loreen78

Le dj avicii est décédé

il y a 6 ans
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loreen78 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de mephilto Bha bien sur, encourageons la fumette, le trafic illégale, et par la même le terrorisme puisque que les deux sont liés, et oui, quand on fume on a sa part de responsabilité dans les attentats et donc des morts qui en résultent!
Faut assumer hein ?


les 2 sont liés??

bizarrement, dans les années 80, ça grouillait et y'avait pas ce genre de problèmes...

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mephilto il y a 6 ans

Citation de loreen78 les 2 sont liés??

bizarrement, dans les années 80, ça grouillait et y'avait pas ce genre de problèmes...


Punaise, t'es la reine des cassos toi, pire que l'autre bordel. Y'a quoi dans ta tête mis a part les petites roulettes qui grouillent ?

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mephilto il y a 6 ans

Citation de loreen78 ben oui, j'le dis et le répète... ça ouvre l'esprit et développe l'imagination!
d'ailleurs, on voit bien que certain(e)s ici en manquent cruellement... ;-)


J'suis même certain que tu te sens belle quand tu fumes, et pourtant t'es moche, c'est ça la réalité !!

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loreen78 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de mephilto J'suis même certain que tu te sens belle quand tu fumes, et pourtant t'es moche, c'est ça la réalité !!

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flector1 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de mephilto Bha bien sur, encourageons la fumette, le trafic illégale, et par la même le terrorisme puisque que les deux sont liés, et oui, quand on fume on a sa part de responsabilité dans les attentats et donc des morts qui en résultent!
Faut assumer hein ?


Merci Mephilto
Et il semblerait que Looren n'ait pas tout lu sur le premier lien
Il n'est absolument pas question de banaliser les effets de la drogue sur le comportement humain
Quant à accuser les médecins d'en prendre, je lui souhaite bien du plaisir si un jour elle est soignée par un de ceux là
Mais çà ne risque pas d'arriver, car les médecins comme d'ailleurs les militaires sont sujets à de sprises de sang, et virés si cela s'avère positif
Idem refus total d'avoir une mutation outre mer.
Depuis que l'armée s'est retirée de Tahiti et de Mururoa, les Tahitiens livrés à eux même ne survivent que grâce à la vente du bakalolo, la drogue qu'ils cultivent chez eux.
D'où attaque de touristes, dans les hôtels et ailleurs
Pas grave, c'est nous qui versons les indemnités.
Bien entendu dans les iles comme Bora Bora, c'est tranquille, les riches touristes n'ont pas besoin de çà pour profiter agréablement de leurs vacances en quatre Etoiles

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flector1 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de cigarillos44 Pour ceux, celles qui ont lu mais surtout vu le film " l'amant" question fumette ça en dit longgggggggggggg sur le sujet..................

Nos poètes français et pas que non jamais écrit leur plus beaux poèmes que sous l'emprise de la dite drogue,

Sans parler des professions pour ne citer qu'elle dans le milieu médical question drogue et bibine ils s'y connaissent et pas les derniers, dernières à pratiquer

rions rionssssssssssssssssssssss


Mais bien sûr la cigarillo, tu as tellement travaillé dans le milieu médical que tu peux en parler...............
Pauvre niaise

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cigarillos44 il y a 6 ans

Citation de flector1 Mais bien sûr la cigarillo, tu as tellement travaillé dans le milieu médical que tu peux en parler...............
Pauvre niaise


pas travaillé en milieu médical mais en tant que patiente sans oublier les amis (es) membres de la famille .......... je ne les mets pas tous au même niveau, heureusement, des faits il en est pratiquement tous les jours mais bon........ sont pas les derniers à se saouler la goule, on a vu des chirurgiens opérer la gueule enfarinée ........... mais comme d'hab dame carmen veut tjs avoir le dernier mot, je te le laisse, je sais ce que j'ai vu de mes propres yeux en tant que patiente et ça tu ne peux me l'enlever, ton opinion comme tjs je n'en ai RAF ..................

