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Plus d’un an après les début de la pandémie covid-19, probablement peu de temps avant une possible 3ème vague, un premier bilan en terme de décès qui ne devait pour certains experts n’être pas plus meurtrier que les accidents de trottinette, ou une simple grippette où en est t-on aujourd’hui ?
- plus de 90 000 morts en France, probablement plus de 100 000 morts d’ici un peu plus de 1 mois
- plus de 533 000 morts aux Etats-Unis
- plus de 275 000 morst au Brésil
- plus de 193 000 morts au Mexique
- presque 126 000 en Grande-Bretagne
- plus de 101 500 en Italie
- plus de 89 700 morts officiels en Russie mais certains organismes en Russie parlent de plus de 150 000 morts
- plus de 73 000 morts en Allemagne
- plus de 72 200 morts en Espagne
soit plus de 2, 642 millions morts dans le monde à ce jour, la pandémie la plus meurtrière après la grippe espagnole,
Et ne croyons pas que ce virus ne touche que les personnes de 80 ans et plus, il touche maintenant les plus jeunes et le variant anglais a une virulence 64 % plus virulent que la souche originelle !
Une pensée à toutes les victimes et à leurs familles et aux personnels de santé et à ceux sur le front Covid-19, un carton rouge aux experts de pacotille rassuristes qui ont bien semé le trouble chez les français et aux français qui n'ont pas respecté les mesures barrière ni les consignes sanitaires, ne venez plus vous plaindre d'une 3 ème vagué et d'un nouveau confinement, ou des personnes et entreprises, commerçants dans la précarité, qui paient pour votre irresponsabilité et votre égoïsme face à l'interêt collectif de notre société !
« Île-de-France : vers un reconfinement strict ? #cdanslair 12.03.2021 » 10,084 views • Mar 13, 2021
Modifié il y a 3 ans, le lundi 15 mars 2021 à 01:00
Un post au sujet du controversé port du masque par les enfants et la saturation en oxygène mesurée par les oxymètres vendus dans le commerce ( en pharmacie ..), faisant les choux gras des réseaux sociaux et des complotistes !
AFP Factuel
@AfpFactuel
« Le port du masque dangereux pour le taux de saturation en oxygène mesurés chez des enfants ?
Des experts écartent ce risque et mettent en garde contre les interprétations hâtives de certains tests http://u.afp.com/UNC3 #AFP #CoronaVirusFacts »
« Masques, oxymètres et hypoxie... Attention aux expériences publiées sur les réseaux sociaux »
Sami Acef, Anouk Riondet Facebook Twitter Email Publié le vendredi 12 mars 2021 à 13:59Mis à jour le vendredi 12 mars 2021 à 14:08
Copyright AFP 2017-2020. Droits de reproduction réservés.
« Des publications virales sur les réseaux sociaux montrent des taux de saturation en oxygène mesurés chez des enfants ayant porté un masque, certaines pour alerter sur un potentiel manque d'oxygène, d'autres allant jusqu'à parler de risque hypoxie. Mais les experts interrogés par l'AFP écartent ce risque et mettent en garde contre les interprétations hâtives de ces tests.
"Parents, achetez un oxymètre en pharmacie. Beaucoup de vos enfants sont en fait en hypoxie grave", peut-on lire dans plusieurs publications sur Facebook.
Les masques de protection ont déjà été accusés de provoquer une hypoxie chez ceux qui les portent. Des affirmations réfutées par plusieurs médecins et chercheurs interrogés par l'AFP.
"Chez un enfant, chez quelqu'un qui n'a pas de problème de santé, mettre un masque n'a pas d'impact majeur sur les échanges gazeux. Si ça devait arriver, et que le masque gênait vraiment la respiration vous le sentiriez tout de suite", explique Samuel Vergès, également interrogé par nos confrères de 20 minutes.
"Un enfant en hypoxie est un enfant qui bleuit : il a les lèvres et les doigts bleus. C’est un enfant qui va être gêné pour respirer", poursuit Madiha Ellaffi.
»
Une vidéo éclairante démontrant les limites des mesures réalisées par les oxymètres et leur utilisation sur les réseaux sociaux pour provoquer des polémiques et de l'infox :
Les Vaxxeuses
5G #JeMeFeraiVacciner Retweeted
Pepper MD DGS-URGENT @DocPepper_FR
Mar 10« Expérience éducative à destination des débilos du saturomètre qui envahissent les réseaux sociaux ! »
Citation de arthur_rambo
t'as un compte tweeter....?
mdr..
A Question stupide, réponse en rapport !
Parce que tu crois que je vais te donner ce genre d'info ?
Chaque jour je découvre ta connaissance de Geek autoproclamé, qui se rapproche plus à de la vacuité qu'autre chose !
Question est-il nécessaire d'avoir une compte twitter pour accéder aux fils des médias et personnalités publiques ?
