser sur ces sujets, comme la Covid, le climat, la retraite… ». Une influence confirmée par la chroniqueuse, qui avoue avoir « été obligés [journalistes] de confesser des choses qui se sont révélées être fausses, voire des mensonges ». « Nous sur les plateaux de télévision (…) On est obligé de relayer la parole sans jamais se poser de questions (…) Nous, je dis un ‘nous’ médiatique, avons défendu des positions soutenues par certains médecins qui se sont révélées être fausses ». "
" Scandale dans l’UE : la Slovaquie avoue que les stocks d’armes européens sont épuisés et qu’il faudra 10 ans pour les recharger "
12 juin 2023
" La guerre en Ukraine a-t-elle déjà épuisé les stock d’armes de l’Union Européenne? C’est du moins ce que laisse entendre Peter Pellegrini, ancien premier ministre de la Slovaquie, cité par l’agence de presse russe Tass. Pour le chef du gouvernement slovaque, il faudra 5 à 10 ans pour remplir à nouveau le stock d’armes européen.
« Les dépôts d’armes ont été épuisés un peu partout en Europe, toutes les armées devront recharger leurs stocks. C’est un travail de 5 ans 10 ans », a-t-il déclaré, ajoutant que compte tenu de ce fait, la Slovaquie ne pourra pas fournir davantage d’armes à Kiev dans sa contre-offensive contre la Russie.
Pour rappel, Peter Pelligrini n’est hélas pas la première personnalité européenne à faire cette triste révélation sur le stock d’armes européen. En décembre dernier, dans un communiqué publié sur le site officiel de l’Union Européenne, Josep Borrell, chef de la Diplomatie européenne, l’avait déjà annoncé.
« La guerre a été un signal d’alarme pour nous tous concernant nos capacités militaires. Nous avons livré des armes à l’Ukraine, mais ce faisant, nous nous sommes rendu compte que nos stocks militaires ont été vidés. Avec le retour de la guerre conventionnelle au cœur de l’Europe, nous nous sommes rendu compte que nous manquons cruellement de capacités de défense pour nous protéger contre des menaces de grande envergure auxquelles nous ferons face sur le continent européen », avoue-t-il.
Dans la publication lue par Lecourrier-du-soir.com, le chef de la diplomatie européenne avait réitéré le soutien de l’UE à l’Ukraine afin d’aider ce pays à faire face à l’envahisseur russe. « Naturellement, le début de notre discussion fut la guerre de la Russie contre l’Ukraine, une attaque frontale contre un pays voisin », souligne-t-il.
Et d’ajouter : « j’ai mis l’accent sur l’importance de soutenir l’Ukraine, sur le plan politique, économique et militaire, c’est-àire par des armes et par une formation militaire afin qu’elle puisse repousser les envahisseurs (russes), car c’est qu’ils sont. Et nous devrions continuer à le faire aussi longtemps que possible, jusqu’à ce que l’Ukraine triomphe ». "
" Créateurs de confiance et créatures de défiance "
Publié le 13 juin 2023
" D'après Jean Lassalle, Emmanuel Macron et son épouse, la plupart des membres du gouvernement, les principaux perroquets de la majorité, ainsi que de nombreux détracteurs, récriminateurs, grands inquisiteurs des non-vaccinés à la télé et dans les radios collabos... ne seraient eux-mêmes pas vaccinés.
Oui, toutes ces personnalités politiques et médiatiques, qui ont abusé à outrance de formules fallacieuses et mensongères comme “Tous vaccinés, tous protégés”, n’auraient reçu aucune injection dite anti-Covid-19.
Certains l'ont ouvertement affirmé en public, comme par exemple le “docteur” Martin Blachier, à propos de sa progéniture. D’autres, restés plus discrets sur leur propre cas, ont indiqué en même temps qu’il fallait vacciner les enfants et les femmes enceintes.
Et cela avec une thérapie génique, qui ne faisait l’objet que d’une autorisation temporaire, et pour laquelle aucune étude de génotoxicité, immuno-toxicité et de biodistribution n’était encore rendue disponible. Une recommandation qui a été émise en dépit de tout principe de précaution prévu dans les conventions internationales.
Pourquoi ?
Serait-ce pour un but purement financier ? Il est incontestable que la manne financière phénoménale des contrats des vaccins, plus de 40 milliards d’euros, a dû aiguiser certains appétits. Quelques valises ont-elles transité d’un pays amateur de fromages et de chocolat vers Paris ? Hélas, il ne semble pour le moment n’exister aucun vaccin contre l’amnésie de quelques affaires passées pour nous prémunir de phénomènes de corruption bien réels.