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cigarillos44 il y a 6 ans

Citation de mephilto Bha bien sur, encourageons la fumette, le trafic illégale, et par la même le terrorisme puisque que les deux sont liés, et oui, quand on fume on a sa part de responsabilité dans les attentats et donc des morts qui en résultent!
Faut assumer hein ?


aïe aïe
faut pas non plus exagérer
encore moins pousser mémé dans les orties elle n'a pas de culotte hi hi hi

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cigarillos44 il y a 6 ans

Citation de loreen78 'jour miss


effectivement, dans le système médical, il n''est pas rare que les médecins prennent de la morphine, des dérivés de la cocaïne, voire des anxiolytiques ou autres médicaments auxquels ils finissent par être accros...


Sans parler de ceux qui arrivent au bloc opératoire la gueule enfarinée et c'est sûrement pas en sirotant un jus de citron .................

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cigarillos44 il y a 6 ans

Dans un livre absolument passionnant, le chercheur britannique Richard Davenport-Hines nous offre cinq siècles de voyages autour de la planète pour montrer comment on est passé de l’invention locale de quelques médicaments au trafic mondialisé de stupéfiants.

On trouve des traces de consommation de drogue dès la nuit des temps. L’opium semble être la première substance de cet ordre à avoir été découverte par l’homme, il y a 8 000 ans, un peu partout dans le monde. Dans le plus ancien langage écrit connu, le sumérien (3 100 avant Jésus-Christ), on trouve un idéogramme présentant une fleur d’opium comme " la plante de la joie ". Néron a semble-t-il utilisé un concentré d’opium pour tuer Britannicus et prendre sa place. Par ailleurs, la coca pousse dans les Andes depuis des milliers d’années et on a trouvé des traces de sa consommation il y a plus de 2 000 ans.

Il a fallu l’expansion coloniale européenne pour que ces produits commencent à prendre place dans le commerce international à partir du XVIIe siècle. Leurs vertus stimulantes ou apaisantes commencent à être exploitées par les scientifiques pour des raisons médicales. Les marchands portugais, espagnols et britanniques ramènent de l’opium en Europe aussi bien de leurs lointains voyages que de l’Empire ottoman.

Au début du XIXe siècle, les dangers d’une utilisation médicale durable de produits opiacés sont connus, mais le commerce international est bien établi. Condamnée lorsqu’elle est le fait des classes populaires, la consommation de drogue trouve du crédit chez les bien lotis. Les écrivains la présentent comme un art de vivre, un moyen de mieux se connaître soi-même et ne s’en cachent pas, de Thomas de Quincey à Prosper Mérimée, en passant par Baudelaire, Flaubert et bien d’autres. Les guerres napoléoniennes ont joué un grand rôle dans le développement de la consommation de drogues en France. Il semble que les blessures d’une partie des soldats aient été traitées avec des dérivés d’opium, entraînant une accoutumance. Par ailleurs, la conquête d’Egypte fut l’occasion pour les Français, puis pour le reste des Européens, de découvrir le haschich, qui finit " par remplacer le champagne ", selon la formule de Thé;ophile Gautier. L’innovation technologique a également joué un rôle important avec l’apparition des seringues hypodermiques. Mais ce sont les travaux des chimistes et de médecins qui sont à l’origine de la multiplication des produits offerts : dérivés de la coca et surtout de l’opium (morphine, puis héroïne).

Le regard sur la consommation de drogue change à partir du début du XXe siècle, notamment sous l’influence des Etats-Unis qui se dotent des premières législations prohibant son commerce et qui organisent une première conférence internationale en 1909. Le monde de la drogue commence à être assimilé à celui du crime. Au fur et à mesure que progressent les interdictions, le trafic devient en effet de plus en plus rentable. L’entreprise suisse Hofmann-Laroche, après avoir perdu le marché russe, suite à la révolution de 1917, se lance avec succès dans le trafic d’opium. C’est de ses laboratoires que sort, dans les années 40, l’acide lysergique diéthylamide, plus connu sous le nom de LSD. A côté des grandes entreprises et des mafieux, les services secrets investissent les marchés de la drogue pour financer leurs opérations, les Français en Indochine, les Américains au Vietnam, puis un peu partout... A partir des années 60, les Etats deviennent ainsi policiers et trafiquants. Les Etats-Unis continuent de donner le " la " de la politique mondiale de lutte contre le trafic international de drogue, et spécifiquement contre le blanchiment de l’argent qui en est issu à partir des années 80.

La somme historique de Davenport et consorts nous montre que le monde des stupéfiants, pour être lié aux évolutions de la médecine, concerne aussi bien les grandes entreprises privées que les Etats et les bandits.