« Des collectifs citoyens comme les Vaxxeuses se mobilisent pour lutter contre la désinformation de certains groupes anti-vaccins sur les réseaux sociaux. Un travail de longue haleine mais qui peut payer. #rappel https://franceculture.fr/sciences/ils-l
»
vaccin AstraZeneca ... c'est quoi ce bazar dans cette communication médiatique ? Un avis parmi d'autres sur le sujet !
« Pr @MathieuMolimard "C'est une décision politique (...) Sur le plan scientifique, à ce jour, on n'a pas d'éléments pour dire que le rapport bénéfice/risque du vaccin AstraZeneca est défavorable, il reste excellent" »
A ceux qui veulent bien prendre du recul dans l'analyse des info/infox des réseaux sociaux avec ce que l'on appelle le principe de corrélation et causalité :
Citizen4Science
@Citizen4Sci
·
9h« Merci à tous les citoyens qui affluent pour obtenir l'affiche HD "Illusion de corrélation" pour leur cabinet, hôpital, bureau ou salle de classe. Pour les non membres de C4S, il faut nous envoyer DM votre e-mail pour l'envoi. La version actuelle peaufinée avec
@Dissonance4All: »
Les scientifiques auront pourtant prévenu Macron et l'exécutif !
« Dominique Costagliola : "L'exécutif a prétendu qu'il savait tout mieux que les épidémiologistes"
La scientifique a des mots durs contre un gouvernement attentiste qui n'a pas voulu écouter les spécialistes. Elle en appelle à un confinement régionalisé, mais strict.
Durée : 10 min »Article réservé aux abonnés
Propos recueillis par Stéphanie Benz et Thomas Mahler
publié le 15/03/2021 à 15:01 , mis à jour à 16:16
« Dès début janvier, elle avait averti que la seule solution face au variant britannique passerait, hélas, par un reconfinement. Mais, comme d'autres épidémiologistes de premier plan, Dominique Costagliola n'a pas été écoutée par le gouvernement. Aujourd'hui, alors que la situation sanitaire devient alarmante en Ile-de-France, celle qui a été récompensée par le Grand Prix de l'Inserm ne peut que regretter les opportunité perdues, plutôt que de se réjouir du supposé "temps gagné" vanté par le gouvernement.
Connue pour ses analyses pertinentes, sa défense de la rigueur scientifique comme pour son franc-parler, Dominique Costagliola a, dans la première partie du grand entretien que nous publions, des mots très sévères pour un Emmanuel Macron qui s'est improvisé épidémiologiste (et aussi immunologue...).
Elle se montre également très critique avec des "pseudo-experts" omniprésents à la télévision qui ont minimisé l'ampleur de la crise. Non seulement l'économie n'a pas bénéficié de cette période marquée par de fortes contraintes (couvre-feu, restaurants/bars fermés...), mais le bilan humain est calamiteux, avec depuis octobre une vingtaine de semaines d'excès de mortalité et, à nouveau, des hôpitaux sous forte pression. Face à l'urgence sanitaire, Dominique Costagliola demande à l'exécutif de sortir de son attentisme et en appelle à des confinements régionalisés stricts en Ile-de-France, Hauts-de-France et Paca, de "quatre à six semaines minimum". »
Pour ceux qui veunent en savoir plus sur le sujet de cette polémique sur ce vaccin AstraZeneca , avec des réponses à vos questions légitimes ... c’est ici en Replay sur France 5 :
« C dans l'air : AstraZeneca : On en fait trop ?
Émission du mardi 16 mars 2021 » diffusé le mar. 16.03.21 à 17h44
disponible jusqu'au 23.03.21
« L’EMA a indiqué qu’elle examinera les données disponibles à partir de ce mardi et qu’elle se réunira jeudi au sujet d’AstraZeneca, tout en confirmant une nouvelle fois que "les avantages du vaccin l’emportent toujours sur les risques". L’OMS, de son côté, organise également une réunion aujourd’hui pour discuter de la situation, après avoir déjà exhorté les pays à continuer de vacciner. "Il ne semble pas y avoir plus de cas [de caillots sanguins, NDLR] que ce que l’on s’attend à trouver dans la même période en population générale", a indiqué Mariangela Simao, directrice adjointe de la section vaccin de l’OMS.
Alors pourquoi le vaccin AstraZeneca a-t-il été suspendu ? Depuis vingt-quatre heures cette décision de précaution suscite de nombreuses interrogations et réactions notamment dans le monde médical. Plusieurs professeurs en pharmacologie voyant là une "annonce politique", plus que scientifique, fruit d’un effet domino parmi les vingt-sept, en quelques jours. Invité ce mardi sur France Inter, le Pr Alain Fischer, président du Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale, a affirmé pour sa part qu’il s’agissait d’une décision médicale avant d'être politique. Rappelant le chiffre revendiqué par le laboratoire anglo-suédois de 17 millions de personnes vaccinées dans l'Union européenne et au Royaume-Uni, il a estimé qu'"il n'y a aucune raison de dire qu'on a été trop vite". Pour autant "la situation est qu'il y a eu de nouvelles alertes venant de pays européens concernant des thromboses atypiques qui suggèrent qu'il pourrait se passer un évènement dans lequel le vaccin joue un rôle", a poursuivi le "Monsieur Vaccin" du gouvernement, attirant l'attention sur l'"atypie plus que sur le nombre de cas" et sur le fait qu'"on n'est plus tout à fait dans le principe de précaution, ça va au-delà".
