Tiens v'là Didier ! Il nous parle de " tentatives de déstabilisation " ( ratées ! ) !
" Didier Raoult : « Cette tentative de déstabilisation n’a pas marché ! » "
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Dont celui-ci:
- " Appoline demauvaiseherbe devrait prendre des leçons de journalisme face à ce jeune journaliste ,respect de son invité en posant les questions sans pour autant l'interrompre des la 1ere seconde. "
Citation de savanee
bonjour fouthese and Co ...
bonne journée ...
bizzzzzzzzzzzzzzzz
Hello Savanee,
depuis tout môme je rêve de monter sur l'un de ces voiliers de pirates !
Il y a déjà quelques semaines un beau voilier était stationné à l'un des quais du port de Bayonne.Malheureusement l'accès en était interdit hors des horaires ( monétisés ) prévus ! Rââââââ ! C'est un ex-gamin qui fut foudroyé par la frustration !
"Bienvenue dans l'exploitation de la misère des autres..?"
nan ....!!
c'est trop long..
"Bienvenue chez les Ch'tis"..
ben non ave l'OM ...ça colle pas..!
"Pour cent briques t'as plus rien..!"
c'est pas mal ça..
ou ..
"10 000 dollars au soleil.."
etc..
on se ferait les couilles en or..!!
mdr..
Salut Arthur,
nous des escrocs à son image ! Pouah !
Je reste sur mes héros de mioche - eux sont devenus des légendes,tandis que le Bernard l'air mythe - comme tant d'autres de son acabit - n'auront droit qu'à cette fosse commune qu'est l'oubli nonobstant certains manuels d'Histoire peut-être...
Mais comme je ne retournerai jamais plus sur les bancs de la Communale,hé ! hé !
Pour changer,je vais mettre en avant des commentaires venus d'un autre forum !
" The Fool on the Hill
il y a 2 jours
Le centralisme démocratique est le nom donné aux principes utilisés au sein des organisations internes se réclamant du léninisme (notamment les partis politiques) et le terme est parfois utilisé comme synonyme de toute politique léniniste à l'intérieur d'un parti politique. Théoriquement, l'aspect démocratique décrit la liberté des membres du parti politique à discuter et débattre d'une décision politique et une fois que la décision du parti est votée à la majorité, tous les membres du parti doivent faire respecter cette décision. Ce dernier décrit l'aspect centralisme. "
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" Philippe T38
il y a 2 jours
L'étau qui se resserre chaque jour davantage ira jusqu'à broyer les plus fervents supporters de ceux qui l'auront mis en place. Il n'est pas de régime autoritaire qui n'est un jour purgé les siens. Les complices de cette manœuvre devraient y songer car plus le carré des fidèles se réduit et plus les ambitions de carrière sont aiguisées. "
" Marthe46
il y a un jour
Une des caractéristiques des régimes totalitaires, c'est de psychiatriser toute opposition, comme en URSS. Lors du lancement de la campagne de Macron, un des animateurs, après avoir qualifié Zemmour de "peste brune", a souligné que ce "dérangement mental" touchait 15 % de la population. Il va falloir former beaucoup de psychiatres ! "
" JDupons
il y a un jour
Il n'est plus utile de rappeler "les heures sombres" du passé : nous y sommes en plein actuellement. Les médias d'État, Radio France en tête, sont dans un matraquage qui ne s'arrête jamais ; je pense notamment à France Info qui répète en boucle, toutes les 10 minutes, la doxa du moment avec de nombreuses interventions ponctuelles de pseudos spécialistes qui viennent essayer de démonter tous les arguments des oppositions au pouvoir : nous sommes en plein dans un cauchemar du genre Orwell... "
" Zhao
il y a 2 jours
En dictature, avoir l’esprit critique c'est très très dangereux, le seul credo c'est celui du pouvoir en place, aujourd'hui avec ce fou au pouvoir, et sa secte fanatiques du LREM, notre pays devient une synthèse entre (Le Meilleur des mondes Huxley) et (1984 d'Orwell) dans mes jeunes années quand je lisais ces livres, jamais je n'aurais cru cela possible en France, mais depuis 4 ans et demi j'ai revues ma façon de voir. Comme quoi il faut avoir l’esprit critique plutôt deux fois qu'une! "
" Commission anti-fake news et anti-complotisme : quand la démocratie vire au contrôle des opinions
OPINION. Pour lutter contre le complotisme, Emmanuel Macron a lancé une commission d’experts sous la tutelle du sociologue Gérald Bronner. Un signe que notre époque a renoncé à l’esprit critique au profit du contrôle de la pensée ? "
Publié le 5 octobre 2021
L'intégral de l'article:
" Allez, une commission de plus ! La République n’en est plus à une près, me direz-vous. Sauf que celle-ci, directement chargée de veiller à ce que seule « la bonne pensée officielle » circule, a un côté KGB ou Stasi, qui doit alerter sur la continuité de la dérive autocratique qui caractérise la Macronie.
