tsi-ku

La notice.

il y a 7 ans
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tsi-ku (clôturé) il y a 7 ans

En consultation monsieur x. me raconte qu’il est tombé éperdument amoureux d’une femme. Pour celle-ci il a quitté sa femme, ses enfants, sa maison.
C’est la première fois qu’il ressent cela pour une femme. Il a toujours eu des maitresses, mais juste pour le sexe.
Son problème aujourd’hui est que l’amour de sa vie l’a quitté au bout de quelques mois. Il a un énorme chagrin. Un chagrin qui ne le quitte pas. Il ne dort plus.

La première chose que je ferais sera de lui prescrire un antidépresseur.

Au second rendez-vous comme il ne pleure plus, je lui demande pourquoi cela n’a pas marché avec cette femme. Il me racontera qu’elle avait espéré une meilleure vie auprès de lui. Mais ils se sont retrouvés dans une HLM terne avec leurs 6 enfants (4 à lui, 2 à elle). Des fins de mois difficiles. Leurs rêves de voyages envolés.

Puis avant la fin de la séance je lui demande s’il se sent mieux avec le traitement. Comme il acquiesce je lui recommande de penser à lui, de se concentrer sur son travail qu’il a délaissé.
Je précise que nous travaillons dans la même grande entreprise.

A la séance suivante je lui demande de me raconter son parcours sentimental. Sa rencontre avec sa femme. Je veux lui démontrer qu’il est déjà tombé amoureux et que cela peut encore arriver.
Seulement il est pré;occupé par autre chose. Il ne bande plus. Il a regardé une vidéo cochonne pour se changer les idées et son sexe ne s’est pas levé.

Comme il m’a agacée car interrompu dans le déroulement de la séance, je ne lui explique pas que c’est à cause des médicaments antidépresseurs. Qu’il lise la notice.

Je le recadre et il me raconte la rencontre avec sa femme et pourquoi il l’a épousée. Rien de particulier à signaler. Comme beaucoup d’hommes il l’a choisie comme épouse car il voyait en elle la mère de ses enfants.
Un joli visage, un caractère soumis, une grande douceur, une excellente femme d’intérieur et succombant devant le sourire des bébés. Elle est une excellente éducatrice pour « ses » enfants. Elle ne l’a probablement jamais trompé. Il ne regrette pas son choix.

Généralement, le patient poursuit le développement de la dernière séance jusqu’au rendez-vous suivant. C’est pourquoi je ne suis pas surprise qu’une semaine après, il me parle de son ex-femme, la mère de ses enfants…

Comment s’est passée votre semaine ?


Pas très bien. Je ne bande toujours pas. Je pense que je ne banderais plus jamais. J’ai trop aimé cette femme.

A défaut de sexe, j’ai pensé reconquérir ma femme. Le divorce va bientôt être prononcé. J’avais pensé que c’était la solution de reprendre une petite vie tranquille avec ma femme. Mais elle refuse. Je ne comprends pas pourquoi. Pourquoi selon vous ? Après tout, s’est à quoi elle aspire, une vie de famille.

C’est à vous de trouver monsieur x. Moi je ne suis là que pour vous guider à démêler l’imbroglio de votre vie.
Vous lui avez demandé pourquoi ?


Oui, elle me dit que ses amies lui ont raconté plein de choses à mon propos. Que j’ai couché avec toutes les femmes coquines de l’entreprise. Les salopes. Même celles que j’ai emmenées en club échangiste ont raconté mes goûts en matière de sexe.
Ce que ne comprend pas ma femme, c’est que je l’ai protégée. J’ai protégé son innocence. C’est avant tout une mère de famille. Elle dit que maintenant je la dégoûte.

Si je comprends bien pendant votre vie maritale vous aviez une vie dissolue, pas équilibrée ?

Ah si, très équilibrée. Une vie de famille formidable, un travail qui me passionne, et des extras…. Comment dire ? Vous savez ce que c’est un homme stressé par son travail, un salaire de fonctionnaire, a besoin de décompresser.
Je ne pouvais pas demander à mon épouse de réaliser tous mes fantasmes.

Ah c’est la première fois que je vous entends rire monsieur x. Je vois que votre moral remonte.

Oui, docteur, un peu. Mais je ne bande toujours pas.

Racontez-moi votre seconde vie, celle en dehors de votre famille. Que vous apportent les coquines ? Quels sont ces fantasmes ?

Avec ma femme, nous avons essayé pas mal de positions du kamasutra, la brouette, la levrette et j’en passe. Mais c’était toujours les mêmes fesses, la même odeur aseptisée.
Elle n’est pas très douée pour la pipe. Elle pompe, pompe, sans y prendre un réel intérêt. Elle dit même que je l’étouffe quand je veux l’aider à trouver le tempo, la profondeur. Je l’ai même vue grimacer, c’est vous dire l’intérêt qu’elle y porte.

Comme je m’en plaignais à mon collègue, celui au bout du couloir, vous savez ?

Oui, oui, poursuivez.

