NON VERLAINE N'EST PAS UN VERS A SOI
La volière prit ses voiles et s’éleva au dessus de toute lumière. Prise dans les carcans sombres au dessus du soleil, elle ne su ou était passé la terre. Quand elle était petite les plumes la faisaient tousser, rire ou elle éternuait, puis elle découvrit l’envol des premiers émois. Qu’il fut tendre de voir passer les oies, encore affolée du jacassement des pies qui parlait d’horizons plus vastes. Elle s’était donc ensuite envolée plus que ces volatiles... Les futilités des bavardages des bêtes l’agaçaient, et la solitude lui vint au coeur. Vint au coeur... mais sans ivresse .... Une solitude douce simple sommeillante, et sans fantômes... le manoir... évidemment le manoir était sa demeure douillet et confortable, sinistre a ses heures, non point pour le goûter, et le retour à l’école, mais pour le jardin un peu morne à l’anglaise, mais depuis longtemps délaissé a l’abandon, ou piaillait incessamment les ailes libératrices... libératrices... est-ce cela ? Est-ce de la qui lui venait le goût de léviter... non non certes elle animait la rencontre, mais parfois se perdait en conjectures fausses et finissait par n’y voir plus rien, comme en ce moment ou elle lévitait sur ce soleil, fuyant a grand pas chassé la terre.... Chassé comme les oies, par le fusil, ou même les pies, mais l’épie, c’est finalement mieux être vu quand on se quitte. Tout cela devenait vraiment compliqué.... qu’allait elle deux venir... un couple ? une femme et son enfant un homme et son chien, le chasseur, 2 êtres qui viennent, la fin de la solitude mais la lumière diffuse qui s’amenuise avec l’éloignement de l’astre... elle ne sait plus, elle ne voit plus, voila le présent qui vient, et aucune constatation ! Contestataire, une noble chute, les êtres sont courtisans, ou courtisant, mais elle voulait la solitude, et qu’importe les amants... Aimants, attirance, voici le cercle vicieux.... non non l’humanité ne sera pas pour elle ce terme pernicieux, et c’est donc dans le ciel que la terminaison s’achève... Mais sans mort évidemment, car la mort serait pour elle une tristesse, elle veut une solitude gaie, mais la solitude ne se soucie de la mort, qu’allait elle encore chercher ailleurs les satisfactions des douceurs, douceurs candeurs, oui les nuages de sucre pour les fêtes foraines, foraine, encore une noble, c’est une lubie ici ? non non point de faste ni de foraine, la faux qui passe la reine trépasse, le taureau garde ses oreilles et sa queue.... mais un sac, en taureau non en vachette en cuir, le cuir pernicieux le vice toujours mais elle la serre et revient a ses premiers tourments, mais dans tourment la vérité oscille, et se cache, sa révolution autour d’un astre qui s’éloigne... l’éloigne donc de la lumière du vrai... mais dans le vrai les pies piailles, pépient voici la caille... les oies la caille les pies et ces milles regards qui la jaugent.... enfin la jauge pensons y le moteur du ballon ou est il en cas de panne... ce serait la déroute qui la mènerait au manoir, mais laquelle prendre quand las des routes lui ferait préférer les chemins, puis Rome... mais sans ivresse....
Perdue entre le noir sidéral et le vide de son esprit, finalement située, et plus si perdue... elle reprend ses esprit se rend compte de sa situation, en rie et se dit qu’elle peut tout aussi bien s’en aller a travers champ. Enfin ils sont loin, il lui faudrait l’aide d’un narrateur pour poser le décor et milles démarches infinies, elle ne sait vraiment plus, elle s’allonge cette fois ci au beau milieu de nulle part lieu commun, par excellence, ou l’inconnu devient plus rassurant. Donc ou et quand elle ne veut pas le savoir, cela importe peu, de savoir ou et quand et comment, quand on se pense couché dans du rien.... donc du rien pas de temps pas de corps, ah si son corps bien évidemment, bien la dans le noir vu que le soleil est un point minuscule qui ne dégage rien, impossible de dire ses souvenirs de quand elle est partie, plus rien ne lui reste, Ce qui d’ailleurs lui donne le temps d’occuper sa solitude. J’aurais donné à ses cheveux milles nuances de brun et de noir, le teint pale la taille fine... Elle se voit plutôt à l’aise plutôt grosse, et assez laide. c’est plus pratique elle s’imagine laide pour n’avoir aucun entretien a faire, plus besoin d’un grand équipage chargés de soins pour son corps, non une grosse laide, et puis pour le plaire... il fait noir et elle est seule, peu importe le plaire. Les pies par contre... le blé encore passe, pour l’odeur, celle du pain aussi la farine, le blé qu’elle ne fait que sentir, il y a encore des odeurs dans son néant des odeurs qu’elle n’aime pas, qui lui restent, si elle pouvaient s’en tenir qu’à la pestilence de son corps, mais non je lui impose le blé. Et l’odeur de l’orage... sans le désespoir il fallait s’en douter... mais voila encore qu’elle s’en vient a penser et que je perds le fil... le fil de quoi ? Voila moi même je ne sais plus, la punissant je lui donne ce fil, la voila grosse laide sale et avec un fil. Elle ne le voit pas pour changer, l’impotente ne voit rien et le fil tombe elle ne le rattrape pas, la voila sans fil.... et les perles ? Oui celles du collier, le fil du collier c’était donc cela ? Les idées se téléphonent sans fil sans