On avait déjà été alerté d’un trouble fâcheux au niveau présidentiel, quand, au retour des Jeux olympiques, et pour préparer ceux de Paris, nos athlètes avaient été, en dépit d’une fort honorable prestation, sermonnés par le président « je sais tout, je vois tout, j’ai la main sur tout », et qu’il leur avait quasiment donné fédération par fédération un objectif de médailles. Les entraîneurs furent médusés et les journalistes sportifs avaient déjà souligné le fait que ce type de mainmise autoritaire leur rappelait la politique sportive étatique de l’ex-RDA. Rien ne doit échapper à la surveillance de l’imperator du valet de Bruxelles et de Davos, et donc rien d’étonnant, en dépit de la dangerosité de la démarche, que les opinions contraires à la norme officielle se voient désormais placées sous contrôle, et sous la menace de prévisibles poursuites.
On a casé là un sociologue, ça fait sérieux, et une quinzaine de personnalités évidemment à la botte du pouvoir élyséen et qui, à l’heure de la réforme restrictive des retraites et des allocations chômage, se verront ainsi chargés de surveiller le Net essentiellement, tout en étant rétribués à la charge du contribuable. On appréciera la modestie de l’intitulé de la commission, nommée « Les lumières à l’heure du numérique ». Les philosophes des Lumières se retourneront dans leur tombe, et quant à nous, surtout depuis cet épisode Covid et la doctrine hygiéniste qui nous a mis en coupe réglée, on serait en droit de penser que côté lumière, on a plutôt coupé le courant depuis déjà quelque temps. Ah, qu’il était doux et combien il parait lointain le temps, où on nous livra le Net comme le nouvel espace libre des opinions et des débats contradictoires, comme le véritable antidote à toutes les autocraties possibles à travers le monde !
Il faut toujours se préo ccuper des moments où le politique s’intéresse à définir une ligne rouge entre ce qui constitue la bonne o pinion respectable, et l’autre, celle que désormais, on jette pêle-mêle sans faire le tri, dans la fosse commune fort pratique pour le pouvoir, que l’on a nommée «&thinspinions complotistes ». La caution de scientifiques dans des aventures plus que douteuses n’est pas un gage de sécurité, des pages sombres de l’histoire contemporaine le rappellent encore. Le sociologue Bronner qui dirige ladite fumeuse commission tout en soulignant ce que les outils numériques créent matière de partage d’intelligence collective, déplore que celle-ci soit accompagnée selon lui de son lot de « croyance, de magie, de superstition ».
On notera, ce qui n’est pas un hasard, que tout ceci émerge avant une campagne électorale, ce qui n’est pas neutre et après que la crise covid ait déclenché controverses et contradictions au discours officiel, qui ne le vécut pas confortablement. Certes des inepties grotesques ont circulé, mais depuis la nuit des temps, et sur tous les sujets. Ce phénomène existe, doit-on pour autant, au seul nom de l’impact du numérique empêcher qu’elles ne circulent ? Dans une démocratie mature, comme en philosophie, le doute est nécessaire. Il est même roi, car sans la richesse du débat contradictoire, qui peut comprendre certaines outrances, la liberté d&rsquoinion donc la démocratie n’est plus.
Ce qui me gêne dans la période qui vient de s’écouler et ce qui perdure encore, c’est précisément que les pouvoirs, les sachant scientifiques (qui pourtant devraient faire preuve d’humilité après tant d’errements et de contradictions), aient développé une capacité systématique à jeter l&rsquoprobre sur toutes formes de contradictions, tout de suite assimilées au complotisme, alors que pour certaines d’entre elles, reposaient sur des arguments recevables ou en tous cas écoutables. Où mettra-t-on donc le curseur séparant le vrai admissible par le pouvoir et du réputé faux inadmissible et prétendument condamnable par ce dernier ? Car si on doit apposer l’étiquette fake news sur ce qui ne fut pas vérifié dans les faits, bon nombre de déclarations du gouvernement durant cette crise, où le blanc succéda au noir, et où le tout comme son contraire sortit parfois a quelques jours d’intervalle de la bouche du même ministre, mériteraient de rejoindre la catalogue… Et cela relativise la crédibilité de cette équipe à trier le vrai du faux, si tant est que la vérité absolue puisse exister en ce bas monde.
