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" Ukraine : comment, depuis 2014, la CIA a formé et équipé les agents de Kiev "
2024-03-25
" Une enquête du New York Times a levé le voile sur la collaboration, post-Maïdan, entre la CIA et les services ukrainiens. Un soutien qui, au-delà d’un réseau de bases « secrètes » établi à la frontière russe, a également permis aux Ukrainiens de mener des opérations clandestines en Russie avant l’éclatement du conflit.
« Un secret jalousement gardé depuis une décennie » ébruité ? Dans une enquête basée sur « 200 entretiens », publiée le 26 février, le New York Times (NYT) vient mettre plus en lumière la coopération de longue date entre la CIA et le renseignement ukrainien, notamment comment Langley aurait « supporté un réseau de bases d’espionnage » au cours des huit dernières années et qui « comprend 12 lieux secrets le long de la frontière russe ».
La CIA a également, « vers 2016 », souligne le quotidien, « commencé à former un commando d’élite ukrainien, connu sous le nom d’Unité 2245 ». L’agence américaine « a également aidé à former une nouvelle génération d’espions ukrainiens qui ont opéré en Russie, en Europe, à Cuba et dans d’autres endroits où les Russes sont très présents », toujours selon le NYT.
Collaboration qui, selon la même source, aurait débuté dès le 24 février 2014, soit au lendemain du coup d’État pro-occidental de Maïdan. Au bout de dix ans, « cela a transformé l’Ukraine […] en l’un des partenaires de renseignement les plus importants de Washington contre le Kremlin aujourd’hui », stipule le média américain.
Des Ukrainiens « impatients » face aux « lignes rouges » de Washington
Si jusqu’à l’éclatement du conflit en février 2022, la CIA n’aurait pas aidé les Ukrainiens à commettre des assassinats dans le Donbass ainsi qu’en Russie, les éléments qu’elle a formés ne s’en sont pas privés. Les Ukrainiens se seraient en effet, selon le NYT, montrés « impatients » face aux « lignes rouges » américaines « qu’ils considéraient comme une prudence excessive »
Le média américain revient notamment sur l’assassinat en octobre 2016 d’Arséni Pavlov, dit « Motorola », colonel du bataillon Sparta. Opération ukrainienne qui aurait provoqué la colère de « certains conseillers » de Barack Obama, relate le quotidien, avant d’ajouter : « L’élection présidentielle opposant Donald Trump à Hillary Clinton était dans trois semaines — et les assassinats se sont poursuivis. »
En février 2017, ce fut au tour de Mikhaïl Tolstykh, alias « Givi », commandant du bataillon Somalia, d’être tué par les services ukrainiens. En réponse, les Russes auraient fait exploser la voiture du chef de l’unité 2245, Maksim Shapoval, au mois de juin suivant, alors qu’il « se rendait à Kiev pour rencontrer des officiers de la CIA », toujours selon le NYT. « À la veillée funéraire du colonel, l’ambassadrice américaine en Ukraine, Marie Yovanovitch, se tenait en deuil aux côtés du chef de station de la CIA », relate-t-il. "
Citation de fouthese
" Ukraine : comment, depuis 2014, la CIA a formé et équipé les agents de Kiev "
2024-03-25
" Une enquête du New York Times a levé le voile sur la collaboration, post-Maïdan, entre la CIA et les services ukrainiens. Un soutien qui, au-delà d’un réseau de bases « secrètes » établi à la frontière russe, a également permis aux Ukrainiens de mener des opérations clandestines en Russie avant l’éclatement du conflit.
« Un secret jalousement gardé depuis une décennie » ébruité ? Dans une enquête basée sur « 200 entretiens », publiée le 26 février, le New York Times (NYT) vient mettre plus en lumière la coopération de longue date entre la CIA et le renseignement ukrainien, notamment comment Langley aurait « supporté un réseau de bases d’espionnage » au cours des huit dernières années et qui « comprend 12 lieux secrets le long de la frontière russe ».