CHRISTIAN CHAVAGNEUX

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loreen78 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de flector1 Mais bien sûr la cigarillo, tu as tellement travaillé dans le milieu médical que tu peux en parler...............
Pauvre niaise


l'infirmière qui croit tout savoir... ptdr!



Toxicomanie. Moi, médecin, drogué et damné

Europe
Science & Techno
Royaume-Uni
The Independent - Londres

Publié le 19/01/2005 - 10:38

La drogue touche aussi les milieux médicaux. Inutile de le nier, confie un praticien pris en flagrant délit.


Selon The Lancet, 60 % des médecins boivent trop et 10 % des jeunes praticiens consomment de l’ecstasy ou des amphétamines. Plus inquiétante, l’estimation de la British Medical Association [BMA] selon laquelle 9 000 médecins sont à un moment ou à un autre en état de dépendance. J’ai fait partie de ces statistiques, même si, pour l’heure, quelqu’un d’autre m’y a remplacé.
Quand, jeune anesthésiste, je découvris que quelques milligrammes de fentanyl (proche de la morphine) dans du jus d’orange rendaient une nuit de garde plaisante, j’ai commencé à en prendre régulièrement. Puis j’ai commencé à en ramener chez moi le soir et le week-end, pour me détendre. Ensuite pour préparer mes examens - que j’ai tous réussis. C’était juste pour me sentir normal. Mais, comme je prenais en une seule dose (par le nez, à ce stade) plus de fentanyl qu’un patient en deux heures d’anesthésie générale, je n’avais rien de “normal”. Dans un hôpital où j’effectuais un remplacement d’une semaine , quelqu’un m’a vu glisser une seringue dans ma poche et a appelé la police. Je m’en suis tiré avec un sermon, mais ce fut la fin de ma carrière d’anesthésiste et le début des trois plus horribles années de ma vie. Je fus suspendu de mes fonctions et signalé par la police au General Medical Council [GMC], qui m’envoya un courrier m’invitant à cesser d’exercer et me plaça sous la supervision d’un consultant psychiatre. Pendant tout le temps où je fus sous surveillance et alors que mon psychiatre livrait au GMC les plus intimes détails de mon passé, je ne reçus plus d’autres lettres que celles d’un employé administratif faisant référence au “Dépisteur”, mot orwellien désignant la personne - anonyme - du GMC chargée d’évaluer mon état. Fin 1997, 181 médecins étaient ainsi sous supervision et, selon la BMA, ce nombre serait très sous-estimé.
Des deux ans qui ont suivi il ne me reste qu’un souvenir confus. J’ai acheté beaucoup de sirop à la codéine, falsifié beaucoup d’ordonnances, truqué beaucoup d’analyses d’urine et je n’ai pratiquement pas reçu d’aide. Enfin, on a cessé la méthadone et on m’a conseillé la psychiatrie comme “nouvelle carrière”. Ainsi, j’ai eu pour patient un ancien psychiatre qui menait un combat contre l’alcoolisme. Lui aussi avait été placé sous contrôle par le GMC. A l’époque, je travaillais pour son superviseur, mais tous deux ne s’étaient jamais rencontrés. On avait préféré me refiler ce personnage pathétique. Nous échangeâmes des platitudes tous les quinze jours, puis il mourut. Voilà tout le soin que la profession accorde aux siens. The Lancet se demande s’il n’est pas temps de pratiquer comme aux Etats-Unis des tests sur des médecins au hasard, pour vérifier s’ils prennent des drogues. On connaît l’efficacité de cette méthode dans le domaine sportif. Et si quelqu’un sait truquer des analyses d’urine, c’est bien un médecin. Seul un changement de mentalités peut aider les praticiens dépendants. Ce changement permettrait d’aborder le sujet autrement que sous forme de murmures lourds d’opprobre et, grâce à lui, le simple fait de demander de l’aide n’aboutirait pas automatiquement à une lettre glaciale…
Dr Martin Hatcher
Abonnez-vous
L’offre 100% numérique est à 1€ le premier mois
Source
The IndependentLondres
www.independent.co.uk

Fondé en 1986, The Independent est l’un des grands titres de la presse britannique de qualité. C’est aussi le premier quotidien généraliste à être devenu un journal 100 % en ligne.
...