Il m’a dit : je vais te présenter Sidonie. Elle est une pro dans ce domaine.
Cela me gênais, j’avais l’impression d’abuser en acceptant, mais il m’a dit qu’il était avec elle depuis 2 mois déjà, il avait besoin de changement.

Alors Sidonie, je vais vous dire, oui c’est une pro. Comment qu’elle engouffre le morceau et sans s’étouffer. Une bouche chaude, saliveuse. Et que je te pousse la peau au loin et que je la ramène sur la tête. Et ses petits coups de langue là sur la peau si sensible, tout en haut. Et puis des fois elle arrive à prendre tout le paquet dans la bouche. Et elle recommence, inlassablement, avec ses yeux brillants de gourmandises. Et que je te masse les gonades. On voit qu’elle y prend plaisir. Même pas la peine de la lui mettre dans le fourneau. Elle se contente de ça. D’ailleurs une fois lâché dans sa bouche, je suis trop épuisé pour faire autre chose.

Mais de Sidonie je n’étais pas amoureux. Surtout quand j’ai vu Aglaée. S’en était une cochonne celle-là !
Ahhhh le petit doigt derviche d’Aglaée...

Hem hem, C’est quoi le petit doigt derviche monsieur x. ?

Oh ce n’est même pas le petit doigt, c’est le majeur. Derviche fait référence à un oiseau « le derviche tourneur ». L’oiseau pose son derrière sur le sable et tourne, tourne. Quand il s’envole, à l’emplacement de sa danse, le sable est troué en forme d’entonnoir.

Ah, je ne connaissais pas. Je pensais à un ballet.

Non, un doigt, ça suffit.

Nous nous égarons. Nous en étions à Aglaée.

glaée avait le doigt agile. Vous saviez que la prostate est une zone érogène ?

Heu, oui, mais n’entrons pas dans les détails.

Aglaée me laissait entrer par toutes portes. Drôlement accueillante la nana. C’est elle qui m’a fait connaitre les clubs échangistes. Elle m’a dit : allez je t’emmène te déniaiser. Tu ne sais pas te servir d’une femme. Tu vas apprendre.
Ah ça, pour avoir appris j’ai appris.

Ensuite, il y a eu Myrtille. Elle avait de beaux nénés et grimpait aux rideaux comme jamais vu auparavant. Mais elle était trop timide et ne permettait pas toutes les entrées, à elle ou à moi. Une sage. J’ai gardé de l’affection pour elle. C’est un peu comme une sœur. On se donne des nouvelles de temps en temps.

Par la suite, Je suis retourné dans les clubs. Sous prétexte d’une formation, je suis même allé à Paris me faire dilater ! Il existe des « instituts » pour cela. C’est cher mais ça vaut le coup. La nana commence par mettre des bâtonnets genre mikado. Puis elle en insère d’autres petit à petit à petit, jusqu’à …

Stop ! On fait une pause. Tenez, prenez un mouchoir pour essuyer la commissure de votre bouche.

Pardon, je me suis laissé aller. C’est tellement facile de parler avec vous.
Mais vous voyez, même de repenser à tous ces bons moments, rien ne se passe. Pas le moindre petit frémissement dans mon caleçon.
Vous avez vu la nouvelle à l’accueil ? Elle est sexy. Je lui ai serré la main ce matin. Mais il ne s’est rien passé en moi, que le plaisir des yeux.

Elle semble être une personne sympathique et compréhensive cette Myrtille. Si vous alliez discuter un peu avec elle.

Elle s’est entichée d’un homme virtuel, un certain Fantomas. Il n’y a plus rien à en tirer.

Cela vous ferait pourtant du bien de discuter avec une amie.

Elle doit avoir la peau atopique maintenant. Et puis, je ne bande plus. Je pense toujours à ma chérie, l’amour de ma vie.

(Je ne lui dis toujours pas que c’est à cause des antidépresseurs, me disant, pour me donner bonne conscience, qu’il risque d’arrêter le traitement et du même coup sa thérapie.)

Seulement pour discuter… Justement, venons-en à votre dernière amie. Qu’a-t-elle de plus que les autres ?


Si vous la voyiez ! Elle est blonde, mince et a les yeux bleu.

Vous pouvez m’en dire plus ?

Elle a de petits seins adorables. Ils sont en forme de poires, bien hauts.
Quand elle posait sa tête sur mon épaule que je sentais ses cheveux, le désir montait en moi. Ses cheveux avaient la particularité de sentir bon les fleurs et la chatte.

La chatte ?

Oui, l’ odeur particulière de son sexe. Je ne sais pas ce qu’ils rajoutent dans le shampoing … mais ça sent la chatte. J’ai lu la notice, mais rien n’est écrit à ce sujet. Des phéromones sans doute. J’aimais le soir dénouer ses nattes qu’elle attachait de chaque côté de son visage. Je les brossais.

Parlez-moi du côté affectif. Vous en étiez très amoureux.

Oui, Leia, et moi on s’embrassait tout le temps.
Le soir on se massait mutuellement, puis tête bêche on se léchait, jusqu’à la jouissance.

Tous les soirs ?

Oui, enfin pas tous les soirs.

C’était quoi les autres soirs.