La CIA a également, « vers 2016 », souligne le quotidien, « commencé à former un commando d’élite ukrainien, connu sous le nom d’Unité 2245 ». L’agence américaine « a également aidé à former une nouvelle génération d’espions ukrainiens qui ont opéré en Russie, en Europe, à Cuba et dans d’autres endroits où les Russes sont très présents », toujours selon le NYT.
Collaboration qui, selon la même source, aurait débuté dès le 24 février 2014, soit au lendemain du coup d’État pro-occidental de Maïdan. Au bout de dix ans, « cela a transformé l’Ukraine […] en l’un des partenaires de renseignement les plus importants de Washington contre le Kremlin aujourd’hui », stipule le média américain.
Des Ukrainiens « impatients » face aux « lignes rouges » de Washington
Si jusqu’à l’éclatement du conflit en février 2022, la CIA n’aurait pas aidé les Ukrainiens à commettre des assassinats dans le Donbass ainsi qu’en Russie, les éléments qu’elle a formés ne s’en sont pas privés. Les Ukrainiens se seraient en effet, selon le NYT, montrés « impatients » face aux « lignes rouges » américaines « qu’ils considéraient comme une prudence excessive »
Le média américain revient notamment sur l’assassinat en octobre 2016 d’Arséni Pavlov, dit « Motorola », colonel du bataillon Sparta. Opération ukrainienne qui aurait provoqué la colère de « certains conseillers » de Barack Obama, relate le quotidien, avant d’ajouter : « L’élection présidentielle opposant Donald Trump à Hillary Clinton était dans trois semaines — et les assassinats se sont poursuivis. »
En février 2017, ce fut au tour de Mikhaïl Tolstykh, alias « Givi », commandant du bataillon Somalia, d’être tué par les services ukrainiens. En réponse, les Russes auraient fait exploser la voiture du chef de l’unité 2245, Maksim Shapoval, au mois de juin suivant, alors qu’il « se rendait à Kiev pour rencontrer des officiers de la CIA », toujours selon le NYT. « À la veillée funéraire du colonel, l’ambassadrice américaine en Ukraine, Marie Yovanovitch, se tenait en deuil aux côtés du chef de station de la CIA », relate-t-il. "
" Les aveux du New York Times : des journalistes demandent aux soldats ukrainiens de cacher leurs insignes nazis "
2023-06-13
" Un rapport du New York Times reconnaît que des combattants ukrainiens sont des nazis, tout en essayant de minimiser les faits
Le New York Times a été contraint d’aborder très tardivement un sujet qui était depuis longtemps évident et connu de nombreux analystes et médias indépendants, mais qui avait été soigneusement caché aux masses occidentales pour des raisons évidentes.
Le surprenant titre du Monday Times disait que « Les symboles nazis sur les lignes de front de l’Ukraine mettent en lumière les questions épineuses de l’histoire ».
Cette reconnaissance intervient après des années pendant lesquelles des journalistes indépendants et des commentateurs géolitiques ont souligné qu’en effet, les groupes militaires et paramilitaires ukrainiens, en particulier ceux qui opèrent dans l’est depuis au moins 2014, ont un sérieux problème d’idéologie nazie.
Cela a été documenté de manière exhaustive, une fois de plus, depuis des années.
Mais le rapport, qui tente simplement de minimiser ce problème en le qualifiant de « question épineuse de l’histoire unique de l’Ukraine », suggère que le véritable problème pour les relations publiques occidentales est fondamentalement le fait que cette idéologie soit affichée si ouvertement.
" Les terroristes du Crocus City Hall ont déclaré qu’ils allaient à Kiev en Ukraine pour récupérer une récompense financière
Les accusés dans l'affaire de l'attaque terroriste contre l'hôtel de ville de Crocus ont déclaré aux enquêteurs qu'après la fusillade meurtrière, ils envisageaient de se rendre à Kiev pour recevoir la récompense promise. Ils en ont été avertis par le coordinateur qui dirigeait leurs actions via des messages Telegram. "
30 mars 2024
" Très inhabituel… Nous nous éloignons des terroristes qui agissent au nom de Dieu en quête d’une récompense céleste… Ici, les terroristes ne convoitent pas le paradis, mais plutôt l’argent terrestre, du côté de l’Ukraine ! De quoi soulever des interrogations chez les enquêteurs !