collier donc sans parure.... nue laide grosse, et le froid loin du soleil, oui tiens voici qu’on va lui donner froid, mais elle me rétorque sa graisse, je ne vais pas me laisser faire par le vieil ours à la fin.... C’est décidé des coups de crayons, je vais lui donner des coups de crayons, bien taillés bien appointés sur ses cuisses ou la graisse s’étale comme des grumeaux agrumeux, qu’importe le barbarisme, l’image seule importe, et l’emporte, les coups de mine sur sa prétention, enfin la voila suppliant, qui demande pardon de vouloir me faire raconter n’importe quoi !!! Elle pense n’importe comment celle la ! Mais qu’elle arrête ! La voila qui torture mon texte, pour faire la star pour faire l’intéressante, mais elle n’a pas le droit, mes coups l’en empêche, elle pleure elle veut dormir... soit, qu’elle dorme, mais je lui fais dont d’un moustique ! Oui je suis rancunier et alors ? Qu’importe, son sommeil sera troublé par les battements sournois des ailes, encore toujours ces ailes qui la dérangent jamais cela ne cessera ; les cailles les oies les pies maintenant les moustiques, je savoure sa manière de replier le néant sur elle comme une couverture, mais le néant n’est rien et le moustique traverse toujours encore, la pauvre a sommeil mais tient a son sang, et le moustique grossi !!!! Avec l’envie de la déguster, il devient énorme, sa trompe est une seringue en une piqûre elle sera asséchée. Elle courre, elle fait enfin du sport, mais ne maigrit pas, mais mes sarcasmes vous gâchent le spectacle. Voila que le moustique lui arrive à la taille, qu’il la dépasse qui la tient recluse dans un angle du néant... A force de replier sur elle le vide elle a fini par s’en figurer une boite et se croit prisonnière, le moustique approche, il s’avance, il salive déjà de la pénétrer... mais non elle a eu assez peur, fini le moustique elle va pouvoir dormir... mais au fait pense-t-elle pourquoi dormir ? S’en est trop elle dormira, je l’écris, elle dort ! Mais je la vois qui fait semblant, esquissant un ronflement, non elle ne veut plus, elle se rebelle encore, toujours, j’ai beau protester, la menacer d’un moustique d’une araignée ! Elle démissionnerait ! Et je ne veux qu’elle, Cléopâtre sans Liz Taylor c’est impensable, et bien je me figure la même comparaison pour ce texte... elle veut de la solitude, mais je ne vais pas vous décrire sa solitude son ennuie, son il se passe rien et son elle voit que du noir se pensant grosse laide puante et nue, entourée d’une odeur de blé... C’est une meule me dit elle pensant faire de l’esprit, va-t-elle se taire ? Ou je l’empale sur une porte car la marée ne vient pas... Je perds encore le Fil mais ne lui donnerait plus, Son prénom évidemment j’avais oublié, comment cela elle n’en a pas ? Elle ne se rappelle plus sous prétexte de cohérence avec sa vie d’ermite et l’oubli de ce qu’elle était avant elle ne me dira rien car cela serait sans logique avec ce que je veux écrire, c’est qu’elle me donnerait maintenant des leçons...
Passive lascive pensive sur son divan de soi... reposée sur elle même ce corps enflé le ballon c'était elle... que sont devenues les ailes? Les elles ces amies multiples perdues au cours du voyage pas si long. Elle s'endort et ne pense plus... je me repose aussi, sans rien savoir de ce qu'elle veut... barbare, une barbaresque, habillée en Hilda je joue sur ses costumes malgré elle. Quelle image du personnage? J’hésite, j'esquisse, je m'essaye, et pourtant. La volière se lève au matin regarde le néant, n'y voit que son image noire, n'y sent que son odeur, le néant est il si il elle y est? Elle se questionne, je suis le néant mais je suis donc, plus de néant et autour de moi le rien... le noir, et cela encore lui parait assez étrange pourquoi le noir? C’est l'absence, mais quelle définition donner a ce noir qui n'en est pas.... c'est du rien, elle se lève, parait stable mais peut être chute elle car elle ne se sent sur rien posé, peut être sa tête est elle en bas, mais dans le néant, ou savoir ce qui le bas du haut, peut être lévite t elle encore sans son ballon, qu'a t elle fait des oiseaux? Sont ils partis envolés plus haut? Plus bas, plus a droite? C’est à y perdre le sens commun... mais quel sens retrouver? La voila folle et perdue, pourquoi la solitude? Qu’avait elle à fuir? A-t-elle réellement fuit, elle s'était envolée ce matin auprès de ses oiseaux, chantant des mélopées aux anges immaculés, assis sur sa chambre, dansants au plafond... plat fond... font plat... toucher le fond, quand le font est sans fin, plus bas que les enfers dans le tonneau maudit, sans eau s'écoulant, non elle s'était trompé de mythe... elle vivait le sien hors de toute référence. Se retrouvait seule encore sans aucune accroche que ce narrateur qui lui dictait ses gestes. Pauvre clown sans envergure, elle subissait sans force, épuisée, somnolente, léthargie latente et l'attente léthargique... Il ne s'est rien passé que son ennui qui passe, repasse, trépasse sitôt passé, renaissant sitôt trépassé... une continuité sans faille d'ou surgirait les émanations sulfuriques de l'inattendu! Si le néant trou béant sur sa réalité profonde avant une issue, une sortie, il y avait bien une entrée, comment la desceller...
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