Les autres soirs on s’endormait dans les bras l’un de l’autre. Il n’y a pas que le sexe dans la vie.

Vous étiez fusionnels. Justement, en dehors du sexe quels étaient vos rapports, son caractère.

Son caractère ? Elle en avait ma chérie ! Les assiettes volaient ! Puis on se réconciliait sur l’oreiller. J’aime les femmes qui ont du caractère.
Quand ma princesse s’habillait en robe courte, tous les hommes la regardaient avec envie. J’en étais fier.

J'essaye de vous faire avancer mais… je dois vous dire que ce qui rapproche, uni, fusionne un homme et une femme ce n'est pas le sexe mais l'amour.

De l’amour il y en avait entre nous et une grande confiance. C’est important la confiance.
La pauvre chérie était malade. Son traitement la faisait grossir. Alors des fois, la coquetterie prenait le dessus et elle ne prenait plus ses médicaments. J’avais lu la notice de ses médicaments. Je savais à quoi m’attendre. Ses yeux bleus devenaient gris, son sourire s’effaçait, elle criait pour des broutilles. C’est en lisant la notice de ses médicaments que j’ai compris sa maladie, ses problèmes, et j’ai relativisé. C’est important de lire les notices.

Bien sûr…


Elle était formidable ma chérie et avait une grande confiance en moi. Un jour elle est partie en week-end avec une copine.
C’est à moi qu’elle a confié ses enfants. C’est quand même une grande marque de confiance ! Elle était radieuse à son retour.
Sans elle, c’est fini, je ne banderai plus…

Mais si, mais si…

On se revoit lundi. D’ici là je veux que vous trouviez une amie de cœur. C’est-à -dire sans sexe. Je veux que vous la sortiez, ciné, resto, ce que vous voulez… Mais une sortie sage. Je veux que vous parliez de vos projets d’avenir à vous, des siens. Que vous échangiez vos idées en bons camarades.

Lundi ? ça me laisse pas beaucoup de temps. Je vais appeler Myrtille !

C’est ça, faites donc ça. Au revoir Monsieur x.

Ah pendant que j’y pense, diminuez de moitié votre traitement antidépresseur !

- Bonjour Monsieur x.
- Bonjour.

- Vous avez invité une amie pour une sortie sage, comme je vous l’avais demandé ?

- Non… j’ai demandé à Myrtille, mais elle m’a dit de lire la notice et d’aller me faire mettre.

- Cela vous peine ?

- C’est pas tellement ça, c’est que j’ai vu une video x qui me laisse perplexe.

- Vous voulez m’en parler ?

- Ce n’est pas facile.

- Bon, voilà comment on va procéder. Voici une image. Vous la regardez un moment, puis vous me racontez une histoire autour de ce que vous voyez.

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- Le paysage m’évoque des vacances à la montagne avec une bande de potes.

J’imagine que l’on fermerait tous les volets. On se mettrait tous nus. Le champagne coulerait à flot. Seuls le feu de cheminée et les bougies éclairaient nos corps en sueur.
Pipo ce con, il me fera toujours rire. Il promène Flou comme si c’était une brouette, la maintenant par les cuisses, le sexe en elle.
Bob nous fait une danse à la chippendale. 3 nanas accroupies devant lui attendent leur tour pour lui faire une gâterie.
Et là sur le canapé, le mec, il a des bas noirs à résilles. Wouhhh il a une énorme queue ! Rhaaaaaaaaa j’ai envie de me poser dessus. De me remplir bien profondément. Après tout si je lui tourne le dos et pose mes mains sur ses cuisses gainées de bas… c’est comme si c’était une femme ! non ?
Une grande rousse viendrait à son tour sur mes genoux, puis j’y rentrerai. Han han !
Elle a mis des clochettes au bout de ses tétons. Ça fait deling deling deling.

Merde, le mec, c’est celui que j’ai vu sur la video. C’est le seul moment où ma queue s’est un peu levée quand je l’ai vu sur l’écran. Je deviens payday ?

- Non, je ne pense pas. Peut-être une légère tendance bi. Rien de grave.
Où situez-vous votre grand amour blonde dans ce paysage ?


- Nulle part. Je l’ai oubliée ! Oh vous êtes formidable docteur ! Puis-je vous embrasser ?
- Non, ne me remerciez pas autant. Votre thérapie est terminée. Vous pouvez arrêter les médicaments. Bonne route monsieur x.

Bonjour monsieur Z.

- Bonjour Madame. Je ne sais pas si je suis bi ou homosexuel. De toute façon, j’ai du mal à assumer l’un ou l’autre.

- Vous savez monsieur Z, de nos jours l’homosexualité est reconnue et dépénalisée.

- Oui, je sais bien, mais je suis marié à une femme et j’ai 5 enfants. Et c’est de plus en plus difficile à gérer. Je ne peux pas divorcer. Je ne veux pas diviser le patrimoine familial.
Et puis je ne veux pas que cela se sache que j’aime les hommes. Ce qui est faux, j’aime surtout me faire sucer.

- Vous vous situez comme dominant ou dominé ?