Modifié il y a 6 ans, le lundi 23 avril 2018 à 20:47

Photo de cigarillos44
cigarillos44 il y a 6 ans

Citation de loreen78 l'infirmière qui croit tout savoir... ptdr!



Toxicomanie. Moi, médecin, drogué et damné

Europe
Science & Techno
Royaume-Uni
The Independent - Londres

Publié le 19/01/2005 - 10:38

La drogue touche aussi les milieux médicaux. Inutile de le nier, confie un praticien pris en flagrant délit.


Selon The Lancet, 60 % des médecins boivent trop et 10 % des jeunes praticiens consomment de l’ecstasy ou des amphétamines. Plus inquiétante, l’estimation de la British Medical Association [BMA] selon laquelle 9 000 médecins sont à un moment ou à un autre en état de dépendance. J’ai fait partie de ces statistiques, même si, pour l’heure, quelqu’un d’autre m’y a remplacé.
Quand, jeune anesthésiste, je découvris que quelques milligrammes de fentanyl (proche de la morphine) dans du jus d’orange rendaient une nuit de garde plaisante, j’ai commencé à en prendre régulièrement. Puis j’ai commencé à en ramener chez moi le soir et le week-end, pour me détendre. Ensuite pour préparer mes examens - que j’ai tous réussis. C’était juste pour me sentir normal. Mais, comme je prenais en une seule dose (par le nez, à ce stade) plus de fentanyl qu’un patient en deux heures d’anesthésie générale, je n’avais rien de “normal”. Dans un hôpital où j’effectuais un remplacement d’une semaine , quelqu’un m’a vu glisser une seringue dans ma poche et a appelé la police. Je m’en suis tiré avec un sermon, mais ce fut la fin de ma carrière d’anesthésiste et le début des trois plus horribles années de ma vie. Je fus suspendu de mes fonctions et signalé par la police au General Medical Council [GMC], qui m’envoya un courrier m’invitant à cesser d’exercer et me plaça sous la supervision d’un consultant psychiatre. Pendant tout le temps où je fus sous surveillance et alors que mon psychiatre livrait au GMC les plus intimes détails de mon passé, je ne reçus plus d’autres lettres que celles d’un employé administratif faisant référence au “Dépisteur”, mot orwellien désignant la personne - anonyme - du GMC chargée d’évaluer mon état. Fin 1997, 181 médecins étaient ainsi sous supervision et, selon la BMA, ce nombre serait très sous-estimé.
Des deux ans qui ont suivi il ne me reste qu’un souvenir confus. J’ai acheté beaucoup de sirop à la codéine, falsifié beaucoup d’ordonnances, truqué beaucoup d’analyses d’urine et je n’ai pratiquement pas reçu d’aide. Enfin, on a cessé la méthadone et on m’a conseillé la psychiatrie comme “nouvelle carrière”. Ainsi, j’ai eu pour patient un ancien psychiatre qui menait un combat contre l’alcoolisme. Lui aussi avait été placé sous contrôle par le GMC. A l’époque, je travaillais pour son superviseur, mais tous deux ne s’étaient jamais rencontrés. On avait préféré me refiler ce personnage pathétique. Nous échangeâmes des platitudes tous les quinze jours, puis il mourut. Voilà tout le soin que la profession accorde aux siens. The Lancet se demande s’il n’est pas temps de pratiquer comme aux Etats-Unis des tests sur des médecins au hasard, pour vérifier s’ils prennent des drogues. On connaît l’efficacité de cette méthode dans le domaine sportif. Et si quelqu’un sait truquer des analyses d’urine, c’est bien un médecin. Seul un changement de mentalités peut aider les praticiens dépendants. Ce changement permettrait d’aborder le sujet autrement que sous forme de murmures lourds d’opprobre et, grâce à lui, le simple fait de demander de l’aide n’aboutirait pas automatiquement à une lettre glaciale…
Dr Martin Hatcher
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Source
The IndependentLondres
www.independent.co.uk

Fondé en 1986, The Independent est l’un des grands titres de la presse britannique de qualité. C’est aussi le premier quotidien généraliste à être devenu un journal 100 % en ligne.
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Jour Lo