Les mots en « -isme », de complotisme à populisme, sont devenus des fourre-tout, dont on a omis de définir avec rigueur le sens, et qui sont devenus des fosses communes permettant de moquer, ou même de censurer en y jetant dedans, toute déviance par rapport à une bien-pensance devenue normativement totalitaire sur les expressions. Attention, les libertés sont fragiles. La notion de vérité, surtout lorsqu'elle prend une forme absolutiste, est contestable, et toute vérité affirmée n’est d’ailleurs que relative. Et ce qui est tenu pour vrai à un temps donné peut, à la lumière du temps et d’autres analyses contradictoires, d’autres découvertes, être démenti et prétendu faux plus tard. Donc en étant lucide sur le fait que certaines outrances ne sont que peu recevables intellectuellement, condamner par avance ceux qui ouvrent des chemins de traverse à la pensée majoritaire, sur quelque sujet que ce soit, est aussi contreproductif intellectuellement que profondément liberticide. Le même sociologue, dans sa conférence, dénonce le fait que les algorithmes de l’outil internet sont devenus des vecteurs propageant trop efficacement ces pensées réputées nuisibles à l’intelligence des peuples.
Allons jusqu’au bout du débat. Faut-il voir, comme l’a déjà demandé en échouant Gérald Darmanin, une première fois au nom de la lutte contre le terrorisme, une envie de contrôler légalement les algorithmes que nous utilisons sans le savoir ? Nous entrerions dans la société de fascisme numérique, où la sphère privée ne serait définitivement plus légalement protégée, et dans la société qu’Orwell voyait venir dans ses romans d’anticipation. Par ailleurs, si ces algorithmes sont jugés si dangereux, j’aurai aimé alors que ceux qui sont utilisés par le monde capitaliste marchand via nos PC, nos achats sur le Net, via les terminaux de paiement des supermarchés, et qui permettent d’enrichir des bases de données pour le marketing publicitaire, poussant le citoyen, à son insu, à sur consommer, et s’endetter plus que de mesure, soient jugés avec la même sévérité ! Car leur déploiement est d’ores et déjà bien plus conséquent que ceux de la sphère complotiste qui intéresse le pouvoir, et leur dangerosité est au moins équivalente sinon bien supérieure.
La pente dans laquelle s’engage cette commission est pour le moins glissante et appelle à une vigilance plus que justifiée, car pour reprendre les termes du sociologue missionné par le gouvernement, elles aussi procèdent d’un « asservissement numérique » des masses. Mais la pseudo quête de moralité des pouvoirs publics sur ces sujets ne saurait remettre en cause les méthodes de ce monde marchand, où le statut du citoyen est réduit à celui du simple consommateur. Les réflexes de contrôle liberticide ne sont de toute façon pas à la hauteur, si nous cherchions à l’être vraiment, de la nécessité d’un libre arbitre très aiguisé qui est le seul rempart à toutes les formes de déviance de la pensée, et à tous les dogmes par essence dangereux.
L’éducation dès le plus jeune âge à la prise de recul, au renforcement d’un libre arbitre et d’une pensée critique nécessiterait plus de moyens, plus de temps, plus d’heures au sein de l’Éducation nationale dont le rôle est bel et bien de former des têtes pleines certes, mais aussi des têtes bien faites, et des citoyens libres et éclairés. Mais l’évolution des programmes de formation au sein de l’éducation nationale va précisément dans le sens contraire, et les matières propices à ce développement d’esprits libres ont été réduites à la portion congrue, et ce dans tous les gouvernements s’étant succédé depuis 20 ans. On comprend bien que nul pouvoir n’y aurait intérêt…
Alors regardons vivre avec attention, une nouvelle et coûteuse commission dans cette République qui en vit tant d’autres, et espérons simplement que la dangerosité de la méthode comme du sujet, n’empiète encore davantage un espace de libre conscience que la postmodernité sociétale a déjà fortement réduit. Pour une fois, c’est suffisamment rare pour être noté, j’espère en la citation de Mitterrand, qui disait, « en France, pour enterrer un problème, rien de mieux qu’une commission ». Et peut-être au fond, ne faut-il voir, qu’un nouvel exemple de l’extrême égo et de l'autosatisfaction du prince élyséen, convaincu de sa capacité en toutes choses d’apporter sa contribution personnelle, sans que ceci n’ait plus de conséquences. Des manifestations de ce type, nous en eûmes déjà tant depuis le début de sa mandature jupitérienne. Mais cultivons en la circonstance le principe de vigilance. « La liberté, c’est savoir reconnaître ce qui est nécessaire. » Friedrich Engels ."
Ton sociologie n'y connaît rien en sciences ! Proche et soutien de Papadoc ! On comprend mieux le pourquoi du comment !
Le CNRS se désolidarise, des articles de lui ont été censurés par Mediapart, contesté par l'immense majorité de la communauté scientifique ... en dehors de celle de la pseudo science, c'est dire !