- Cela ne veut rien dire pour moi. C’est selon. Un beau petit mec efféminé je serais tenté d’être dominant. Et avec un homme plus âgé que moi, plus costaud, je me laisse dominer.
Ce n’est pas à sens unique, si vous me permettez ce jeu de mots.

- Pour mieux comprendre je vais vous demander de regarder cette image et de ma raconter une histoire autour de ce que vous voyez.

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- Je vois mon épouse et les enfants dans la maison. Ils font des crêpes.
Moi je suis derrière l’arbre devant la maison avec Bubulle. Il me suce la q comme si sa bouche était une ventouse. Hummmmm.
Derrière l’arbre, au premier plan, il y a Myrtille. Elle surveille la maison. Si quelqu’un en sort, elle sifflera.

- Pardon ? Myrtille ?


- C’est une de mes maitresses, une des plus sympas.

- Vous avez des amants et des amantes ?

- Oui, c’est pour donner le change. Ma femme demanderait certainement le divorce si elle savait pour les hommes. Nous en sommes au point du « chacun de son côté ». Je fais exprès de trainer sur les sites de rencontres et de trouver une amie, n’importe laquelle. Quand je sors quelques heures, ma femme croit que je suis chez une maitresse. Je passe un moment de temps en temps chez l’amie du moment. Je fais des photos de nous deux et je les mets en ligne. Je compte beaucoup sur nos relations amicales pour en informer ma femme.

Elle ne se méfie pas du tout. Myrtille m’a dit que c’était étonnant. Qu’elle-même avait compris rapidement. Elle est pas bête Myrtille. Mais alors, coincée du q….

- Vous deviez beaucoup aimer votre femme pour concevoir 5 enfants.

- Aimer ? Non. Je ne l’ai pas désirée non plus. Si vous saviez les stratagèmes que j’ai utilisés pour forniquer avec elle.
Pour lever la queue, j’en ai mangé de la carotte, et pas par la bouche. Ça, plus la peur de me faire surprendre avec la carotte fichée, a bien aidé ma libido.

- Vous vouliez créer une famille.

- Oui. Et comme elle me courrait après… elle est grande et blonde comme moi. Je me suis dit que nous ferions de très beaux enfants. Ce qui est le cas.
Elle achète nos vêtements. Elle nous habille pareils. Ça en jette quand on met nos chemises roses et pantalons blancs. Surtout dans la Cadillac.

- Vous avez une Cadillac ? ce n’est pas courant.

- Oui. J’aime la mécanique. Je l’ai entièrement restaurée de mes mains.

- Et Myrtille dans tout ça ?

- J’ai fait sa connaissance sur un site de rencontre. Elle avait un chagrin d’amour et ne souhaitais pas ce moment-là une relation amoureuse. Juste un ami pour le sexe, dans le respect.

Le sexe avec elle… ?

- J’ai simulé. J’ai mis un préservatif et l’ai prise en levrette, histoire de voir sa rondelle pour m’exciter un peu. 4 ou 5 coups de rein et je suis allé à la salle de bain. Elle y est allée à son tour. Pendant ce temps je me suis habillé… j’avais un rdv avec Bubulle.
Quand elle est revenue, j’enfilais mes chaussures. Elle m’a dit « déjà ? et moi ? » Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire. Je n’allais pas lui mettre ses chaussures quand même ! Puis elle a rigolé.

Elle est rigolote Myrtille.

- On a continué à s’écrire. Elle m’a dit que je n’étais pas respectueux, misogyne et j’en passe.

- Quand j’éprouve le besoin de parler, elle m’autorise à aller boire une bière chez elle. Mais pas touche à Myrtille. Et puis là, depuis peu, elle fait la tête. Elle ne me reçoit plus. Alors je suis venu vous voir.

- Docteur, je voudrais être comme tout le monde.

- Mais vous êtes comme tout le monde, en quelque sorte…


- Je vais vous prescrire un antidépresseur, cela vous aidera à y voir plus clair.

Merci docteur. Du moment que je bande ! C’est le principal ! Non ?

Bien sûr. Nous ferons le point dans 3 mois. Au revoir Monsieur Z


- Bonjour monsieur Trois.

- Bonjour Docteur. C’est ma femme qui m’envoie. Elle dit que je deviens agressif.

- Ah ? Je suppose que c’est inhabituel ?

- Oui, c’est inhabituel. Mais là j’ai boules tellement pleines …

- Votre femme refuse le devoir conjugal ?

- Non, c’est moi ! Elle m’a vexé un jour et depuis je ne la touche plus.

- Oh la raison devait être très grave.

- Oui surement. Je ne me souviens plus.

- Donc depuis, vous êtes fidèle mais en manque de sexe ?

- En manque de sexe oui. Fidèle non. J’ai une maitresse depuis plus de 10 ans. Mais là ça fait plus de 2 mois qu’elle boude.

- Que s’est-il passé ?

- Oh, elle me fait le coup souvent. Je ne sais pas pourquoi.

- Dites, 10 ans ce n’est pas rien. Vous n’avez pas envisagé de divorcer pour elle ?