De son côté, le ministre de la Santé a voulu rassurer les 1 344 148 Français qui ont déjà reçu une première dose : "Je fais partie de ces Français qui ont reçu une injection d’AstraZeneca. Il n’y a pas de démarche particulière à entamer, les gens ne sont pas en danger parce qu’ils auraient été vaccinés par AstraZeneca. Ce que nous dit l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), c'est que comme pour toute prise de médicament, si vous présentez des symptômes, d'ailleurs liés ou non à la prise de ce médicament, et bien vous appelez votre médecin. Sinon, il n'y a aucune démarche particulière à entamer", a insisté Olivier Véran. Le ministre a également dit espérer pouvoir reprendre les vaccinations avec le sérum d’AstraZeneca jeudi après le nouvel avis de l’Agence européenne du médicament.
… A l’inverse, la campagne se poursuit au Royaume-Uni où plus de 10 millions de Britanniques ont déjà été vaccinés avec le sérum d’AstraZeneca et elle s’accélère aux Etats-Unis.
Alors comment expliquer cette cascade de suspensions d’AstraZeneca dans l’UE ? La presse britannique évoque un "excès de prudence" en Europe, qu’en est-il ? La France a-t-elle été "prise de court" par la décision allemande ? Enfin comment la vaccination se déroule-t-elle aux États-Unis ? »
« Invités :
- Patrick Pelloux, médecin urgentiste au Samu de Paris, président de l’Association des Médecins Urgentistes hospitaliers de France (AMUF)
- Jean-François Bergmann, ancien vice-président de la Commission des autorisations de mise sur le marché des médicaments (ANSM)
- Caroline Tourbe, journaliste sciences et médecine Le Point
- Dominique Seux, directeur délégué de la rédaction des Échos
- Romain Gizolme, directeur de l’@AssociationADPA »
peut être téléchargé en attendant la mise à jour, via le lien du site du côté de la science ci-après :
« Avis du Conseil scientifique COVID-19 – 11 mars 2021 »
• A la une, compte rendu scientifique, Prévention, Veille
• Le collectif
• 16 mars 2021
« Le Conseil Scientifique a rendu son dernier avis jeudi 11 mars et une disposition législative (L3131-19 du code de la Santé publique) prévoit que celui-ci doit être rendu public « sans délai ». Alors que l’avis a déjà été divulgué par la presse et fait l’objet de nombreux articles et commentaires, il n’est, à ce jour, toujours pas mis en ligne par le ministère des Solidarités et de la Santé. Pour des raisons évidentes de démocratie et pour que ce rapport puisse etre débattu publiquement en amont de toute décision, le collectif Du côté de la science, a décidé de le rendre disponible.
« Le Covid-19 est-il devenu la première maladie nosocomiale en France ? »Benoît Zagdoun
France Télévisions
Publié le 10/03/2021 07:00
« Plus de 44 000 cas de contamination au Covid-19 à l'hôpital ont été signalés en plus d'un an, mais d'autres infections nosocomiales touchent chaque année bien plus de patients.
Des patients entrés pour une visite de routine et ressortis avec le Covid-19. Des soignants contaminés sur leur lieu de travail. Des visiteurs arrivés avec un bouquet de fleurs et repartis avec le virus. Les établissements de santé français ont rapporté 44 401 cas de Covid-19 nosocomiaux, entre le 1er janvier 2020 et le 14 février 2021.
Parmi ceu x - ci, 26 839 concernent des patients, dont 186 ont trouvé la mort ; 17 552 sont des professionnels de santé et 10 des visiteurs. Près de 71% des signalements relèvent de clusters impliquant au moins trois malades. Les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Ile-de-France et Hauts-de-France totalisent près de la moitié de ces signalements.
Ces chiffres, mentionnés à la 35e page d'un point épidémiologique de Santé publique France le 18 février, étaient passés inaperçus, jusqu'à ce qu'ils soient repris dans un article du Figaro le 1er mars. A quel point ces infections au Covid-19 à l'hôpital sont-elles préo ccupantes ? »
Une étude française LIFEN sur 1 841 patients non hospitalisés (non publiée) montre que 40% des patients se plaignent de symptômes à 5 mois de leur infection : 52.9% de fatigue, 42.9% de dyspnée, 41% tachycardie, 30% anosmie/dysgueusie, c'est beaucoup
Passage choquant : 46% des personnes avec des symptômes de COVID-19 et se sachant symptomatique viennent quand même travailler et potentiellement contaminer d'autres personnes ! J'ai déjà entendu parler des parents qui envoient leurs enfants avec des symptômes de COVID à l'école
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