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A propos de chrisangelstar

Christophe , 55 ans , Homme , Bagneux-1
Etait en ligne il y a plusieurs jours
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Apparence physique

Apparence physique Je suis gentil(le)!
Taille 1m85
Poids Proportionnel
Cheveux Châtains
Yeux Bruns

Mode de vie

Fume Oui

Pour en savoir plus

Scolarité Diplôme de 2e ou 3e cycle universitaire
Situation Célibataire
Enfant(s) Aucun
Désire un/des enfant(s) Oui
Recherche Une femme
Relation Amoureuse
Orientation Hétérosexuel(le)
Signe astrologique Bélier

Description

Je reste modeste pour rester un tout petit peu intelligent et utile. A défaut d’être certain d’y parvenir, il est nécessaire et urgent de s’en donner les moyens. C’est mon but unique. Ce que je désire, c’est « vivre » avec toutes les cultures, les grandes manifestations de l’esprit pour changer mon quotidien
Vivre c’est dire agir autant que réfléchir et mettre en œuvre nos idées.
J’évite la saturation. J’essaye de saisir la culture pour agrandir mon champ d’interrogation comme la télévision, le design, le cinéma à la science, la radio à l’architecture, du théâtre à l’urbanisme, du livre à la photo, de la musique au web…
Le plaisir de la découverte nous réunit depuis toujours.
Sans oublier le bonheur de la lecture. Il est important parfois de se confier intensément. Cela compose un état méditatif. Quand je suis à l’étranger, je retrouve une sorte d’élégante insouciance. J’utilise mes expériences pour retrouver à chaque fois un nouveau souffle.
Si la confiance grandit au quotidien, elle donne des ailes à chacun. Les passions de l’âme. Il y a un bonheur à voyager. Cela m’ouvre d’autres horizons insoupçonnables. La découverte de nouvelles cultures. J’admire sans préjugés et j’ai une soif d’apprendre et de bonnes intentions sans limites. J’ai une énergie intense et solitaire. J’ai l’art de faire grave et gai, profond et léger. J’adore concrètement la subtilité. Bien sûr je ne renonce pas et j’ai le courage du recommencement.
Un admirable appétit de vivre. J’ai des désirs mais aussi des fragilités. Je garde une certaine distance avec les opportunistes. Mais je pense aussi la lucidité, l’acuité psychologique, la rapidité d’esprit et de rythmes. J’ai une sensation inouïe de réalisme et de justesse sans lyrisme ni complaisance. Chez moi, il y a l’équivoque et l’ambigu.
Je voyage dans le temps et l’imaginaire. Je ne sombre pas dans la mièvrerie. Le plaisir et le rêve sont particulièrement agréables à vivre. Je voue une admiration sans limites aux sentiments. C’est passionnant et dense. Après quoi normalement, le silence est nécessaire et les commentaires deviennent quelque peu dérisoires. Le conformisme me répugne. Les vertus hypocrites m’indifférent. Je suis plutôt fasciné par la connaissance. Je m’efforce de contribuer selon mes moyens à la découverte intégralement des autres. Loin de dissiper toute ambiguïté, la précision renforce au contraire, l’ambivalence affective chez les personnes. La joie n’affranchit pas du désespoir, ni de l’amour de la solitude. La vaillance est aussi un comportement admirable. Je me méfie des dialogues ciselés, glaçants et corrosifs. Je m’accorde plutôt à avoir seul d’excellentes idées pour pallier au manque de moyens de réflexions.
Est-ce le temps ou le désespoir qui anime mes envies, où prédominent soigneusement encore chez moi des interrogations. ? Je me contente de résoudre la problématique de l’instruction et de l’indifférence dans un esprit de non-conciliation. L’authenticité est avant tout une de mes priorités. C’est une évidence ! J’ai une aversion contre le mensonge et le vice. . Je pense que la seule façon de rencontrer les gens, sans être chauvin, en étant modeste et sans agressivité. Il faut avoir l’envie de comprendre, de s’intéresser à d’autres coutumes et surtout privilégier l’expression des idées. Quand l’ambiance est naturelle et devient chaleureuse. Je jubile. Le franc-parler est meilleur. Je considère que c’est aussi une forme de quête pour moi. Il suffit d’être authentique et droit. Il y a un monde entre vivre par devoir et le faire par envie. Ma première volonté est d’enrichir ma culture. Je néglige rien. Il ne s’agit pas, comme on pourrait l’imaginer, d’indifférence mais de lucidité. Je préfère émettre des idées plutôt que de rester inactif. Je dois en même temps veiller à ce que je ne m’éloigne pas de mes objectifs recherchés ou je pourrais m’engager dans des impasses. Je laisse constamment une porte ouverte sur de nouveaux horizons que je m’oblige à suivre. Je suis moins dubitatif sur le réalisme, c'est-à-dire aussi la mise en œuvre de projets. J’analyse et suggère ensuite des propositions.
