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A propos de mel_8

Callista , 38 ans , Femme
Etait en ligne il y a plusieurs jours

Apparence physique

Apparence physique Très bien
Taille 1m73
Poids Mince
Cheveux Blancs
Yeux Autre

Mode de vie

Fume Non

Pour en savoir plus

Scolarité Diplôme de 2e ou 3e cycle universitaire
Situation Marié(e)
Enfant(s) Oui, 3
Désire un/des enfant(s) Non
Recherche Un homme
Relation Virtuelle
Orientation Hétérosexuel(le)
Signe astrologique Gémeau

Description

Callista De La Lorraine (Celebrindal)

Pseudo: callista



- Jeune fille cesse de faire des galettes de boue, tu n’es pas sur la ferme de tes parents ici.
- Mais je veux jouer moi... *La fillette était presque suppliante alors qu’elle levait son joli minois vers la vieille dame.*
- Arrête tes enfantillages et va te laver. Tu as tes leçons de piano puis Monsieur Durochel tentera une fois de plus de t’apprendre les bonnes manières car tu sembles avoir perdu toutes celles que l’on t’avait inculquées.
- Mais je veux jouer moi, j’veux pas apprendre toutes ces choses.
- C’est assez Callista, c’est la dernière fois que je le répète, tu cesses tous ces jeux dégoutants et tu vas te laver. Immédiatement.

La fillette obtempéra se relevant pour rentrer la tête basse faire comme on venait de lui ordonner.



- Ce soir aura lieu le grand bal durant lequel tu feras la connaissance de celui que j’ai choisi pour toi.
- Que vous avez choisi pour moi?
- Oui ton futur mari. Tu dois te marier l’an prochain afin de pouvoir prendre ma place sous peu, cela fait des années que je t’éduque correctement dans ce sens.
- Mais je ne veux pas me marier moi! Et mes parents ne seront pas d’accord non plus.
- Oublie tes parents, ton destin est ici à De La Lorraine, où tu règneras à ma place.

Au printemps la demoiselle retourna à la ferme parentale, jamais elle ne remit les pieds chez son aïeul du vivant de ses parents. Fille du vent, poursuivant sa course folle d’un endroit à un autre, elle parcourra le monde et ses merveilles. Occupant mille et un emplois afin de payer ses vivres; elle ne vivait pas richement mais la liberté était sa plus grande fortune. Les années s’écoulèrent ainsi alors que la douce demoiselle découvrait la vie, la vraie vie comme elle se plaisait à le dire. Beaucoup de connaissances, peu d’amis, elle ne désirait pas d’attaches et cela lui convenait parfaitement car comme elle le prétendait, si on n’a pas d’attache on ne peut pas se faire du mal. Pourtant la vie vous réserve parfois de drôles de surprises…



- Tu sais que tu es la seule à avoir demandé ce genre de chose à Syndar, mieux tu es la seule qui a tenté de le connaître au lieu de lui reprocher son existence.
- Possible mais je suis ainsi et tu le sais bien. Que voulais-tu que je fasse? J’ai demandé pour te faire mes adieux et il a accepté. Une fois cela fait aussi bien essayé de le connaître… même si tes paroles m’ont un peu perturbées.
- Pourquoi as-tu fais une telle chose dans ce cas?
- Parce que j’en avais envie, parce que c’était la chose à faire je crois pour que je puisse finalement te laisser aller même si je t’en voulais de ne pas m’avoir prévenu avant.
- Tu aurais tenté de me dissuader tu le sais bien.
- C’est sur mais bon là tu es là avec moi… et je ne comprends toujours pas pourquoi on s’est pris la tête à ce point… est-ce que cela sera toujours ainsi entre nous? *Toujours assise sur le sol de la chambre qu’elle avait louée à la Taverne du Lac aux Étoiles, les bras de l’homme autour d’elle, sa joue appuyée contre son torse, la douce demoiselle ferma les yeux, attendant une réponse de sa part.*
- Je n’en sais rien mais c’est sans importance non? *Il prit son verre de vin blanc et en bu avant de le lui offrir.*
- Sans doute… *Elle accepta la coupe pour boire à son tour le vin qu’elle aimait tant.*

