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A propos de l2odyle

Vlad , 21 ans , Homme
Etait en ligne il y a plusieurs jours

Description

She lives beyond the grace of God, a wanderer in the outer darkness. She is "vampyr", "nosferatu". These creatures do not die like the bee after the first sting, but instead grow strong and become immortal once infected by another nosferatu. So, my friends we fight not one beast but legions that go on age after age after age, feeding on the blood of the living.






[A Place of Whitelessness

Un hymne à l'Entropie, un désert fertile encerclant une forêt absurde accueillant une maison impossible.
Tout est fatal et rien n'a de sens, vous entrez dans la cours.
Et il est Juge et Tribunal.]




Mors Ultima Ratio.

S'éleva alors l'Ennemi qui à l'instar de l'Adversaire et du Réprouvé jura de conquérir l'Eden, mais il avait insulté le Destin qui était le Père, aussi les Anges l'assaillirent de leur infinie bonté.
Et il y eut la Guerre.
Au delà des Âges et des Lieux, la réalité se brisait, se tordait et l'Univers ému, criait sa peine silencieuse loin au dessus des têtes des enfants endormis qui ne se douteraient jamais qu'un jour - si tant est que nous puissions nommer ce moment ainsi - tout manqua de finir.
Le Diable dont les facettes sont illimitées, tomba, en partie. Le Premier-Né, secondement déchu, s'en retourna à la Sphère à laquelle il avait été arraché. Et le Comte, apostat séculaire, qui n'était pas prêt à surmonter pareille Lueur, jura sur son sang maudit et par l'Ayocosme que ses détracteurs l'engendreraient de nouveau.
Omnia illa et ante fiebant
Omnia illa et rursus fient
Ita dicimus omnes
Cela s'est déjà produit auparavant
Et cela se réproduira encore.
Ainsi soit-il.
Et le Premier Cycle s'arrêta, enfantant le Second Cycle.

> Haute Histoire du Chu. (Prologue)




Le Second Cycle.

où la Sem'ya Vurdalaka s'abîme dans l'oubli du Fou Immortel

" Je dors et me noie dans mes rêves. Je crois atteindre le fond du lagon, mais arrache sans cesse une nouvelle toile de sombreur, et mes souvenirs reculent ; ils ne cadeauteront plus mes sens, ni le monde. Que sont ces tâches indistinctes que je m'éreinte à observer au loin ? Que disent ces voix sourdes, persuadées qu'elle m'apostrophent ? Qu'est-ce que la tâche ? Qu'est-ce qui m'attache ? Qu'est-ce que la voix ? Qu'est-ce que la voie ? Enlacé par des questions fugaces, je demeure et me réveille seul avec la peur du vide et l'envie de rien, affranchi d'une époque trépassée, pour m'enchaîner à une autre, fou rire au coeur. " - Sire Inyoni Yezulu Prima Gena Drakkensûl

La Mémoire fascinée, retenait le Crépuscule et l'Aube scélérate, cependant qu'à ses côtés, le Roi relevé contemplait les cendres de sa ville. Pourtant, le coeur pulsait encore et la bouche fredonnait toujours des chants entremêlés et impies. La Ville vivait et respirait de cette décadence éternelle que son Maire lui avait insufflé. Alors, même s'il ne restait qu'une poignée de demeures, que la guerre avait avalé Prieuré et Cave à Sang, perduraient toujours l'Envers et le Dragon monolithique gardien de personne et les palissades craquelées et l'Abattoir hurlant et la subtile folie cousue sur l'atmosphère.
Une explosion de rire partit du Monarque, qui brisa le silence avec brusquerie. Et la ville changea. Et les Parques lui firent écho.

> Haute Histoire du Chu. (Livre Seconde, Ch. 1)



Sem'ya Vurdalaka (Extrait du Second Cycle)


La Croisade des Millions de Sphères s'est achevée par une drastique altération de l'espace et du temps, ce qui a projeté la Ville à une époque ineffable puis l'a ensuite ramené dans le Laguis. Aussi quelques choses ont changé.

La Ville n'est plus que l'ombre d'elle même et n'a pas plus d'envergure qu'un grand village. Cependant, elle n'en demeure pas moins ragoutante. A présent Sem'ya Vurdalaka est située sur une île isolée sur les Mers de l'Ouest reliée à la terre par le Bras de Hler, un pont suspendu confectionné à partir d'énergies et de matières inconnues.

L'Île est une dense forêt, riche en horreur sauvage seulement captées par les Fous, les Forts et Lui et les Siens et c'est en son centre qu'elle contient la commune du Comte ; une bourgade protégée par un carré de palissade en acier-de-l'âme avec pour seule entrée, la Porte du Sud sur laquelle s'inscrit fièrement la maxime suivante : « Sic gorgiamus allos subjectatos nunc ».