Vous n’y pensez pas ! je tiens à mon confort, ma maison, mes voitures.
Et puis ma maîtresse est grosse. Quitter une grosse pour une autre grosse, non. Et elle a 10 ans de plus que moi.

- Qu’est-ce qui vous a rapproché ?

- Le sexe. Elle a le chic pour me raconter des histoires salaces. Elle en parle sans retenue. Elle est même capable de faire des scénarios avec sodomie sans avoir pratiqué elle-même. J’étais à un doigt de l’introniser Myrtille.

Introniser... introduire...

- Ce ne serait pas cela qui la fait fuir ?

- Noonnn vous croyez ? Maintenant que j’y pense… elle a annulé nos rendez-vous coquins à chaque fois que je lui ai fait promettre de me donner son petit trou…

- Et à chaque fois pour de longues semaines, même des mois. Mince.

- J’ai l’impression que vous avez peur qu’elle ne revienne pas vers vous cette fois.

- En effet. D’habitude, je la retrouve sur les sites de réseaux sociaux, sites de rencontre et je parviens à la reconquérir. Mais là, plus de Myrtille… Je suis inquiet pour mes boules.

- Voici une image

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- Qu’est-ce que cette image vous inspire ?


- J’arrive à fond la caisse en luge ! Je suis un peu gamin vous savez ! Mdr !
- J’ouvre la porte. Je repère de suite Myrtille. Elle est sur le canapé, à genoux, les fesses en l’air dirigées vers la porte. Elle est vêtue de sa courte nuisette rouge, ma préférée.

- Sur ses fesses rien. Si, une sorte de string. Ce n’est pas 1 ficelle noire dans la raie des fesses que je découvre, mais 2 ! En séparant les 2 ficelles, cela lui fait des fesses à rayures. Et son petit trou est à découvert.
- Un petit trou rose dans une tranchée plutôt foncée. Elle n’est pas nordique Myrtille.

- Comme à chacun de nos rdv j’ai mis mon jeans à boutons, son préféré. Elle aime s’ occuper des boutons lentement, un à un.
- Comme je gonfle vite, cela évite de me la coincer dans une fermeture éclair.

- Puisque c’est un fantasme, je lui fais son affaire…. Sans oublier le gel.
- Cracher, comme dans les films porno, pour glisser ne lui plairait pas à Myrtille. Elle ferait la moue et se refermerait comme une huitre. Du gel je vais bien en trouver dans sa table de nuit, là où elle range ses jouets.

- Dehors la neige tombe. Le crépuscule arrive, je dois partir…

- Et dans votre fantasme, Myrtille a pris du plaisir ?


- Je suppose que oui, car c’est un fantasme.

- Mais dans la réalité.... je ne saurais jamais si elle aime, si elle peut jouir, par la porte de derrière.

- Sinon, depuis le temps que l’on se connait, oui, à chaque fois elle a son plaisir. Je sais la « piloter » de façon traditionnelle.

- Nous avons nos habitudes, enfin, on avait.

- Elle m’écrivait de jolies histoires à faire lever la tête de zizi. On l’appelait comme ça.
Ma préférée c’est celle avec Tarzan et l’éléphant jaune estampillé au logo de la poste.

- Cela semble fini nous deux. Mes boules n’en peuvent plus de l’attendre…

-Je vais me chercher une autre maîtresse sur les sites de rencontre.
Et avant de commencer quoi que ce soit, je lui demanderais si elle aime la sodo, comme ça, je n’aurai pas de mauvaise surprise.

- Bien. En attendant de trouver votre perle rare, vous allez prendre ce médicament. Cela vous calmera.

Au revoir Monsieur Trois.

_________________________

Bonjour, vous êtes ?

- Je suis celle qui n’existe pas aux yeux des hommes. Celle qui donne tout son amour sans en recevoir en retour. Celle que l’on ne respecte pas. La potiche. La poupée gonflable. La bonne poire. La soumise. La ridicule. Celle qui ne tombe que sur des homosexuels. Le fantasme que l’on cache. Celle à qui n’offre rien à la Saint Valentin…

- Myrtille ?

- Myrtille ?

- Oui…

- Mais comment faites-vous pour tomber sur ce genre d’homme ? Vous les trouvez où ?


- Sur les sites de rencontre.

- Visiblement vous n’êtes pas satisfaite de la marchandise proposée.

- Ah non…

- J’aimerais savoir ce que vous cherchez réellement chez un homme. Voici une image :

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- Racontez-moi ce qu’elle vous inspire.

De la fenêtre, Mon amoureux et moi regardons la neige tomber. Mon amour me raconte les flocons de neige.

https://www.youtube.com/watch?v=iOfkukhb1Os

Nous buvons un chocolat chaud. La nuit tombe, Je n’entends que le son de sa voix et le feu crépiter dans la cheminée. Toujours enlacés, mon amour me raconte les étoiles.

https://www.youtube.com/watch?v=1NAEOyrM-f4

Puis sous mon flot de questions, il m’explique la création de l’Univers.

https://www.youtube.com/watch?v=1HceL-w0W9U

Dans une casserole mijote une soupe à l’oignon, et….