C’est ainsi qu’une tornade rouge su mettre un frein à la course effrénée de la fille du vent. Elle se reposa pendant plusieurs mois puis un jour sans prévenir la tempête rouge passa son chemin… Les semaines, les mois qui s’en suivirent furent forts en découvertes émotives chez la jeune femme. Peine, tristesse, désolation, trahison… Les amis devinrent les ennemis et les ennemis les amis…



- Et voilà ce que ça coûte d'avoir des principes immuables dans ce bas monde... *râla le Maître Garou une fois la porte refermée. La jeune femme le regardera souriant légèrement puis viendra simplement l'embrasser pour toute réponse, ce qui le fera sourire à son tour malgré son agacement.* Eh bien, si cela m'apporte un baiser, il faut croire que ce sera la chose positive que toute cette argumentation m'aura amené ce soir. Il a bien fait d'amener son point en public, sinon j'en aurai eu encore pour des heures. Il ne comprend pas qu'avec de l'argent, on peut acheter une maison, certes, mais pas un foyer... on peut acheter une position, mais pas le respect -oh ça non. On peut acheter du sexe aussi, mais assurément pas de l'amour.
- Je ne pensais jamais dire cela un jour mais ce soir je suis fière de toi Xan. Il faudra que je retienne cette façon de présenter les choses, elle va pouvoir me servir.
- Peut-être, mais en attendant, laisse-moi souligner que nous sommes ses "otages".

Cela dura tout près d’une semaine où la jeune femme apprit bien des choses sur l’ennemi devenu ami… et sur elle-même par la même occasion. Deux pièces, deux êtres, deux vies, des échanges qui n’auraient pas eu lieu en d’autres mondes…



Ils s’arrêtèrent devant un bijoutier, où de très beaux articles en or dormaient sous des socles de verre. Le marchand remis une petite boîte au Maître Garou, qui se tourna ensuite vers Callista*
- Tu sais... je ne sais pas comment te dire ça.
- Dis le comme ca vient.
- Ce voyage m'a permis d'en apprendre beaucoup sur toi... et je dois dire que ce j'ai appris m'a beaucoup plu
- Donc je ne finirai pas dans ton assiette et ma tête sur un poteau. *Lança-t-elle dans un haussement d’épaules empreint de désinvolture.*
- Non, non, t'inquiète. Je... tu... tu es vraiment importante pour moi *Il faisait tourner et retourner la petite boîte entre ses doigts gantés, tournant en rond et ça ne lui ressemblait pas. À cela la femme haussa un sourcil, son attitude commençait à l'amuser fortement, encore un peu et elle poufferait de rire.*
- Arrête de te moquer de moi! *Il lui tendit la boîte.* Tu voudrais pas m'épouser? *Cette fois elle pouffe de rire et ce n'est qu'après de longues minutes qu'elle arrivera à se calmer, essuyant des larmes de rire.*
- Décidemment tu sais comment me faire rire Xan. Tu as de ces idées!
- Je ne pensais pas que l'idée d'être avec moi te ferais mourir de rire à ce point, allez ouvre, petite sotte! Après, tu changeras d'avis! *Lança-t-il en souriant d’amusement.*
- Bah tu ne pensais quand même pas que j'allais te prendre au sérieux? -Elle prit la boîte et l'ouvrit souriant toujours amusée de sa plaisanterie pour y trouver sa chevalière qui avait l’air neuve.* Merci Xan.



Quelques semaines plus tard l’impensable passa réalité. La fille du vent cessa sa course folle pour s’établir de manière plus ou moins définitive. À partir de ce jour fatidique les problèmes et mauvaises surprises devinrent choses communes pour celle qui auparavant les évitait en ne restant pas en place. Mais chaque médaille a deux côtés, et pour tout bonheur trouvé une larme sera sans doute versée. Voilà pourquoi à ce jour, l’Insaisissable n’est plus, désormais mariée et nouvellement mère… Qu’est-ce que la vie lui réserve encore…?



La fille du vent restera toujours au fond d'elle-même la fille du vent... ses années de sédentarisme, bien que remplies de nouvelles expériences, commencent vraiment à lui peser. L'appel des voyages, l'envie de rencontrer de nouveaux gens, commencent gravement à se faire ressentir, devenant de plus en plus oppressant, opprimant pour l'ancienne Insaisissable. Est-ce que la survie de sa santé mentale dépend de ce besoin de repartir, laisser tout derrière elle pour recommencer à errer par delà le monde? Elle y pense sérieusement. Renouer avec l'aventure ou demeurer près des siens...

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