Littérature

Les pieds qui trainent sur le parquet désseché les flammes des bougies ont cessé de brûler les odeurs des lavandes et des pins éthérées ne flottent plus...

Il était une fois Une princesse et un crapaud Sur un site se sont écris des mots De fil en aiguille leurs destins se sont tissés Cousu de fil d or une...

Passer les doigts au travers du miroir oublier la lumière flirter avec le noir découvrir l'inconnu et se laisser choir Voir le temps filer entre ses doigts cours...

accrochée lascive sur mon rayon blanc de lune néante le corps qui embrasse les courbes accueillantes je danse sur les ailes du temps immortelle géante les...

pourqauoi se suida-il..hemingway

Elle resta figé quelque part quelqu’un avait trouvé son adresse mail elle ne savait pas trop comment elle ne savait pas trop pourquoi et lui avait écrit....

Par une étoilé Je t es rencontré Au premier regard échangé Nous nous somme aimer nous nous somme en lacé pour ne plus nous quitté triste réalité quand...

Au travers des brumes spectrales de la vie glacée, les ruisseaux suspendent leurs cours dans leurs manteaux de nuit et le corbeau coasse pour briser les...

Cherès ames lectrices Savez-vous que si "LE PETIT-LAROUSSE" s'appelait "LE PETIT-LABLONDE", il serait vide ? Méditons... Mr Robert

Parce qu'il en faut des litres se sueurs à transpirer sur cette page blanche, celle où pour seule offrande, on couche souvent des ratures pour tenter...

J'ai posé ce matin mon regard sur le monde gelé douceur blanche de millions de cristaux lovée J'ai caressé le corps allongé de l'éphèbe glacé immaculées...

Il y a des profils à lire pour la beauté de l'écriture. A propos de au.risque.de.s.y.plaire "Beau aime Y a des matins trop seuls, et des soirs...

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Moi j'me suis torturée les méninges avec le Marquis de Sade (m'enfin Juju !!) Non sans dec j'ai dévoré les Maxime Chattam, JC Grangé, Franck Thilliez,...

Tourne, tourne et passe sournois le vent balaye sur son passage choix et sentiments Tourne, tourne farandole de faux semblants les tourmenteurs y laisseront...

Bercée sur les ailes du vent je revois le passé le présent Les visages se dessinent dans les traits des nuages fatigués Pauvre fils éphémères dispersés...

Laisser un instant ton corps assoupi Parcourir la lande et les déserts gris S'ouvrir au monde et aux sensations Lécher du regard les immensités blanches. Du...

Il est des heures où comme les éclairs d'argent les coeurs meurtris cessent de se battre d'autant La vie perd pied et les corps s'alourdissent Dans ce...

J'aime ces paysages enneigés qui s'offrent au regard Quand le crépuscule vient les lécher de son blizzard La vie à la fois vive et morte qui bat loin dessous le...

J'ai regardé ce matin le brin de lavande gelé les rais du soleil venaient clairs s'y miroiter les volutes vaporeuses s'échappaient ça et là enmystifiant...

Bientôt une année passée Celle-ci détesté Du choix fait Et mon monde éclatait... Mes larmes coulent Mon coeur saigne Mon corps est vide Mes mains aussi Je...

Toi qui te dis poète ,parce que tu sais écrire fais un peu attention à ce que tu peux dire Car mal interprétés, tes mots peuvent blesser  Et fais preuve...

Les yeux perdus dans le vide, j'égrène le sable du temps la clepsydre cassée gît sur le plancher, étoilée les vagues au dehors frappent les falaises...

Enveloppée dans ma couverture de cristal, j'observe les volutes des expirations. Sylphide opaline du monde animal et végétal je peints les univers selon...

Longtemps j'ai erré au travers des ombres sans nom glissant entre elles comme un spectre en réclusion Laissant ternir ma lumière au profit des trublions Taisant...

Impassible, sur ma plume aux dents gelées Je regarde les longs nuages laiteux passer. Le ciel n'est qu'immensité grisée placide Et la vie prise dans un...

Je vous dirais bien de cesser le combat, Mais j'aime trop l'odeur de poudre au fond des bois Lorsque sous la canopée alourdie des arbres fatigués L'on...

De part les grandes fenêtres aux voilages blancs ouvertes sur les paysages figés hors du temps, je vois naitre les vies, les morts et les amants, j'effleure...

Dans les lames des brouillards sans fin, je me glisserai sans craindre de perdre chemin. Laissant mes pieds nus fouler le sol moussu des dires, des vérités...

entre satin et soie, doux froissement du drapé dans cette pièce aux milles parfums peu éclairée je laisserai le vent entrer, virevolter emportant les soupirs...