« Tant au stade de la préparation qu’après l’attaque armée contre le Crocus City Hall, leurs actions ont été coordonnées par des messages vocaux via le messager Telegram par un homme qui s’est présenté à eux sous un pseudonyme », a indiqué la commission d’enquête dans un communiqué.
Il était prévu de récompenser financièrement l’attaque terroriste sur le territoire ukrainien, a précisé le département.
« Après avoir commis le crime, ils se sont dirigés en voiture vers la frontière russo-ukrainienne, pour ensuite la traverser et arriver à Kiev pour recevoir la récompense qui leur avait été promise », a souligné la commission d’enquête russe.
Selon Rossiïskaïa Gazeta, plus tôt dans la journée, on a appris l’existence de la neuvième personne impliquée — Lutfulloi Nazrimad — dans l’affaire de l’attaque terroriste contre l’hôtel de ville de Crocus qui devait être maintenu en détention jusqu’au 22 mai au moins, dans l’attente d’une enquête et d’un procès. "
" Ukraine : l'extermination des juifs a commencé bien avant l'air hitlérienne
Je rappelle qu'en Ukraine l'extermination des juifs a commencé bien avant l'air hitlérienne, ce n'est pas moi qui le dit c'est Simone Veil. #Russie #Ukraine #Nazi #Allemagne "
" Bulletin Stratpol numéro 180 : Panique à l’OTAN, Panda bonds, Institut Montaigne
Dans son bulletin Stratpol numéro 180, Xavier Moreau fait le point sur la situation économique et militaire de la Russie. Malgré les sanctions imposées par les pays occidentaux, la Russie semble avoir surmonté la période difficile et renforce sa position sur le plan économique et militaire. "
VIDÉO
" Sur le plan économique, la dette russe a augmenté de 2700 milliards de roubles, passant de 12,2 % du PIB à 15 %. Bien que cette augmentation puisse sembler importante, elle reste faible par rapport à la dette des pays occidentaux, tels que la France, qui a une dette de 120 % du PIB. Le Premier ministre russe, Michustin, a déclaré que la Russie a passé la période difficile des sanctions et que la croissance du PIB a été de 3,5 % en 2023. Cette croissance est tirée par la production industrielle, en particulier dans le secteur automobile, où la Russie a augmenté sa production de 16 % en 2023. "
Sur le plan militaire, la Russie a renforcé sa position en Ukraine. Les forces russes ont pris le contrôle de plusieurs villes et villages dans les régions de Donetsk et de Louhansk. Les forces ukrainiennes ont subi de lourdes pertes et ont été contraintes de se retirer de certaines zones. La Russie a également renforcé sa présence militaire en Crimée et dans la mer Noire, ce qui a suscité des inquiétudes de la part des pays occidentaux.
"Si le front s’approche de Kharkov de 15 kilomètres - et c’est la portée des tirs d’artillerie - il faudra déplacer de force toute la population de la ville... Parce que les habitants renseignent l'ennemi pour l’identification de nos positions"
" Des soldats ukrainiens chargés de la conscription agressent un adolescent de 14 ans "
PUBLIÉ 10 AVRIL 2024
" Cet épisode a mis en lumière les tactiques violentes de plus en plus utilisées par les officiers de conscription du pays, alors que l’armée ukrainienne, aux abois, continue de faire pression sur les conscrits.
L’histoire d’un garçon de 14 ans qui a été kidnappé sous la menace d’une arme par un groupe de conscrits est en train de devenir virale en Ukraine. L’incident choquant a eu lieu la semaine dernière dans l’oblast d&rsquoessa, selon le site web Bessarabia Info, qui cite le chef du département local de la protection sociale, Oksana Terzi.