Serait-ce plutôt basé sur une simple opinion ? Pour Alain Fischer, “Monsieur vaccin”, il n’y avait “aucune raison de ne pas recevoir” les injections. Les premières victimes des effets secondaires, qui commencent à se piquer de procédures judiciaires partout en Europe, ont depuis trouvé une raison simple : une balance bénéfice-risque gravement défavorable.
Un risque qu’elles ont été contraintes de prendre, du fait d’un pass sanitaire qui leur promettait de retrouver le seul bénéfice... d’une vie normale. Un beau marché de dupe.
Selon les aveux de M. Fisher, le pass sanitaire a représenté “une forme de semi-confinement des non-vaccinés”. Une vaccination obligatoire “déguisée”, en somme, comme a pu le dire l’ancien ministre de la Santé Véran. Pas de place pour le doute, pas de place pour la raison et la dispute scientifique. Pas de place non plus pour des traitements efficaces moins chers et immédiatement mobilisables. Non, il n'y avait pas d'autres alternatives à l'imposition du "tout-vaccin".
Les récalcitrants ? Il fallait “aller les chercher avec des gendarmes”, en faire “des parias” (Emmanuel Lechypre, présentateur télé). Il fallait leur “rendre la vie très difficile” (Thomas Porcher, économiste). Il fallait les “emmerder” (Emmanuel Macron, ancien élève de cours de théâtre). Il fallait leur “pourrir la vie” (Thierry Moreau, chroniqueur télé). Il fallait les traduire en justice (Benjamin Fellous, avocat et David Smadja, médecin). Il fallait leur “mettre la pression” (Nathalie Elimas, femme politique). Il fallait les accuser d’être immoraux (Claude Malhuret, homme politique). Il fallait “les confiner chez eux” et “les priver de chômage” (Christian Estrosi, amateur de motos). Il fallait remettre en cause leur droit d’être réanimés (André Grimaldi, Professeur). Liste non exhaustive. "
" Sandrine Rousseau prise à partie par des viticulteurs : « Va faire la soupe grosse salope » "
Publié le 13 juin 2023
" Des tensions ont éclaté à Fontiers-Cabardès dans la montagne noire, où la secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts Marine Tondelier et la députée écologiste de Paris Sandrine Rousseau allaient animer un atelier des états généraux de l’écologie au domaine de Ventaillole à Ventenac-Cabardès. Les deux élues ont été prises à partie par des viticulteurs les accusant de faire du dénigrement systématique du secteur agricole.
L’arrivée de militants écologistes sur les terres des viticulteurs, qui travaillent jusqu’à 70 heures par semaine, suscite de l’agacement. Une cinquantaine d’agriculteurs avaient bloqué l’accès au domaine avec leurs tracteurs pour empêcher les élues de passer. Des insultes ont été entendues, notamment « Va faire la soupe salope, grosse salope »
Marine Tondelier, écologiste, a publié une vidéo sur son compte Twitter, manifestant son embarras de ne pas être soutenue par ceux qui travaillent quotidiennement au plus près de la terre. "
" Une nouvelle étude de la clinique de Cleveland confirme l'efficacité négative du vaccin contre le Covid : 33 % plus susceptibles de contracter le Covid "
17 juin 2023
" Une toute nouvelle étude de la Cleveland Clinic vient de sortir. Et il a trouvé quelque chose que nous savions déjà : les vaccins Covid augmentent les chances de contracter Covid au lieu d'être protecteurs. "
Documents
" Dans l'étude pré-imprimée, qui est en attente d'examen par les pairs, Shrestha et al. examiné des employés spécifiques de la clinique de Cleveland. La plupart d'entre eux sont vaccinés contre le Covid en raison du mandat fédéral. Cependant, alors qu'une minorité (11 990 employés) a choisi d'être "à jour" sur ses vaccins Covid, la majorité (36 344 employés) a judicieusement choisi de refuser les vaccins Covid.
Devinez quel groupe avait le plus de Covid ? Les personnes à jour avaient environ 25% d'infections à Covid en plus .