J’anticipe pour éviter que cela ne devienne une fin en soi. Je favorise intensément l’échange des idées car elles contribuent activement à s’élever par l’esprit à la connaissance. Je ne délègue jamais mais j’organise, j’élabore, je coordonne plutôt mes actions, mes besoins, mes envies et mes programmes. Dans la vie, il faut vraiment avoir la capacité d’ouverture, d’innovation, de concertation, d’analyse, de synthèse, de négociation et de communication. Il y a différentes phases à passer. Bien entendu, nous ne sommes pas éternels ! Mais de nos gestes les plus banals dépend l’avenir de la planète. Le constat. Si nous ne changeons pas nos comportements, de modes de vie, la planète court à sa perte et l’humanité avec.
Dans la vie, je fais beaucoup de sacrifices. Je n’évite pas, j’essaye d’affronter. Mes décisions ne sont pas irrévocables sauf pour le mensonge, l’infidélité, le vice, l’hypocrisie, etc. Ce sont des points très négatifs pour moi et j’exècre ces différentes manières de comportement chez les individus. D’une façon discrète et définitive mon intimité n’est ni le genre, ni le ton, cela manque peut-être de quant à soi, et de plus, nul n’a besoin de savoir ce qui m’appartient, au plus profond de moi sans frémir. Je dois garder un certain jardin secret comme tout le monde. Dormir, se prélasser, même amoureusement cela ne me dérange pas. Je peux très bien le faire sans y songer. Je pense être une personne de confiance et non sombre indubitablement. Je crains parfois l’atmosphère qui est comme le froid psychique de l’abandon. Je refuse d’être trop tourmenté de vivres avec des promesses ou des espérances renversées sans prendre leur essor. Il ne s’agit en aucun cas d’une odieuse immaturité. Braver les interdits, contourner les lois, l’argent facile et la gloriole éphémère ne sont pas du tout dans mes objectifs. J’ignore complètement les dérives et n’approuve pas les conditions de facilitées. L’égoïsme me répugne. Ma prodigalité me ronge parfois. L’impression que me donne la vie ne me rend pas toujours l’image d’une œuvre accomplie et parfaite. Je ne sais même pas si je suis un acharné à survivre. Il ya tellement de paramètres à surmonter pour une existence correcte. Je préfère concentrer toute mon attention vers des objectifs constructifs afin d’éviter de sombrer dans le spleen. Je suppute que je pèse le pour et contre de chaque problème rencontré.
Parfois il faut savoir s’entourer de souvenirs de voyages. Il est hors doute de tomber dans un quelconque passéisme. Je suis assez tourmenté entre le mélange d’attrait et d’aversion pour ce que mon entourage m’inspire. On ne peut méconnaître l’élégance et l’autorité. Il se peut que par quelque mystérieux échange d’une sympathie provoquée par l’inusité des circonstances plus que par un revirement des caractères, au lieu de ressentir quelque chose avec exaspération, que je n’en retienne qu’un charme délicat.
Peut-être je pense à un bonheur perdu particulier dans mon existence. Un semblant de mépris sur le sens d’un certain attendrissement. Je ne m’alarme pas pour autant sans raison. J’en conviens et je n’ose pas me plaindre. Je compose maintenant les moments présents avec ardeur sachant qu’il y aura toujours des questions sur un ancien amour. Je peux me soucier mais je ne remettrai pas en cause ma vie actuelle. Et puis cette question de deuil de cet amour perdu complique tout au niveau mental. Il faut davantage être flexible pour attirer l’attention d’autrui. Je suis loin d’entendre ce que je veux entendre. Le dévouement demeure aussi une priorité. Je ne dis pas qu’il faut tout organiser à la perfection car il y a toujours des faiblesses.