A propos, comment voyez-vous le sexe avec votre Darwin ? Platonique ou charnel ?

Plutôt platonique compte-tenu de nos âges. Nous serions tellement occupés à vivre, à voir le monde.
- Main dans la main ou dans les bras l’un de l’autre, l’affection nous comblerait.

- Certains jours la joie nous pousserait à faire l’amour. D’autres jours, la mauvaise humeur nous indiquerait qu’il est temps d’avoir un orgasme. Au moindre changement d’humeur chez l’autre, dans un élan de douceur, les gestes se feraient câlins, puis érotiques…

- Nous dansons doucement tout en nous caressant le visage.

https://www.youtube.com/watch?v=7pOr3dBFAeY

- Puis les mains se faufilent sous les pulls. Les mains sont chaudes. Mon amour retrousse mon tricot et doucement caresse mes seins. Délicatement il en sort un et l’embrasse. Sa bouche humide et chaude enveloppe le mamelon. Il le goute longuement puis sort l’autre de sa coquille en dentelle.
Les deux seins sont rehaussés et tendus comme bandés. Il joue avec les deux tétons. Les caresse, les titille de sa langue. Son souffle est chaud.

- Mon esprit s’évade. Je voudrais lui faire autant plaisir, mais mon corps est prisonnier des sens. Sentant mon intimité se gonfler, j’emprisonne sa jambe pour m’y caresser.
Je sens son sexe durci sur ma cuisse…

- Sa bouche a quitté mon corps. Nous nous serrons plus fort.
Les petits mouvements de va et vient sur sa jambe me font râler de plaisir.
Je sais qu’il me regarde. Il regarde mon visage se crisper de plaisir.

Une vague de plaisir foudroyant me submerge.
Mon front s’abat violemment sur son épaule. Je sens les contractions dans mon intimité. Mon souffle se calme.

Mon corps détendu glisse le long de son corps. Il me laisse faire, me retenant juste ce qu’il faut pour ne pas tomber lourdement. Nous nous allongeons sur la peau d’ours blanc devant la cheminée.

- Le feu crépite dans la cheminée, le bruit du vent me berce et dans ce presque silence j’entends :
- suce-moi… suce-moi…
Un bonheur m’envahit et me fait sourire.

Ma main se pose sur la chose, une grosse protubérance enfermée dans un jeans.
Je la tâte comme pour la mesurer et décide de la libérer en ouvrant un à un les boutons.
Ma main se glisse dans le boxer et sort la chose. C’est un petit être vivant, tout chaud, à la peau douce. Ça bouge, tressaute à la moindre caresse.
Ce n’est pas comestible et pourtant c’est appétissant. Comme à la vue d’une sucette, l’instinct nous dit de mettre cette chose dans la bouche.

Je l’effleure tout d’abord du plat de la main. Ma main se fait douce et se referme sur les jolies boules qui l’accompagnent.
Le visage de mon amour rougit. Il ferme les yeux et son corps se tend vers moi.
Ma main se referme autour de la chose et se fait plus ferme et monte et descend sa peau en mouvements réguliers.
La chose gonfle encore un peu plus et faute de place, sans doute, une petite tête rose sort de cette chaire tendre.

Ma bouche salive de gourmandise et s’ouvre pour la recevoir. Mes lèvres se referment autour. Je l’aspire comme pour l’allonger encore plus. La libère pour la contempler et lui donner de longs coups de langues, mes yeux plongés dans ceux de mon amour. Puis je replonge pour la recevoir entièrement dans ma bouche chaude et humide.

Mon amour gémit de plaisir. Il donne de léger coup de bassin pour me donner le rythme. Puis il pose sa main sur ma tête pour m’empêcher de lâcher sa chose. Il la veut au plus profond de ma bouche. Je m’active à maintenir son plaisir.
Ses sens exacerbés déforment son visage. Sa respiration s’accélère encore, ses paupières sont à demi fermées. Je sens son cœur s’accélérer.

Sous l’effet de la jouissance, je sens des soubresauts dans ma bouche.
Son corps enfin apaisé se détend. La chose rétrécit dans ma bouche… je crache.

Vous les situez où vos anciens petits amis ?

- X. Est sur l’écran de l’ordinateur de mon amour. Purée il a un truc dans les fesses et je crois bien que c’est branché sur une prise électrique !
- Ah non ! Je ne veux pas que mon amour regarde cela, je ne veux pas qu’il devienne pervers !
- Je prends l’ordi portable et le jette par la fenêtre. Il glisse jusqu’au lac. La glace se brise, plouf, plus d’ordi.

- Z. l’autre taré qui bouche la rue quand il l sort sa Cadillac de 5 mètres de long. Il ferme les yeux de plaisir à son volant. Bubulle est penché… Allez oust, je pousse la Cadillac dans le lac.

- Et Monsieur trois ?

- Il avait attaché sa luge au pare choc de la Cadillac…

- Vous veniez pour quoi déjà ?


- Je ne suis plus la bienvenue dans les bras de Morphée.

- Décidément… Bon et bien je vais vous donner un anti dépresseur.