Les auteurs de l'étude ont fait un excellent travail d'élimination des variables confusionnelles. Par exemple, se pourrait-il que les personnes conscientes du Covid et aimant les vaccins testent le Covid plus souvent ? Le graphique suivant répond à cette question : si la propension à tester affecte quelque peu la probabilité d'obtenir un test positif, elle n'explique pas la différence. "
" Raoult déclare la guerre à l’Etat français : « Il ne reste que les menaces et la peur, contre la réalité des résultats » "
19 juin 2023
" Traîné en justice pour essai thérapeutique sauvage, Didier Raoult règle ses comptes avec le gouvernement français dans des twittes au vitriol qu’il publie, depuis plusieurs jours, sur son compte officiel. Ce 19 juin, le virologue marseillais a décidé de vider son sac dans une publication très sévère qui risque de mettre l’Etat dans l’embarras.
« La vérité contre la peur
C’est nous les gentils !
La réalité combat la théorie. L’ étude des 30.000 patients atteints de COVID traités à l’IHU est terrible car incontestable dans ses résultats. Les morts sont comptés par l’ INSEE pas par des modèles virtuels. Et cela démontre l’ efficacité et l’ absence de danger, validée par des huissiers, de l’ hydroxychloroquine.
Il ne reste que les tribunes, la presse, les menaces et la peur, contre la réalité des résultats. Pourquoi ce gouvernement ne recherche-t-il pas la vérité ? Verifier nos données qui sont publiques est facile, au lieu d’ essayer de les censurer par la menace avec la complicité de confrères que je plains. J’ai demandé à l’IGAS et à l’ANSM de faire cette analyse de nos données, ce qui a été refusé.
La dernière attaque de ces gens est de vouloir m’ interdire d’avoir un bureau de 12m2 dans l’institut de 27000m2 que j’ai créé ; avec l’ agrément (pour me chasser) de representants d’institutions pour qui j’ ai apellé à voter ! Quitte à y perdre leur âme … Quelle horreur ! Où en sommes nous arrivés ? » "
" Le microparti ‘Avec BLM’ de Bruno Le Maire fait l’objet d’une enquête judiciaire
Le parquet de Paris, alerté par la CNCC, s’intéresse au microparti de Bruno Le Maire pour des dettes non payées à des prestataires "
19 juin 2023
" Ce qui pourrait être assimilé à des dons illégaux, c’est pour cela qu’il a été mis à ce poste de ministre de l’Économie ! Bien entendu il n’a pas fait exprès, c’est la faute à pas de chance, c’est quelqu’un de bien et de foncièrement honnête BLM, il ne ferait jamais une chose pareille contrairement au méchant vilain Sarkozy, son ex patron, qui lui est un énorme magouilleur déjà condamné par la justice à des peines de prison ferme. Bref, nous sommes dirigés par des génies, des lumières scintillantes que le monde entier nous envie… On imagine que cette affaire sera jugée en 2031 à l’instar de l’affaire Bygmalion…
Le microparti de Bruno Le Maire, Avec BLM, fait l’objet d’une enquête du parquet de Paris, à la suite d’un signalement de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), selon les informations de Mediapart.
En cause : des factures de prestataires que le microparti n’a pas payées depuis 2016 et qui pourraient donc constituer un financement illégal de campagne… "
" « Vous pouvez acheter un sénateur pour 10 000 » : une nouvelle vidéo secrète de James O'Keefe condamne les politiciens corrompus de DC "
20 juin 2023
" Une nouvelle vidéo d'infiltration publiée par le O'Keefe Media Group montre un recruteur de BlackRock se vantant de la façon dont Wall Street est capable "d'acheter des politiciens" et se vantant de profiter de la guerre en Ukraine.
"Ils ne veulent pas faire la une des journaux", déclare Serge Varlay, recruteur de BlackRock, dans la vidéo ci-dessous. "Ils ne veulent pas que les gens parlent d'eux, ils ne veulent être nulle part sur le radar."
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi, Varlay a répondu: "Je soupçonne qu'il est plus facile de faire des choses quand les gens n'y pensent pas." Varlay a poursuivi: "Laissez-moi vous dire, ce n'est pas qui est le président - c'est qui contrôle le portefeuille du président."
"Et qui-est-ce?" a demandé le journaliste infiltré.
Varlay a répondu
« Les fonds spéculatifs, BlackRock, les banques ; ces gars dirigent le monde.
« Financement de campagne. Oui, vous pouvez acheter vos candidats.
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ire par des armes et par une formation militaire afin qu’elle puisse repousser les envahisseurs (russes), car c’est qu’ils sont. Et nous devrions continuer à le faire aussi longtemps que possible, jusqu’à ce que l’Ukraine triomphe ». "