Je trouve la force aujourd’hui d’expliquer ce que je ressens au plus profond de moi. Le trouble des réminiscences est quelque peu ennuyeux. Pour l’instant je ne dois penser qu’à moi sans songer à un égoïsme forcené. Je reste dans l’expectatif. Il ne faut surtout pas penser que le pire est passé. J’imagine le moins de choses possibles pour m’éviter de trop grandes désillusions ? Cela devient raisonnable car mes intentions sont restées intactes. Il m’arrive encore d’être mécontent, mais j’essaye de me réconforter comme je le peux. Après tant de déceptions, de trahisons pressenties ou sues, je garde mon sang froid. C’est la présence qui me réconforte et l’absence qui m’insupporte. Quelque fois je me demande si je sais comment expliquer les choses car on peut les connaître très vite, en faire le tour mais elles ont des limites. C’est tellement déjà étrange d’aimer ce qui est intact. On peut baigner dans la moelleuse douceur du précaire, de l’incomplet ou encore de l’inachevé. En attendant, méfiant ou pas, je suis sérieusement résolu à améliorer mon existence. En effet, je m’efforce d’arriver à des sacrifices ou compromis au quotidien. Je prends des informations sérieuses pour construire mon équilibre vital. Les inconséquences de la nature ne me surprennent plus mais persistent au fond de moi.
J’ai l’impression que le pire de mes faiblesses me menacent graduellement du bonheur recherché. Le détour de mes pensées m’amène dans la direction du non-dit. Je trouve absurde de rester dans le néant et néglige concrètement la paresse.
Le jour où j’assemblerais mes idées pour en tirer profit, j’avancerai à grands pas parce que je n’ai pas un caractère fermé. Je ne suis pas de nature indépendante. Je pense à l’espérance de parvenir à mes fins. Je n’ai rien contre l’émancipation des femmes. J’adore les protéger et les choyer. Une rencontre, je ne la considère pas comme un jeu. Je ne prends pas cela pour un prétexte. Il y un immense fossé entre la rencontre et la concrétisation.
De gré de force il faut déjà se porter bien. Un brin de folie n’est pas négligeable. Une silhouette qui devient en toute circonstance appréciée, retient toute mon attention Je discerne, plus par une sorte de prescience que par attention je me découvre aussi chaque jour par une remise en question régulièrement. Avec un vaste serrement de cœur, je sais que mes forces s’ébranlent comme d’impalpables prémices qui peuvent devenir une avalanche. Saisi d’une panique immobile et sens que mon visage s’altère à la vue de la gente féminine. Je n’apprécie guère les questions sans réponses, ni l’argent sans source visible. Il est vrai aussi que je culpabilise des fois très rapidement. J’ai beaucoup de défauts. A force d’appréhension, il est difficile de se montrer sans espoir. Insubstancié et tenace, je dure mais par quelle magie ? Il faut tout tenter jusqu’à parfois l’inutile. Cela dépends du comportement de chacun. Nul n’est besoin de réveiller ou d’effrayer la crainte chez autrui. Précisément, il faudrait éviter de toucher sans le vouloir les points sensibles de l’autre. Prendre conscience de ses responsabilités amène à se reprendre au niveau de la conscience. Des revirements de situation sont nécessaires pour sentir ou souhaiter les choses de la vie. Il faut mesurer sur chaque terrain ses capacités. En effet, une parole n’est pas forcément un contrat et n’engage nullement celui qui la prononce. Ce n’est pas avec des impulsions ou avec des mots qu’on fait éventuellement des bonnes affaires. Il faut aussi avoir l’adresse de répondre contre toute attente sans ambiguïté. J’accorde quand même le bénéfice du doute sur les actions ou engagements chez autrui. Il faut savoir cerner l’autre sans pour autant y apporter des jugements de valeur hâtifs. En somme, il est meilleur d’avoir l’intention de se confier sans être pris d’un orgueil forcené ou de vanité. Le résultat sera plutôt encourageant et dissipe aussi les malentendus. Je prône des paroles de conciliations et de douceur afin d’éviter l’incarnation même de s forces noires du destin. Le destin peut s’envisager sur la voie de la raison sans contrariétés.. Dans mon esprit se forme des images de joie et s’achemine l’aboutissement de concrétisations. Je raisonne toujours assez vite lorsqu’il s’agit d’une passion, parce que l’amour pour moi n’est pas un assouvissement, c'est-à-dire une proie à saisir. Pour tout autre chose, il me faut du temps et de la réflexion. Je ne sombre pas spécialement dans des idées sombres ou de tristesse.. Il convient de savoir raison garder en toute circonstance. La précipitation se transforme en peine perdue. Je suis tellement désireux d’améliorer ma condition de