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                                                Putain lasse
  
  Viens là, viens baiser sa chair !
  Elle la pauvre que tu culbutes
  Elle ta chose, toi la brute,
  Une véritable traînée amère !
  
  Ta décadence, son tumulte.
  Avec sa rage elle t’enserre.
  Ton organe en cimeterre,
  Qu’elle dévore, tu l’insultes !
  
  Elle explose, et tu la laisses
  Inondée de toi, ouverte, exclue.
  En elle ta douleur reflue
  Comme au jusant la marée baisse.
  
  Ecœurée, l’âme basse
  Vomissant tes perversions
  Soumise à ton oppression 
  Elle n’est rien qu’une putain lasse.
  
  
  Adèle
                     
                                     
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                                                avant que de partir
  j'ai mis mon coeur sur la fenêtre
  je crois en l'avenir
  les corbeaux viendront peut-être
  
  de leurs longs becs pointus
  ces animaux vont se repaître
  de ce morceau de viande crue 
  dont vous vous pensiez le maître
  
  mon corps va pourir 
  et la douleur disparaître
  je vois avec plaisir
  les noirs corbeaux sur ma fenêtre
  
  Véro.
                     
                                     
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                                                Chambre à marée haute
  
   
  
   
  
  Ta peau galbée de foudre. 
  Son feu jamais éteint 
  L’orage de Van Gogh 
  Le salé de nos mains   
   
  L’échancrure d’un cri. 
  Tes prières à jamais. 
  Le verbe que tu trembles 
  Et toi qui me sais là… 
  
  Ces nuits désordonnées
  À déchiffrer ta vague 
  Son pli que je suppose 
  Où baille ton destin 
  
  Les sarments de ta vigne
  Sous ton pagne l’Espagne 
  L’argile de ta forge 
  L’algue de nos baisers
  
  Tes maquis scintillants
  Où je sais des lumières
  Sous la brume d’un chant
  Sa voilure carmin
  
  Et moi ce mal venu
  Démêlant tes crinières.
  Ton âme où me cacher
  De fleurs et de scandales
   
  Avec une chaleur
  Avec des folies 
  Au vague de tes yeux…
  
  Et la chambre, la mer 
  Plus haute chaque matin
  
   
  
                     
                                     
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                                                Je rêve que je m'endors dans Tes bras, 
  Mais me réveille en sursaut; Tu n'es pas là... 
  Je crie à tue-tête mon Amour pour Toi, 
  Mais tu n'entends pas; Tu n'es pas là... 
  Mon esprit est envahi de pensées 
  Que j'ai du mal à exprimer... 
  J'aimerais caresser de ma langue Tes lèvres 
  J'aimerais que Tu fasses tomber ma fièvre... 
  Sentir Ton corps contre le mien 
  Et y laisser courrir mes mains... 
  T'avoir tout entier rien que pour moi, 
  M'abandonner complètement à Toi... 
  Bientôt, Toi, moi, Nous... 
  J'espère, formerons un Tout...
                     
                                     
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                                                Je vois le monde vivre sous mes yeux
  Mais ne peux me résoudre à faire comme eux.
  J’observe de me fenêtre ces gens sans visage
  Et tout se trouble à ma vue, comme un mirage.
  Ils bougent, parlent, boivent, se promènent
  Je reste statique, telle une statut d’ébène.
  Presque tous mes volets sont clos
  Et certains diront : « la voilà dans son enclos ».
  Est-ce la vie que je me choisis ?
  Est-ce qu’un jour cela sera fini ?
  Quand j’y arrive, je dors tout le jour
  Ne me lève que quand la nuit de ses bras m’entoure.
  Alors, parfois, j&rsquo e mettre le nez hors de chez moi,
  Me dégourdir les jambes, faire quelques pas ;
  Sous le regard attendri de la lune et de ses filles
  Je me détends enfin, doucement me déplie.
  Et avec une indifférence de ce qui se passe pour le monde,
  Sous ce joli ciel, beaucoup d’espoirs je fonde…
  
                     
                                     