Etablie en damier, Sem'ya Vurdalaka n'a pour elle plus que la joie de vivre et concupiscente de ses habitants, l'Envers sur la place centrale où l'on y va pour se corrompre et tuer son corps ou son âme et l'Abattoir où se bousculent les centaines d'esclaves destinés à servir de repas pour les amateurs de mets exotiques.

La Folie se pose et s'impose sur la cité infectant et asservissant les Psychés. Il n'y a ni politique ni humanité, chacun vit comme il l'entend, hébété par la Volonté de l'Apostat. Toutefois, les vestiges de la société survivent au coeur de ce grand N'importe quoi ; les notions de travail et d'argent existent. Ainsi, les résidents besognent-ils pour s'enrichir, le jour et se pervertir la nuit.




L'Envers.


L'endroit se présente comme une cyclopéenne maison montée sur plusieurs étages à peine fournie de quelques fenêtres couvertes d'épais rideaux. Une immense porte toujours ouverte invite la clientèle à s'y insinuer et à jouir des plaisirs malades que propose la demeure. Vous êtes à l'Envers.

Le Solum. Passez la grande porte et arrêtez vous à la réception ou Accueil, l'automate suintant de théléma et d'irréligion, vous reçoit avec cette chaleur dérangeante et significative. Payez le prix, quelques pièces tout au plus ou une partie de votre âme, mettez-vous à l'aise et laissez l'appréhension se dissoudre au coeur de l'excès et du dérèglement. Avancez vers la seconde porte, cet autre voile qui se lève et vous révèle un pan de Vérité, une révélation qui prosterne les velléité d'illusion : vous vous assurez par la simple force de votre esprit contorsionné, de la véracité du Chaos. Alors, de vos yeux ahuris, vous contemplez l'immense salle qui vous avale et subtilement vous avilit ; Une beauté qui n'a pas son pareil, luisante aux couleurs de l'ambre et de l'or foncé, noyée sous un océan feutré de parfums sucrés et enivrants, rythmée aux pulsations d'une musique éthérée où vents, cordes et voix s'entremêlent dans un pèle-mêle voluptueux. Admirez comme fauteuils, sofas et tables basses ornées du menu se disposent correctement à la périphérie des tables de jeux où le hasard - expression absolue du Changement - règne en monarque tout puissant. Sur le flanc ouest de la pièce se dresse un long comptoir où l'on y vient s'accouder pour profiter des spécialités gustatives. Votre regard à l'égard des gourdes et des gais s'égare puis, étreint avec une passion que vous ne comprenez pas, le fond du Solum, Nord toute, ému par l'incroyable bibliothèque du Comte, nexus de connaissance et d'érudition. Vous pas s'alourdissent, entravés par l'hésitation - l'envie de rester et perdurer vous agresse - mais vous parvenez à rejoindre la grande porte à l'Est qui donne sur la cage d'escalier, là où amants coquins se déclament leur coeur et s'honorent, sauvageons, dans leurs colloques coïtales. Gravissez les marches et atteignez l'Antichambre.

L'Antichambre est tout ce qu'il reste du Prieuré, ce havre de folie, de décadence et d'opulence qui autrefois accueillait les perdants et perdus et leur redonnait l'envie d'une vie déviante et d'avoir l'oeil défiant. Ce cauchemar existe encore. Cependant que vous vous abimez sur les marches infernales, la présence impie d'un Mal séculaire se renforce et vous écrase l'âme. Vous éclatez d'un rire dépourvu de raison et vous surprenez à vous précipiter au sein de la nuit. Une porte vous fait face, vous l'ouvrez. Admirez l'assistance composée d'une femme nue, esquisse de perfection, de lascivité, ode au stupre, qui arpente félinement cette allée centrale, séparant les rangées de bancs sur lesquels s'avachissent les sympathisants, louant La Camarde aux accords de dithyrambes obscènes, de poèmes panégyriques :

" Laissez la Nuit me prendre
Qu'elle m'étreigne
Que je m'éprenne
Que je m'imprègne
Que je méprenne
De son ardeur,
De sa fureur
De son odeur
Ce qui l'écoeure.
Prostituée,
La ménade tuée
Se situait
Sous les larmes
de l'Or rouillé
Et raillait lapalissades
Aux palissades
D'un Soleil qui palissait.
Et nous l'imitons
Et limitons le mythe
Cendré.
Ô Soir Zénithal,
Camarade Camarde,
Puisse-t-elle nous saisir
La Morte Saison
Ou des Enfers au Ciel
Tu étends tes Ailes. "

Au bout de la salle, dégouline sur l'autel le sang de la sacrifiée, violée, saluée puis achevée. Tous gémissent avec lubricité et quand vient la mi-rougeciel, se touchent avec gourmandise avant de vous offrir le plus immodeste et débauché des spectacles : l'apologie de la luxure, un tribut à Asmodée.
Encore épuisé par votre périple sexuel, vous revenez vers l'entrée et descendez encore. La chaleur, la sueur et le tintement des lames saturent l'air, l'Arène vous appelle.