vie que j’agis d’une manière positive en évitant la fatalité. La détresse physique chez autrui me donne déjà mal au cœur. Je n’exprime pas à la première occasion non plus des reproches sinon cela devient malsain. De temps à autre , épuisé, je retrouve tout de même par bribes, un peu de force, mon cerveau se remets à fonctionner et ma rigidité s’estompe. Rien n’arrive de vraiment terrible quand un être est encore en possession de soi-même mais si je n’étais qu’une enveloppe , trop de choses vont et viennent par le monde. Il faut essayer d’être au maximum de ses capacités physiques et intellectuelles. Si la machine, au point de ne pouvoir même plus faire de projets. Tout ce que notre pensée s’efforce de concevoir, prenne aussitôt un caractère négatif. Ne plus croire à rien devient dangereux. Il ne faut pas non plus rejeter la raison de ses malheurs quelque soit les responsabilités et les circonstances. Il n’y a de réel que cette vie terrestre qu’il faut endurer. Prendre des décisions ne doit pas être empêcher par une mollesse du comportement ou attendre avec inquiétude. Il y a au contraire tout lieu de croire qu’il est nécessaire d’avoir des pensées positives pour avancer. Sinon l’inquiétude est grandissante et offusque. La personne. Immédiatement il se profile des obstacles pour concrétiser des projets. Je pense avoir une capacité d’attachement à ce qui s’attache à moi et seconde ma tendresse, ma loyauté, mon attendrissement, ma sensibilité, ma douceur. Je peux toujours me comporter en ami et faire preuve de dévouement et de fidélité. Il est vrai que je peux arriver vite à une saturation de la solitude qui me fait rechercher non pas un soulagement de mes maux, mais leur aggravation, non plus la guérison d’une place mais la certitude au contraire qu’elle est incurable. Enfin, je garde une vue optimiste. Savoir aussi connaître ses distances par rapport à autrui et marquer des limites dans certains de ses agissements. Il n’y a pas de conseils à donner mais simplement des propositions à soumettre. Je ne capitule pas pour autant sans combattre psychologiquement. Je n’ai guère de penser pour le profit. Je pense agir solitairement suis généralement de bonne foi. Je ne vise encore moins la déroute ou le désarroi. Je détermine des objectifs à atteindre par une dévorante vélocité qui sont loin d’être symboliques. J’ai tendance à me remémorer beaucoup de choses par crainte d’oublier. Une certaine assurance est nécessaire et proscrire la sensation de solitude intégrale. Il y a sûrement d’infinies espérances. Il faut juste travailler pour les percevoir. Parfois, il est bon de résorber ses aspirations profondes avant qu’elles ne se transforment en mélodrames. S’il est possible de s’endurer contre la raison faible de l’inertie alors il se dessine un horizon. Comment puis je savoir quelles aspérités redoutables recouvrent ma voix ou bien ma personnalité si peu onctueuses. Je n’ignore pas mes capacités mais elles peuvent être limitées. Il y a sûrement une démarche constructive à suivre, c'est-à-dire du travail à réaliser sur soi-même. Tant de suspicion charge inconsciemment la direction de ses convictions et porte à son paroxysme des émotions? Celui qui ne doute de rien risque de se retrouver face à un mur infranchissable. L’esprit pratique reprend chez moi le dessein et des sentiments de justice me soutiennent dans mes décisions. Je ne manque ni de pitié, ni de douceur. C’est dans ma nature d’être ainsi. J’ai acquis surtout cette certitude de s’ouvrir aux autres. Tranquillement je m’achemine vers un comportement encore plus humain vis-à-vis des autres. J’ai le dessein d’entreprendre et le goût de vivre bien qu’il y ait l’envoûtement des habitudes. Il y a l’idée de finalité qui persiste à ne pas m’affecter davantage. L’essentiel est d’assurer convenablement ses rapports humains. Il faut faire un peu preuve de diligence et d’efficacité ; c’est opéré avec délicatesse. Toutefois il ne m’empêche pas d’avoir des préoccupations. Je peux prendre du temps à résoudre des problèmes de tout genre. En essayant de faire attention de ne pas rouler vertigineusement sur une pente. Tout ceci est loin d’être un songe pour devenir réel et non d’asphyxie. Je ne me détourne pas du tout vers le pathétique mais simplement vers la vivacité et des soupçons d’intelligence. Je me pose toujours autant de