Ben voilà , j'ai cherché et pas trouvé le document qui atteste que le milieu médical n'est pas aussi blanc que le linge et les murs des hostos ...........
Comme si le médical, l'armée éraient aussi vierges que l'agneau naissant faut être totalement décérébré des boyaux du cerveau pour le croire et pas besoin d'y avoir bossé , pas plus que fréquenter l'armer, certains films et reportages retracent fort bien les écarts de conduite de certains (es) dans ces milieux là .................certains témoignages aussi de personnes célèbres dont un des parents haut gradé dans l'armée ne s'adonnait pas qu'à la drogue bref.............j'en passe et des moins bonnes sur l'armé, je précise néanmoins ne pas mettre tout le monde dans le même char ....................
pas un corps de métier qui ne soit touché , vouloir à tout prix défendre qq métiers relève de l'hypocrisie et de l'ignorance...............

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loreen78 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de cigarillos44 Jour Lo

Ben voilà , j'ai cherché et pas trouvé le document qui atteste que le milieu médical n'est pas aussi blanc que le linge et les murs des hostos ...........
Comme si le médical, l'armée éraient aussi vierges que l'agneau naissant faut être totalement décérébré des boyaux du cerveau pour le croire et pas besoin d'y avoir bossé , pas plus que fréquenter l'armer, certains films et reportages retracent fort bien les écarts de conduite de certains (es) dans ces milieux là .................certains témoignages aussi de personnes célèbres dont un des parents haut gradé dans l'armée ne s'adonnait pas qu'à la drogue bref.............j'en passe et des moins bonnes sur l'armé, je précise néanmoins ne pas mettre tout le monde dans le même char ....................
pas un corps de métier qui ne soit touché , vouloir à tout prix défendre qq métiers relève de l'hypocrisie et de l'ignorance...............


j'suis mdr!!

elle connait rien à rien, mais elle veut faire référence...

entre les amalgames concernant les drogues, les dénis voire son ignorance de ce qu'il se passe dans son milieu (médical et militaire), elle a perdu une bonne occasion de la fermer!


'jour miss

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cigarillos44 il y a 6 ans

Citation de loreen78 j'suis mdr!!

elle connait rien à rien, mais elle veut faire référence...

entre les amalgames concernant les drogues, les dénis voire son ignorance de ce qu'il se passe dans son milieu (médical et militaire), elle a perdu une bonne occasion de la fermer!


'jour miss


Tu sais bien que mémé miKeline est l'impératrice des foras et pas que..........
je comprends même pas qu'une médaille ne lui ai pas été décernée pour son immense savoir, ,elle est incollable sur tous les sujets et alors sur l'armée et le médical là c'est le summum elle touche sa bille carmennnnnncita, pas un, une ne lui arrive à la cheville que dis-je au doigt de l'orteil pffffffffffff t'avais pas encore comprite rhooooooooo ben normal hein ! t'as le cerveau embrumé par la fufu la fumette ( gondolée de PTDL)
MODESTIE ET HUMILITE deux mots qui ne font pas partis de son vocabulaire............

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flector1 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de cigarillos44 Tu sais bien que mémé miKeline est l'impératrice des foras et pas que..........
je comprends même pas qu'une médaille ne lui ai pas été décernée pour son immense savoir, ,elle est incollable sur tous les sujets et alors sur l'armée et le médical là c'est le summum elle touche sa bille carmennnnnncita, pas un, une ne lui arrive à la cheville que dis-je au doigt de l'orteil pffffffffffff t'avais pas encore comprite rhooooooooo ben normal hein ! t'as le cerveau embrumé par la fufu la fumette ( gondolée de PTDL)
MODESTIE ET HUMILITE deux mots qui ne font pas partis de son vocabulaire............


Mais Marie-Christine, quand vous aurez travaillé en tant qu'infirmière, anesthésite ou médecin vous pourrez en parler du corps médical
Là dans vos délires de patiente, vous voyez des chirurgiens et des médecins bourrés.
Et vous madame, respect et empathie ne font pas non plus partie de votre vocabulaire, qui est bien reconnaissable, car il faut le dire il vous est très particulier.
Su ce bon vent


Participants

Photo de willsmith4 Photo de cigarillos44 Photo de mephilto Photo de paturonlebeauf Photo de iseult Photo de jaune-d-oeuf Photo de arthur_rambo