L'Arène. Une cage cylindrique colossale encerclée par des tribunes sommaires où s'assemblent riches pervers, amoureux de véhémence ou quelques ambitieux bataillards en quête de gloire et prospérité. Vous vous habillez, comme tous, du manteau d'animalité et d'incertitude mais un soupçon d'excitation embrase votre coeur, aussi peinez-vous à vous détourner de ce pauvre homme que l'adversaire, le champion, brutalise sans conscience, cette victime que son propre sang empêche d'appeler à l'aide, qui vous tend la main et vous agrippe de ses yeux suppliants. Vous riez tout à coup et répondez ainsi à la foule, elle-même qui répond au héros.

Mais une lueur de lucidité vous rattrape et vous frappe. Quatre à quatre, vous remontez les escaliers et vous précipitez vers l'extérieur. Vous vomissez. Vous haletez, troublé et dégouté par l'expérience que vous qualifiez d'inénarrable. Alors, profondément respirez-vous et absorbez l'atmosphère pervertie de la Bourgade sous l'attention du Monarque, qui est partout.

...

J'habite là bas. La rue sans nom. Je travaille la terre et obtiens mon argent. Je souris, impatient que le ciel se couvre et que la lune me couve. Car la sorgue venue, j'éjacule mon pécule et m'accule fougueux derrière cette souillonne que j'en...

Et il s'enchaîna à ce monde où l'on disait toujours " jamais ".

(La rédaction s'excuse pour les fautes que vous viendriez à rencontrer et vous emmerde d'avance, ndlr à 4h50 du matin.)


Sujet.

Nom Véritable : Inyoni Yezulu Domskhan Drakkensûl
Nom en Ombre : Draculea, Dracula, L'Apostat
Nom dans les Cours : Impundulu Drakkensûl
Nom en Abysses : Oiseau de Foudre
Maison : Prima Gena Drakkensûl
Sang : Chaosite Abîmé (Abysses)
Génération : 8ème
Famille : Lord Kraven Eldaric Domskhan Drakkensûl (Père)
Titres : Maître des Dragons, Comte Drakkensûl
Concept : Aîné (Vampire), Empirien (Ombre du Vide)
Nature : Survivant
Signe : Feu



Verbe.

Attributs : Rang (1), Force (250), Combat (190), Endurance (200), Psyché (300), Conflit (50).

Capacités (Transfert de Qualités) : Vitesse Immense (16), Suprématie au Combat (16), Invulnérabilité aux armes normales (4), Dommages Primaux (Abysses) (16), Intelligence Quantique (16), Pouvoir Psychique Surnaturel (16), Bouclier Psychique (8)

Talent Racial (Transfert de Pouvoirs) : Voyage en Ombre (Pouvoirs Majeurs) (16), Maestria d'Ombre (Pouvoirs Majeurs) (16), Régénération (16), Changeforme Avancé (16), Icône d'Atout (16), Seigneur Runique (16), Domination de la Magie (8)

Pouvoirs : Logrus Allégorique (150), Routes Noires (40), Spatiomorphose (50), Folie du Chaos (95), Métamorphose Exaltée (90), Grand Art des Atouts (60), Tours d'Atout (30), Atout Vaudou (85), Conjuration Démoniaque (90), Drakkensûl (50), Danse de la Mort (70), Arts Magiques (90), Abysses Exaltés (90), Le Nul (10), Spirale Exaltée (90), Tempête d'Ombre (25).

Dons : Contact à Vue, Diffusion Empathique, Subterfuge Psychique, Prescience, Projection Astrale, Mentaliste, Médium, Sens Cosmiques, Accélération, Force Prodigieuse, Résistance, En Pleine Forme, Surentraîné, Champion Hors Classe, Sel de la Terre, Le Plus Fort Qui Soit, Expert en Art Martiaux, Maître de la Voie, Vétéran, Adaptable, Stratège, Seigneur de Guerre, Duelliste, Maître d'Arme, Inépuisable, Propre Source d'Energie, Régénération Rapide, Métamorphose Accélérée, Sanguinus, Do-Jitsu.




Complément.

- Frusques :
Bottes de cuir noires
Culottes noires
Pourpoint à manches fines
Justaucorps sombre

- Arsenal :
Schiavona (Epée du Logrus) - Emprunte du Logrus (2), Forme Limité (4), Dommages Destructeurs (8), Sens Extrême du Danger (4), Invulnérable (8).
Kanterthel, « L'Éclaireur » (Aiguiller) - Maître (30), Emprunte Véritable (16), Référence Magique (16), Manipulation d'Ombre (16), Capacité Psychique (16), Mouvement Planaire (16)
Système Quanta 2.0* (x2) (28 points), Origine d'ombre du construct (6), Manifestation (6), Psyché (2).
* Les cellules sont indépendantes de la première version du système Quanta, mais peuvent interagir pour mutuellement se contrer sans se détruire.





Apostrophe.


« O Quam Misericors est Deus, Pius et Justus »

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