questions. La formulation est peut être encore à travailler. Je ne suis ni dénué de tendresse, voire de sentiment et encore plus de sentimentalité. A mes yeux mon attitude s’est quelque peu modifiée au fil du temps. Mais il arrive que le temps soit difficile à gérer. Par exemple je ne traîne pas pendant toute ma vie des idées sinon c’est l’embourbement. Je ne traîne pas d’idées fixes. C’est clair que je peux difficilement admettre le tâtonnement, mais au contraire un certain recul vis à vis d’autrui. C’est surtout une prudence instinctive. Je suis à la mesure d’entendre et de comprendre toutes les difficultés rencontrées dans mon existence. Je pense aussi que l’époque est vouée au facile, au gracieux et au joli. Il faut se rendre compte des choses qui nous entourent. Connaître est un mot propre à la découverte de tout. Je me demande souvent si c’est normal d’attacher beaucoup d’importances aux opinions. Je voudrais comprendre tout simplement. Le niveau de ma sentimentalité est absolument très fort. Avec une sorte d’étonnement, je vois quelques poindre la première lueur des fidélités absolues. Je ne vis pas dans un étrange état de désordre intérieur et d’alerte. C’est très difficile à expliquer l’incertitude surtout quant elle est une maudite chose arrachée au néant et à l’enfer. Je m’efforce de ne pas confondre l’incertitude avec l’inquiétude. Rien de solide sous vos pieds, jamais. Jamais savoir où on va , qui vous aimera , qui on aimera. Je ne cesse de me retrouver avec soulagement sur des terrains connus ? Je recherche à m’élever par l’esprit à la liberté de penser. Les idées me viennent au fur et à mesure de m’avancer dans la vie quotidien. Il est déjà dur de convaincre un minimum d’assurance est souhaitable. Je n’ai aucunement besoin de prestige pour être une personne satisfaite. J’accumule aussi des connaissances pour avoir une tête pleine de secrets. Même si je dois me casser les reins dans une quelconque aventure je ne reculerais pas. Mes passions ne se contentent d’envisager des félicités sans lendemain mais plutôt comme de véritables espoirs et chances. Je pense que j’ai besoin de beaucoup de temps pour être heureux pleinement. Il faut accepter toutes les responsabilités futures, les complicités nécessaires. Si étrange que cela puisse paraître, je lutte chaque jour non pour trouver la sécurité matérielle mais plus problématiquement le bonheur ou du moins un soupçon. Une certaine forme de sécurité conjugale que parfois offre les faveurs de la vie. Il y a les rêves où tout est naturel. Je ne sais si je suis inspiré mais en tous les cas de figures je ne demeure pas passif. Je ne suis pas de ceux qui gardent des lectures, des souvenirs confus. La profusion des mots m’éclate en une richesse de tons qui peut se transformer en une symphonie sonore. Il est toujours bon de percevoir une réalité essentielle d’entretenir une certaine beauté intérieure. J’en retiens le symbole car je désire aller vers une sagesse .millénaire. Il faut pour cela être et profond dans certaines de ses réparties N’est il point de retrouver la douceur de la vie entre les humains. Quand j’aime quelqu’un c’est l’amour avec un grand A et je respecte énormément la Femme sur notre terre. Je suis sûrement introverti mais je suis aussi dévoré par la passion amoureuse et les angoisses existentielles. Je ne sais pas ou je ne sais rien. Si la grâce avait un nom il porterait le tien, c’est écrit dans nos yeux dans nos mains, possible est de s’aimer you are so georgeous. .Je me sentirais si bien dans tes bras. Néanmoins je ne suis peut-être pas votre genre. Je ne m’en offusquerai pas. C’est la vie. Exilum vita est, signifie la vie est un exil.
Je suis un homme qui ne sait s’exprimer que par l’écrit et j’écoute beaucoup. Je conseille parfois des gens. Les autres disent de moi que j’ai de grandes qualités mais je suis incapable de les croire car je reste humble sans vantardise. Si je vous imagine déjà dans mes rêves, c’est que vous occupez déjà une énorme place dans mon cœur. Je n’ai pas un air de déplaisir avec vous Je me permets de faire des sacrifices au quotidien. Je ne suis pas du genre à m’alarmer pour rien. J’en conviens particulièrement. Je n’ai pas l’intention de rester trop longtemps pour te voir, par peur de te fatiguer. Je suis très dévoué.

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