- - Quoi ? quoi ? un antidépresseur, alors qu’il me reste que le sexe comme plaisir dans la vie ? Je sais ce qu’ils font vos antidépresseurs, j’ai lu la notice !

- Quoi ? qu’est-ce que vous avez vu sur la notice ? rien n’indique ce que vous craignez. Regardez.

- Vous savez où vous pouvez vous la mettre la notice ???

- Heu, oui, je crois savoir.

Fin.

Modifié il y a 7 ans, le lundi 20 février 2017 à 07:59

Photo de lecouperet
lecouperet (clôturé) il y a 7 ans

Citation de "tsi-ku"En consultation x. me raconte qu’il est tombé éperdument amoureux d’une femme. Pour celle-ci il a quitté sa femme, ses enfants, sa maison.
C’est la première fois qu’il ressent cela pour une femme. Il a toujours eu des maitresses, mais juste pour le sexe.
Son problème aujourd’hui est que l’amour de sa vie l’a quitté au bout de quelques mois. Il a un énorme chagrin. Un chagrin qui ne le quitte pas. Il ne dort plus.

La première chose que je ferais sera de lui prescrire un antidépresseur.

Au second rendez-vous comme il ne pleure plus, je lui demande pourquoi cela n’a pas marché avec cette femme. Il me racontera qu’elle avait espéré une meilleure vie auprès de lui. Mais ils se sont retrouvés dans une HLM terne avec leurs 6 enfants (4 à lui, 2 à elle). Des fins de mois difficiles. Leurs rêves de voyages envolés.

Puis avant la fin de la séance je lui demande s’il se sent mieux avec le traitement. Comme il acquiesce je lui recommande de penser à lui, de se concentrer sur son travail qu’il a délaissé.
Je précise que nous travaillons dans la même grande entreprise.

A la séance suivante je lui demande de me raconter son parcours sentimental. Sa rencontre avec sa femme. Je veux lui démontrer qu’il est déjà tombé amoureux et que cela peut encore arriver.
Seulement il est pré;occupé par autre chose. Il ne bande plus. Il a regardé une vidéo cochonne pour se changer les idées et son sexe ne s’est pas levé.

Comme il m’a agacée car interrompu dans le déroulement de la séance, je ne lui explique pas que c’est à cause des médicaments antidépresseurs. Qu’il lise la notice.

Je le recadre et il me raconte la rencontre avec sa femme et pourquoi il l’a épousée. Rien de particulier à signaler. Comme beaucoup d’hommes il l’a choisie comme épouse car il voyait en elle la mère de ses enfants.
Un joli visage, un caractère soumis, une grande douceur, une excellente femme d’intérieur et succombant devant le sourire des bébés. Elle est une excellente éducatrice pour « ses » enfants. Elle ne l’a probablement jamais trompé. Il ne regrette pas son choix.

Généralement, le patient poursuit le développement de la dernière séance jusqu’au rendez-vous suivant. C’est pourquoi je ne suis pas surprise qu’une semaine après, il me parle de son ex-femme, la mère de ses enfants…


Merci de nous faire découvrir la médecine chinoise .

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mephilto il y a 7 ans

Citation de "tsi-ku"En consultation x. me raconte qu’il est tombé éperdument amoureux d’une femme. Pour celle-ci il a quitté sa femme, ses enfants, sa maison.
C’est la première fois qu’il ressent cela pour une femme. Il a toujours eu des maitresses, mais juste pour le sexe.
Son problème aujourd’hui est que l’amour de sa vie l’a quitté au bout de quelques mois. Il a un énorme chagrin. Un chagrin qui ne le quitte pas. Il ne dort plus.

La première chose que je ferais sera de lui prescrire un antidépresseur.

Au second rendez-vous comme il ne pleure plus, je lui demande pourquoi cela n’a pas marché avec cette femme. Il me racontera qu’elle avait espéré une meilleure vie auprès de lui. Mais ils se sont retrouvés dans une HLM terne avec leurs 6 enfants (4 à lui, 2 à elle). Des fins de mois difficiles. Leurs rêves de voyages envolés.

Puis avant la fin de la séance je lui demande s’il se sent mieux avec le traitement. Comme il acquiesce je lui recommande de penser à lui, de se concentrer sur son travail qu’il a délaissé.
Je précise que nous travaillons dans la même grande entreprise.

A la séance suivante je lui demande de me raconter son parcours sentimental. Sa rencontre avec sa femme. Je veux lui démontrer qu’il est déjà tombé amoureux et que cela peut encore arriver.
Seulement il est pré;occupé par autre chose. Il ne bande plus. Il a regardé une vidéo cochonne pour se changer les idées et son sexe ne s’est pas levé.

Comme il m’a agacée car interrompu dans le déroulement de la séance, je ne lui explique pas que c’est à cause des médicaments antidépresseurs. Qu’il lise la notice.

Je le recadre et il me raconte la rencontre avec sa femme et pourquoi il l’a épousée. Rien de particulier à signaler. Comme beaucoup d’hommes il l’a choisie comme épouse car il voyait en elle la mère de ses enfants.
Un joli visage, un caractère soumis, une grande douceur, une excellente femme d’intérieur et succombant devant le sourire des bébés. Elle est une excellente éducatrice pour « ses » enfants. Elle ne l’a probablement jamais trompé. Il ne regrette pas son choix.

