~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~SORENTO~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Ô virtuose musicienne,
Quel nom reflète le si beau visage,
Qu’il m’est autorisé de mirer selon l’adage ?
A mon ouïe, ne me parviennent,
Que quelques sonorités chantantes
En une mélodie cristalline,
Ton triste regard se peint d’une lueur mutine,
Tes iris, miroirs spectraux, dansantes,
En un antique et divin ballet.
Mais toi, l’oubliée,
Dont les poètes ne cessent de louer
Cette sibylline et ineffable beauté,
Tu demeures, l’ombre dans l’ombre
T’apitoyant sur ton funeste destin
Alors que peu à peu, se propage la pénombre,
Seule tu demeures, noyée dans tes regrets
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