Le jeune adolescent marchait seul dans le village de Priozernoye pour rejoindre sa petite amie lorsqu’un monospace blanc s’est arrêté à côté de lui. Quatre hommes portant des uniformes militaires et des cagoules en sont sortis ; l’un d’eux a appuyé un fusil sur la tempe du garçon tout en le forçant à monter dans la voiture.
« L’enfant fait du sport et l’instinct d’autodéfense s’est manifesté », a expliqué Terzi. « Il a commencé à se débattre et les agresseurs l’ont maîtrisé, le frappant dans le dos avec un fusil d’assaut. Ils l’ont battu et lui ont attaché les mains avec un lien en plastique ».
Selon elle, les soldats ont supposé que le garçon était un adulte en raison de ses larges épaules.
Les hommes ont conduit pendant un certain temps avant de demander l’âge de l’adolescent. Ils ne l’ont d’abord pas cru lorsqu’il a affirmé qu’il n’avait que 14 ans.
« Quand il a dit son âge, ils ne l’ont pas cru et lui ont demandé son passeport », a déclaré Terzi. « Lorsqu’ils ont réalisé qu’ils transportaient un mineur, ils l’ont jeté hors de la camionnette. Les hommes auraient menacé le garçon de ne pas signaler l’incident. »
Les autorités locales ont été contactées après que l’adolescent a raconté l’incident à ses professeurs à l’école. La police enquête sur l’incident comme s’il s’agissait d’un enlèvement.
Cet épisode a mis en lumière les tactiques violentes de plus en plus utilisées par les officiers de conscription ukrainiens, alors que l’armée ukrainienne, aux abois, continue de faire pression sur les conscrits. Des descentes ont été effectuées dans des gymnases, des restaurants, des centres commerciaux et dans les rues de la ville pour lutter contre l’évasion, qui est apparemment très répandue.
La Russie voisine fait quant à elle état d’ un afflux de volontaires dans les centres de recrutement militaire.
Le président Volodymyr Zelensky a récemment signé une loi abaissant l’âge de l’appel sous les drapeaux de 27 à 25 ans, mais le pays éprouve des difficultés à recruter de jeunes militaires en raison d’une crise démographique persistante depuis sa sortie de l’Union soviétique en 1991. "
" L’implication de Kiev dans l’attentat de Moscou confirmée par les suspects
Le Service fédéral de sécurité de Russie (FSB) a diffusé une vidéo montrant l'interrogatoire des quatre suspects de l'attentat du Crocus City Hall à Moscou. Selon leurs déclarations, un contact leur aurait promis une récompense d'un million de roubles chacun en Ukraine. "
10 avril 2024
" Les suspects ont avoué avoir tenté de fuir la Russie en voiture après l’attentat, puis ont reçu des instructions pour se diriger vers Kiev et abandonner leur véhicule près de la frontière. Leur contact leur avait promis une récompense d’un million de roubles en Ukraine et avait assuré qu’ils seraient aidés pour traverser la frontière. Les suspects ont attendu à Kiev pour recevoir l’argent promis.
Cette révélation confirme l’implication de l’Ukraine (et de ses alliés) dans cet attentat du Crocus City Hall qui a fait plus de 140 morts et qui a choqué la Russie. Les autorités ont promis de traduire les responsables en justice et de prendre toutes les mesures nécessaires pour prévenir de futurs attentats. "
" Des sociétés militaires privées américaines, aidées par les autorités, recrutent dans des prisons américaines des membres de cartels de drogue mexicains et colombiens pour les envoyer combattre dans les rangs de l'armée ukrainienne, affirme Service de renseignement… "
pic.twitter.com/1McQQG4Bkn
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olitiques ont souligné qu’en effet, les groupes militaires et paramilitaires ukrainiens, en particulier ceux qui opèrent dans l’est depuis au moins 2014, ont un sérieux problème d’idéologie nazie.
u-new-york-times-des-journalistes-demandent-au
oldats-ukrainiens-de-cacher-leurs-insignes-nazis/
essa, selon le site web Bessarabia Info, qui cite le chef du département local de la protection sociale, Oksana Terzi.