S'il est aussi doué en Sciences que dans son domaine, la sociologie ... ça promet !
« Laurent Mucchielli diffame, l’IHU cautionne »
Antoine DAOUST par Antoine DAOUST
23/06/2021 à 10:04 dans Interviews
Temps de lecture: 8 minutes
« Les "vaccins plus risqués que le virus" : une mauvaise interprétation des données de pharmacovigilance »
AFP France Facebook Twitter Email Publié le lundi 13 septembre 2021 à 15:51
Copyright AFP 2017-2021. Droits de reproduction réservés.
« Des vaccins "plus risqués que le virus" ? Cette affirmation trompeuse, avancée dans un billet de blog hébergé un temps sur le site de Mediapart, et dépublié depuis, repose sur de mauvaises interprétations des chiffres de pharmacovigilance de l'Agence du médicament. Comme répété par les scientifiques depuis des mois, la balance bénéfice-risques des vaccins est très largement favorable. »
« Une démonstration d'un sociologue sur la mortalité des vaccins ? Attention à l'interprétation des chiffres »
Manel MENGUELTI, François D'Astier, AFP France Facebook Twitter Email Publié le mercredi 04 août 2021 à 16:41Mis à jour le mercredi 04 août 2021 à 17:01
Copyright AFP 2017-2021. Droits de reproduction réservés.
« Dans un billet de blog hébergé un temps sur le site de Mediapart, et dépublié le 4 août, le sociologue Laurent Mucchielli affirme que la vaccination contre le Covid-19 est à l'origine d'une "mortalité inédite" en France, et responsable de "près de 1.000 morts potentiellement".
Son billet repose sur des données de pharmacovigilance qui sont des signalements de décès postérieurs à une vaccination contre le Covid. Pour une large majorité ces décès n'ont pas été à ce jour imputés à la vaccination. Pourtant, le billet est repris à tort comme une preuve du décès "d'un millier de personnes" à cause des vaccins.
»
PS: en revanche je n'ai pas vu d'interview de Vavounet ( de Vanves ) !!! C'est curieux pour une éminence grise sévissant sur un pareil fofo !
De fait sur le fofo nous tous sommes impatients de te lire dans ce magazine !
( Autant dire que ta postérité est aussi douteuse que la mienne - sauf que moi j'm'en fous,nuance... )
" Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.
« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »
H. Arendt La nature du totalitarisme, 1953.
En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.
Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi (visible ou invisible) et la pureté.
Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste (et de leurs dérivés) qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises... J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique. "
" Ernst Wolff: le coup d’État du système financier-numérique "
25.09.2021
" De deux choses l’une: soit la gestion en tous points catastrophique de la crise du Covid-19 est un signe d’abrutissement terminal des élites dirigeantes de la planète, soit elle correspond à une intention perverse où «le pire est le mieux». Dans une conférence d’une demi-heure, Ernst Wolff documente la piste d’un naufrage délibéré de l’économie mondiale, en d’autres termes de l’accomplissement du «Grand Reset» tel que décrit et voulu en toutes lettres par le WEF de Davos. "
" 1. WO2020060606 - SYSTÈME DE CRYPTOMONNAIE UTILISANT DES DONNÉES D'ACTIVITÉ CORPORELLE "
Date de publication
26.03.2020
" Abrégé
(EN)
L'activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus d'extraction d'un système de crypto-monnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d'un utilisateur qui est couplé en communication au serveur. Un capteur couplé en communication avec ou compris dans le dispositif de l'utilisateur peut détecter l'activité corporelle de l'utilisateur. Des données d'activité corporelle peuvent être générées sur la base de l'activité corporelle détectée de l'utilisateur. Le système de crypto-monnaie couplé en communication au dispositif de l'utilisateur peut vérifier si les données d'activité corporelle satisfont à une ou plusieurs conditions définies par le système de crypto-monnaie, et attribuer une crypto-monnaie à l'utilisateur dont les données d'activité corporelle sont vérifiées.
(FR)
L'activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d'un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d'un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l'utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l'activité corporelle de l'utilisateur. Des données d'activité corporelle peuvent être générées sur la base de l'activité corporelle détectée de l'utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l'utilisateur peut vérifier si les données d'activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l'utilisateur dont les données d'activité corporelle sont vérifiées.
Documents de brevet connexes
US20200097951 "
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inions complotistes ». La caution de scientifiques dans des aventures plus que douteuses n’est pas un gage de sécurité, des pages sombres de l’histoire contemporaine le rappellent encore. Le sociologue Bronner qui dirige ladite fumeuse commission tout en soulignant ce que les outils numériques créent matière de partage d’intelligence collective, déplore que celle-ci soit accompagnée selon lui de son lot de « croyance, de magie, de superstition ».