Généralement, le patient poursuit le développement de la dernière séance jusqu’au rendez-vous suivant. C’est pourquoi je ne suis pas surprise qu’une semaine après, il me parle de son ex-femme, la mère de ses enfants…


Et la brouette tonkinoise, tu la connais cette position thérapeutique ?

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e_ajar il y a 7 ans

Depuis quand un psychologue peut prescrire un antidépresseur ?

Modifié il y a 7 ans, le mercredi 4 janvier 2017 à 11:47

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rrloman il y a 7 ans

Enfin un post sur la lechouille lesbo...

Les filles c est quoi la différence avec un homme ? En dehors de la sensualité bien-sûr.. Hahah

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rrloman il y a 7 ans

Citation de "twogweens"c'est ptêtre un bi passif ? (au fin fond de lui ! lool)

Tu donnes envie toi...kikou

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rrloman il y a 7 ans

Tu dois être en cure psychiatrique toi

Et ici pour devenir sociable...trop de délire

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lecouperet (clôturé) il y a 7 ans

Citation de "e_ajar"Depuis quand un psychologue peut prescrire un antidépresseur ?

Depuis peu !

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blonq il y a 7 ans

En espèrant que sa liste de copines soit longue ...

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oiseaulibre57 (clôturé) il y a 7 ans

Pourquoi compliquer...
Il en a marre il se casse

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lecouperet (clôturé) il y a 7 ans

Citation de "tsi-ku" Qu’a-t-elle de plus que les autres ?

Si vous la voyiez ! Elle est blonde, mince et a les yeux bleu.

Vous pouvez m’en dire plus ?


Elle a de petits seins adorables. Ils sont en forme de poires, bien hauts.
Quand elle posait sa tête sur mon épaule que je sentais ses cheveux, le désir montait en moi. Ses cheveux avaient la particularité de sentir bon les fleurs et la chatte.

La chatte ?

Oui, l’ odeur particulière de son sexe. Je ne sais pas ce qu’ils rajoutent dans le shampoing … mais ça sent la chatte. J’ai lu la notice, mais rien n’est écrit à ce sujet. Des phéromones sans doute. J’aimais le soir dénouer ses nattes qu’elle attachait de chaque côté de son visage. Je les brossais.

Parlez-moi du côté affectif. Vous en étiez très amoureux.

Oui, Leia, et moi on s’embrassait tout le temps.
Le soir on se massait mutuellement, puis tête bêche on se léchait, jusqu’à la jouissance.

Tous les soirs ?

Oui, enfin pas tous les soirs.

C’était quoi les autres soirs.

Les autres soirs on s’endormait dans les bras l’un de l’autre. Il n’y a pas que le sexe dans la vie.

Vous étiez fusionnels. Justement, en dehors du sexe quels étaient vos rapports, son caractère.

Son caractère ? Elle en avait ma chérie ! Les assiettes volaient ! Puis on se réconciliait sur l’oreiller. J’aime les femmes qui ont du caractère.
Quand ma princesse s’habillait en robe courte, tous les hommes la regardaient avec envie. J’en étais fier.

J'essaye de vous faire avancer mais… je dois vous dire que ce qui rapproche, uni, fusionne un homme et une femme ce n'est pas le sexe mais l'amour.

De l’amour il y en avait entre nous et une grande confiance. C’est important la confiance.
La pauvre chérie était malade. Son traitement la faisait grossir. Alors des fois, la coquetterie prenait le dessus et elle ne prenait plus ses médicaments. J’avais lu la notice de ses médicaments. Je savais à quoi m’attendre. Ses yeux bleus devenaient gris, son sourire s’effaçait, elle criait pour des broutilles. C’est en lisant la notice de ses médicaments que j’ai compris sa maladie, ses problèmes, et j’ai relativisé. C’est important de lire les notices.

Bien sûr…

Elle était formidable ma chérie et avait une grande confiance en moi. Un jour elle est partie en week-end avec une copine.
C’est à moi qu’elle a confié ses enfants. C’est quand même une grande marque de confiance ! Elle était radieuse à son retour.
Sans elle, c’est fini, je ne banderai plus…


C est une belle histoire pas trop dure

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e_ajar il y a 7 ans

L'humain n'est pas assez évolué pour accéder à ce sentiment communément appelé amour.

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kwikysborguini il y a 7 ans

Si la nuit porte conseil;

Des larmes, il a du en écoutait! lui, l'oreiller.

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iseult il y a 7 ans

Citation de "e_ajar"L'humain n'est pas assez évolué pour accéder à ce sentiment communément appelé amour.


Ah bon ? Vous ne croyez plus en l'homme ?

Modifié il y a 7 ans, le vendredi 6 janvier 2017 à 15:01

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jaune-d-oeuf il y a 7 ans

Citation de "e_ajar"L'humain n'est pas assez évolué pour accéder à ce sentiment communément appelé amour.

....et pour bien d'autres choses.....


Participants

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