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                                                es pages d'un jeune. Pas d'âge, La Jeunesse, disait Picasso. Pas de pinceau juste un stylo. Je réprime le style hostile. Stella sûrement pas. Artiste pourquoi pas. Dix-neuvième Pas. Pas à pas vers la Première Passe. Sans 'Ma ni 'Pa. Sempai parce que Nii-sama. Parfois l'envie de crier un "Samaman" mais humble urbain. La Voie du Samouraï. Parfois la vie sauce samouraï, mais on s'amourache. Et si le vice s'attache et que la Foi il m'arrache j'arme l'escarmouche. Gare aux escarres gaillard ma plume, ma lame, je fais mouche. Pauvre de Mouche. Mais au fond Mouche c'est nous alors pauvres de nous. A Crochet. Accroché au Wyrd comme à son bateau le Flibustier. Pirate! Crièrent les Nornes. Ils ont renommé les normes. En songe on me surnommerait énorme. Mensonge? Mon Sage, toi qui lis je te laisse me nommer. Nomade sur la page je laisse les mots à la promenade. Un prélude. Un prologue. Placide comme une plage. Verbe et moi. Verbe est moi. Verbe émoi. De qui chevalier ou page? Mon tribu est sans taxe. Sur la syntaxe je ne jeune pas. Ainsi débutent les pages d'un jeune.
                     
                                     
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  Sous cet air plaisantin
  Se cache un mal-être certain
  Ces rires et blagues trop faciles
  Ne tiennent souvent kà un fil
  Et la bonne humeur de première apparence
  Laisse vite place à une réelle souffrance.
  Seules kkes personnes s’en sont aperçu
  Et ont réussi à mettre le doigt dessus.
  Alors maintenant le secret éventé
  Librement les larmes peuvent couler
  Laissant place pour kkes temps
  A un immense soulagement
  Avant ke ne revienne cette foutue anxiété
  Ki bien sûr m’est impossible à maîtriser
  Ne restera plus alors kà de nouveau faire semblant
  Dire « ça va bien », et sourire de toutes ses dents.
  
                     
                                     
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                                                Sous ce ciel si limpide
  Je me sens toute timide
  Car les étoiles scintillantes
  Deviennent mes confidentes
  Je leur parle sans méfiance
  Elles acceptent mes confidences
  Ne portent aucun jugement sur moi
  Et me berce de leurs doux bras
  Je les observe toute la nuit
  Tandis qu'elles me surveillent aussi
  Parfois la lune fait son apparition
  Nous montre le chemin de la maison
  Car l'heure de partir est déjà arrivée
  Et nous pourrons alors rentrer et rêver
  De cette tendre nuit
  Qui aurait dû durer l’infini
  
                     
                                     
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                                                La Force de l'Amour
  
  On croit qu'après avoir vécu avec une personne
  pendant des années, et que la vie nous sépare
  pour n'importe quelle raison,
  qu'on ne pourra jamais plus aimer une autre personne.
  
  Mais il arrive un jour,
  qu'une personne croise notre chemin,
  l'amitié s'installe, nos goûts semblables,
  et voilà qu'on est bien avec cette personne.
  
  Par contre,
  nous sommes inquiets, méfiants,
  de peur de souffrir à nouveau, 
  mais c'est là en nous.
  
  Avec le temps, nous apprenons à nous apprivoiser,
  avoir confiance, chasser nos peurs d'antan,
  pour finalement s'aimer d'une passion enivrante.
  
  Pour moi j'appelle cà 
  
  La Force de l'Amour...
                     
                                     
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                                                La fille dans la vitrine ma fait signe.J'entre.Elle m'allonge sur son lit de Rigueur, se blottit nue près de moi et nous pleurons ensemble un Père absent.
                     
                                     
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                                                adele , je ne sais pas si c'est vos propre paroles ce que vous avez écrit au description ,, mais vous êtes exceptionnel , j'adore,,
 je sais que vous cherchez une femme , mais je serais honorer si vous acceptez mon amitié , rien que pour un bon amitié
                     
                                     
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                            Citation de alimounir
                                
                                                                            adele , je ne sais pas si c'est vos propre paroles ce que vous avez écrit au description ,, mais vous êtes exceptionnel , j'adore,,
 je sais que vous cherchez une femme , mais je serais honorer si vous acceptez mon amitié , rien que pour un bon amitié
                                                                    
                            
                            
  
                                                Elle va répondre à un poste daté de 12 ans ,alors qu'elle ne se connecte plus depuis ???
                     
                                     
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                            Citation de blonq
                                
                                                                            Elle va répondre à un poste daté de 12 ans ,alors qu'elle ne se connecte plus depuis ???
                                                                    
                            
                            
  
                                                Faut croire qu'il aime cultiver l'espoir vain.
                     
                                     
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                            Citation de morganna
                                
                                                                            Faut croire qu'il aime cultiver l'espoir vain.
                                                                    
                            
                            
  
                                                Un peu comme l’autre avec sa Pamela ...
                     
                                     
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